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« Je ne me reconnais pas dans ceux qui pactisent avec l’extrême droite » avec Jacques Toubon

Posté par jacques LAUPIES le 29 septembre 2025

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A propos de l’affaire Sarkosy qui interroge la bourgeoisie sur les conséquences d’une justice indépendante réellement

Posté par jacques LAUPIES le 26 septembre 2025

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A ce niveau la on ne me fera pas croire que la justice ait la possibilité de se tromper ! Parallelement des millions de jeunes français vivent dans la précarité, un petit nombre sombre dans la délinquance et la justice ne leur fait pas de cadeaux ! Alors pourquoi devrait-on en à faire à un Président comme semblent le souhaiter certains de ses amis et partisans ? Tout cela fait désordre dans un monde capitaliste qui provoque ce désordre. Raison de plus d’en finir avec ce système !

Posté par jacques LAUPIES le 25 septembre 2025

Nicolas Sarkozy condamné à 5 ans de prison et d’inéligibilité avec mandat de dépôt différé dans l’affaire du financement libyen
Nicolas Sarkozy a été déclaré coupable, jeudi 25 septembre par le tribunal de Paris, d’association de malfaiteurs, mais il a été relaxé pour détournement de fonds publics libyens, financement illicite de campagne électorale et corruption passive. L’ancien chef d’État est condamné à cinq ans de prison avec mandat de dépôt différé, 100 000 euros d’amende et cinq années d’inéligibilité avec exécution provisoire.

Politique
6min
Publié le 25 septembre 2025
Mis à jour le 25 septembre 2025 à 16:13
Tom Demars-Granja

 

L’ancien président Nicolas Sarkozy et son épouse, Carla Bruni, quittent le tribunal de Paris, le 8 avril 2025, après son dernier jour de procès.
Raphael Lafargue/ABACAPRESS.COM
Une première, un ex-président de la Ve République dormira bientôt en cellule. Nicolas Sarkozy a été condamné, ce jeudi 25 septembre, à cinq ans de prison pour « association de malfaiteurs » dans l’affaire Kadhafi. Le tribunal a aussi prononcé un mandat de dépôt à effet différé. L’ancien président ira donc en prison à une date ultérieure – il pourra faire une demande de libération conditionnelle après avoir été incarcéré à une date que le parquet doit lui signifier dans un délai d’un mois. Il est aussi condamné à 100 000 euros d’amende et cinq ans d’inéligibilité avec exécution provisoire. Il est cependant relaxé pour les accusations de « détournement de fonds publics libyens, de financement illicite de campagne électorale » et de « corruption passive ».

Pour rappel, Nicolas Sarkozy était accusé d’avoir financé sa campagne avec de l’argent reçu du régime libyen dirigé par Mouammar Kadhafi. L’audience a débuté aux alentours de 10 heures, au sein de la 32e chambre du tribunal de Paris. « Il y a eu des fonds de Libye qui sont venus en France en 2006 », a lancé en fin de matinée la présidente, Nathalie Gavarino, en direction du banc des accusés.

« Association de malfaiteurs, corruption passive, trafic d’influence passif »
Claude Guéant est de son côté condamné à six ans de prison et 250 000 euros pour « association de malfaiteurs, de corruption passive, de trafic d’influence passif, de faux et usage, de blanchiment aggravé de corruption et de trafic d’influence ». Le tribunal n’a pas prononcé de mandat de dépôt à son encontre en raison de son état de santé.

Brice Hortefeux écope quant à lui de deux ans de prison, 50 000 euros d’amende et cinq ans d’inéligibilité pour « association de malfaiteurs et relaxé pour le financement illicite de campagne ». Le tribunal a jugé « fallacieuse » la vente de deux tableaux flamands par Claude Guéant pour un total 500 000 euros. Une somme qu’il a reçue via un circuit opaque, et ce, alors que les toiles valaient en réalité environ 88 000 euros. Sa peine est aménageable sous bracelet électronique à domicile et assortie de l’exécution provisoire, soit applicable même en cas d’appel.

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Affaire Sarkozy-Kadhafi : avant le délibéré ce jeudi, retour sur cinq moments clés du procès

L’ancien directeur de cabinet de Mouammar Kadhafi, Bechir Saleh, a été condamné à cinq ans de prison et 4 millions d’euros d’amende. Absent du tribunal, il est visé par un mandat d’arrêt. L’homme d’affaires saoudien Khaled Bugshan est condamné à trois ans de prison et 4 millions d’euros d’amende, ainsi qu’une interdiction de gérer de dix ans avec exécution provisoire. La justice française a aussi délivré un mandat d’arrêt à son encontre, car ce dernier « a eu, pendant l’instruction, une position fuyante ».

Le banquier Wahib Nacer, est condamné à quatre ans de prison et 2 millions d’euros d’amende, pour son rôle « central » dans les montages financiers occultes qui ont permis la commission de plusieurs délits en lien avec Alexandre Djouhri et Claude Guéant. Le tribunal prononce un mandat de dépôt à son encontre de Wahib Nacer, signifiant qu’il quittera le tribunal pour la prison.

Alexandre Djhouri est condamné à six ans de prison – avec mandat de dépôt – et 3 millions d’euros d’amende, pour blanchiments aggravés, corruption active – il a pris en charge les frais de séjour au Ritz de Bechir Saleh – et association de malfaiteurs entre début 2005 et juillet 2008. Il est néanmoins relaxé des faits de faux et usage de faux, à propos des documents destinés à justifier la vente des deux tableaux de Claude Guéant. Il est aussi relaxé de la complicité et du recel de détournement de fonds publics. Ahmed Salem Bugshan, Edouard Ullmo et de l’ancien ministre Éric Woerth ont été relaxés.

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Après l’affaire libyenne, Nicolas Sarkozy est (très) loin d’en avoir fini avec la justice

Ces derniers jours, d’une procédure longue de dix ans, auront été marqués par un dernier événement inattendu : la mort de Ziad Takieddine. Le présumé « agent de corruption » du clan Sarkozy, chargé de créer le lien avec ses interlocuteurs libyens, est décédé au Liban, dans l’après-midi du mardi 23 septembre.

L’homme d’affaires s’était réfugié sur place en 2020, à la suite de sa condamnation à de la prison ferme dans l’affaire Karachi. Étant impossible, selon le droit français, de juger un mort, Ziad Takieddine est donc juridiquement décédé innocent.

Une défense basée sur trois axes
Le dossier, détaillé sur près de 500 pages, donne un immense faisceau d’indices prouvant, selon les enquêtrices, qu’un accord a bien été conclu. Ce qui n’a pas empêché Nicolas Sarkozy de baser, dès sa première audition, sa défense sur trois axes : les cercles proches de Mouammar Kadhafi ont tout inventé ; l’homme d’affaires franco-libanais Ziad Takieddine – mort le 23 septembre dernier – a escroqué ses partenaires ; s’il y a bien eu corruption, seuls Claude Guéant et Brice Hortefeux doivent rendre des comptes.

Ziad Takieddine, spécialiste des retournements de veste, sonnait de nouveau la charge au lancement du procès : « Sarkozy est allé voir Kadhafi, il a demandé de l’argent de Kadhafi. Je peux dire que Kadhafi lui a payé jusqu’à 50 millions d’euros. » L’ancien chef d’État a néanmoins démarré en trombe dès le troisième jour d’audience, en fustigeant « dix années de calomnies, quarante-huit heures de garde à vue, soixante heures d’interrogatoire, dix ans d’enquête ».

Nicolas Sarkozy affirmait percevoir dans cette affaire une « vengeance du clan Kadhafi », dont la tête a été tuée fin 2011, après que l’élu français a apporté son soutien aux opposants du régime, tombé au mois d’octobre de la même année. Cela n’aura pas suffi à innocenter l’ex-président de la République, alors que la notion d’« association de malfaiteurs » ne permet pas de dissocier les prévenus. Si l’un d’entre eux tombe, les autres chutent avec lui. Ce fut le cas. L’ancien président a rendez-vous le 13 octobre devant le parquet national financier pour connaître la date de son incarcération.

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Trois vies pour mieux vivre ?

Posté par jacques LAUPIES le 22 septembre 2025

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J’en viens à me poser cette question à presque 90 ans tout simplement parce que le brin de lucidité qui me reste m’oblige à faire le point ! 

Je crois avoir été suffisamment assez curieux et combatif dans ma vie pour ne pas sombrer dans le découragement et cela m’aura permis modestement de ne pas fermer les yeux sur le monde qui m’entoure et le monde tout court. Mais hélas cela a été une tâche difficile à cause des retards d’éducation et d’instruction que j’ai reçues provoquant ainsi de grandes ignorances. L’autodidacte que je suis ne peut évidemment s’en remettre !

Comme l’indique cet illustre écrivain que je n’ai, à tort sans nul doute, même pas lu, nous avons trois vies : les vies publiques, privées et secrètes. Chacune d’elle a, selon moi, à voir avec les autres. Cependant j’aime bien les dissocier dans mon esprit pour tenter de mieux les conduire. Il faudrait écrire un livre, en avoir le temps, pour démontrer et justifier cela. Négligent et paresseux je ne l’ai pas fait, trop occupé justement dans mes trois vies !

J’ai fait le constat que la société dans laquelle je vis a joué un rôle déterminant dans ma construction. A la fois dans mes soumissions et dans mes contestations ou révoltes. Cela m’a conduit à frôler des lignes rouges, légalisées ou non.

Est-ce à dire que les sociétés prétendument civilisées positionnent et font bon usage des frontières entre l’autorisé et l’interdit ? Franchement si oui cela se saurait ! A notre époque ou s’étendent les communications de toutes sortes l’amalgame et l’approximatif deviennent monnaie courante.

Le drame est que parfois cela engendre, lorsqu’on est frappé par une accusation relevant de l’une ou l’autre de ces trois vies, des souffrances dues à des culpabilisations au regard de soi et des autres. Qu’il s’agisse de faits de n’importe laquelle de ces trois vies.

Dès lors nos vocations, nos engagements, nos désirs, nos amours sont perturbés. Le poids du regard de ceux auxquelles nos vies nous rattachent, fusse- t-il compassionnel, peut réduire la considération dont nous pouvions bénéficier et pire susciter la répression !

Il en résulte que la frontière entre ces trois sphères de l’existence est souvent poreuse, et il devient parfois difficile de distinguer ce qui relève de l’une ou de l’autre. Parfois, un événement survenu dans la sphère privée peut entraîner des répercussions sur la sphère publique, et inversement, notre vie secrète peut influencer nos choix les plus visibles. Cette imbrication rend l’existence humaine d’autant plus complexe et passionnante.

Dans la vie publique et plus particulièrement si l’on a un engagement politique toute action mettant en cause « l’ordre établi » génère une répression.

Dans la vie privée toute action en violation des règles établies notamment par le statut du mariage et tout ce qui relève de la vie en couple avec les morales autant civiles que religieuses provoquent la stigmatisation.

Dans la vie secrète il en va de même dès lors qu’un pan de celle-ci est dévoilé.

Dans la vie secrète, enfin, les transgressions ne sont souvent connues que de soi, mais leur poids n’en est pas moins lourd. Elles peuvent engendrer de la honte, de la culpabilité ou, au contraire, une forme de libération intérieure. L’articulation entre ces trois sphères impose donc à chacun d’entre nous un délicat équilibre, fait de compromis, de choix parfois douloureux et de renoncements nécessaires.

Ceux qui se targuent de faire des procès, de juger, prennent parfois le risque, comme je l’ai indiqué précédemment, de sombrer dans l’approximatif et l’amalgame, d’être victime d’enjeux à caractère sociétal voire politique comme en témoigne l’actualité et les médiatisations outrancières. Ils peuvent ainsi détruire les plus belles âmes d’un monde à la dérive !

C’est pour cela qu’il faut refuser toute soumission et lutter pour que l’humanité soit en quête de changement pour trouver l’amour, l’amitié et la solidarité.

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A nalyse des conflits contemporains à travers le prisme de la lutte des classes

Posté par jacques LAUPIES le 20 septembre 2025

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Le soutien au gouvernement israélien : une question de perception et de diversion

Un grand nombre de personnes, qu’elles soient juives ou non, se retrouvent à soutenir, parfois aveuglément, les agissements du gouvernement israélien envers les Palestiniens. Ce phénomène s’explique en partie par la façon dont certains acteurs, notamment dans le secteur médiatique, détournent le débat en mettant en avant d’autres conflits mondiaux, comme celui en Ukraine, où il s’agit également de disputes territoriales. Cette stratégie de diversion contribue à brouiller la compréhension des véritables enjeux en cours.

L’analyse de classe comme clé de lecture des conflits

Pour comprendre ces guerres, qui, comme toutes les guerres, frappent en premier lieu les peuples par la ruine, la famine ou la disparition, il convient d’adopter une analyse de classe à l’échelle internationale. L’histoire et la connaissance des mécanismes d’exploitation de l’homme par l’homme apportent également des éléments essentiels pour expliquer la persistance et la violence de ces conflits.

Les enseignements de Marx sur l’économie et la guerre

Quelques rappels de l’analyse marxiste permettent d’éclairer cette dynamique. En économie, la production et le commerce sont principalement déterminés par le coût du travail, plus précisément par la force de travail créatrice de richesse. L’anomalie que constitue la propriété privée des grands moyens de production favorise le déplacement libre des capitaux, c’est-à-dire de la richesse accumulée, à la recherche des mains d’œuvre les moins chères afin d’accroître les profits.

La France illustre parfaitement cette tendance, étant championne du monde dans la recherche du travail bon marché, et exploitant également, quoique dans une moindre mesure, la force de travail issue de l’immigration. Toutefois, il ne suffit pas de trouver une main d’œuvre peu coûteuse ; il est aussi indispensable de s’approprier les matières premières, telles que les métaux rares, le pétrole ou encore les terres agricoles.

Dans ce contexte, la concurrence internationale pousse les États et les entreprises à redoubler d’ingéniosité pour maximiser leurs marges, souvent au détriment des travailleurs, qu’ils soient locaux ou étrangers. Les conflits géopolitiques, tout comme les guerres économiques, s’inscrivent dans cette dynamique d’exploitation et de quête incessante du profit. Les interventions et prises de position des différents acteurs doivent ainsi être comprises dans cette logique capitaliste globale.

La politique et la dérive nationaliste

Sur le plan politique, face à l’incapacité des réponses conservatrices, de droite ou social-démocrate à convaincre (comme en témoignent les exemples de Sarkozy, Hollande ou Macron), on observe un recours croissant à des partis nationalistes ou pseudo-patriotiques d’extrême droite. Ces partis apparaissent alors comme le seul moyen, grâce à la force conférée par des institutions prétendument démocratiques, d’entraîner les peuples dans une impasse menant fréquemment à la guerre.

La manipulation de l’histoire et des idéologies

Tous les moyens sont bons pour tromper l’opinion, y compris la falsification et le détournement de l’histoire à des fins inavouables, comme le montrent les exemples de l’Ukraine ou d’Israël. Les faits les plus criminels de l’humanité sont alors instrumentalisés en s’appuyant sur des religions et idéologies diverses, qui deviennent des prétextes pour légitimer l’innommable, en particulier lorsqu’il s’agit de religions monothéistes.

 

 

 

 

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