Au Camarade Larcher d’en tirer les conséquences…

Posté par jacques LAUPIES le 30 juin 2025

Audiovisuel public : la loi portée par Rachida Dati rejetée avant même d’être examinée

La proposition de loi sur l’audiovisuel public portée par la ministre de la Culture, Rachida Dati a été rejetée ce lundi 30 juin après l’adoption d’une motion de censure déposée par les députés écologistes.

Médias

 

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Publié le 30 juin 2025

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L’examen du texte porté par Rachida Dati n’ira pas à son terme, la motion de rejet des Écologistes ayant été votée par 98 voix contre 38.
© Eric TSCHAEN/REA

Une victoire pour l’audiovisuel public. Les députés ont approuvé largement ce lundi 30 juin une motion de rejet des écologistes sur la réforme de l’audiovisuel public, mettant fin prématurément aux débats sur ce projet rejeté par les salariés concernés, en grève, et dont l’examen a été à plusieurs reprises repoussé dans l’hémicycle.

94 députés ont approuvé la motion, contre 38. À la surprise générale, le Rassemblement national a joint ses voix à celles de la gauche, face aux rangs clairsemés de la coalition gouvernementale. Le « texte maudit », déposé par le sénateur centriste Laurent Lafon en avril 2023 et porté par la ministre de la Culture Rachida Dati, va désormais pouvoir repartir en deuxième lecture au Sénat.

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En voila un qui parle vrai a propos de la santé ; c’est si rare

Posté par jacques LAUPIES le 30 juin 2025

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François Bayrou estime pouvoir adopter la proportionnelle aux législatives d’ici début 2026

Posté par jacques LAUPIES le 29 juin 2025

François Bayrou estime pouvoir adopter la proportionnelle aux législatives d’ici début 2026

Le premier ministre assure disposer d’une « majorité » à l’Assemblée pour voter cette réforme qu’il défend depuis 2007, mais si ces alliés de LR s’y opposent farouchement, Bruno Retailleau ayant même évoqué la possibilité de démissionner. L’annonce vise aussi à gagner du temps face au RN : Bayrou espère ainsi que l’extrême droite, favorable à une modification du mode de scrutin, ne le censurera pas.

Politique

 

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Publié le 29 juin 2025

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Le premier ministre assure disposer d’une « majorité » pour adopter sa réforme, qu’il entend présenter après le débat budgétaire (si toutefois il n’est pas censuré à cette occasion), soit à la fin de l’année ou en janvier 2026.
© Eric TSCHAEN/REA

Annonce concrète ou nouvelle manière d’arracher un sursis ? François Bayrou a évoqué à nouveau l’adoption de la proportionnelle pour les législatives, ce dimanche 29 juin, sur l’antenne de RTL. Le premier ministre assure disposer d’une « majorité » pour adopter sa réforme, qu’il entend présenter après le débat budgétaire (si toutefois il n’est pas censuré à cette occasion), soit à la fin de l’année ou en janvier 2026.

Une réforme, oui, mais laquelle ?

De quoi parle-t-on ? D’une modification du mode de scrutin pour l’élection des députés, aujourd’hui élus au scrutin majoritaire à deux tours. Avec la proportionnelle, chaque parti aurait un nombre de députés équivalent à son score en pourcentage.

Reste à savoir le périmètre au sein duquel sera calculée cette proportion : sur des listes nationales, régionales ou départementales ? Et avec quel seuil minimal pour avoir un siège (2,5 %, 5 %…) ? Une solution mixte avec une part seulement des sièges concernés par la proportionnelle est envisageable.

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L’élection à la proportionnelle est-elle plus démocratique ?

Conscient qu’il y a autant de façon d’envisager la proportionnelle que de groupes à l’Assemblée, François Bayrou se garde bien de préciser sa pensée. Sa déclaration renvoie en outre à une vieille promesse évoquée dès sa nomination en tant que chef du gouvernement : du reste, le président du Modem défend cette idée depuis 2007. Il pencherait plutôt pour une proportionnelle sur une base départementale.

Quelle majorité ?

François Bayrou estime pouvoir compter sur une grande partie des voix de la gauche (LFI et les écologistes sont pour) même si le PS et le PCF ont déjà fait part de leurs doutes. Le secrétaire national du PCF Fabien Roussel considère par exemple que « ce n’est pas la priorité », toutefois la proportionnelle intégrale figurait dans son programme en 2022.

 
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Consultations à Matignon : sur la proportionnelle, qui pense quoi ?

À ces voix s’ajouteraient celles du Rassemblement national. Menacé de censure sur le budget cet automne, François Bayrou espère sans doute que l’extrême droite rechigne à faire tomber le gouvernement, si celui-ci s’engage à faire adopter une réforme plébiscitée par Marine Le Pen. À un détail près : le RN est favorable à une proportionnelle avec prime majoritaire, un scrutin sur mesure pour lui permettre d’obtenir une majorité absolue.

Surtout, le premier ministre risque de fragiliser le « socle commun » sur lequel repose son gouvernement. Au sein de l’arc macroniste, seul son parti le Modem est pour. Ce week-end, en Conseil national, Les Républicains ont réaffirmé être farouchement opposés à un tel mode de scrutin. Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, également président de LR, a même mis son départ dans la balance s’il devait être forcé de porter un tel texte (les questions électorales dépendant de Beauvau). Du reste, le Vendéen n’attend qu’une bonne occasion pour démissionner et lancer pleinement sa course à la présidentielle. À défaut de réformer le scrutin, François Bayrou pourrait lui offrir ce boulevard.

 

Face à l’extrême droite, ne rien lâcher !

C’est pied à pied, argument contre argument qu’il faut combattre l’extrême droite. Et c’est ce que nous faisons chaque jour dans l’Humanité.

Face aux attaques incessantes des racistes et des porteurs de haine : soutenez-nous ! Ensemble, faisons entendre une autre voix dans ce débat public toujours plus nauséabond.
Je veux en savoir plus.

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Comment peut-on se taire sur ce qui se passe à Gaza ? Génocide ou pas et quoi qu’en pensent ou disent les encravatés (ou pas) des plateaux de télévision des civils meurent sous les bombes israéliennes. Il faut le rappeler et appeler à protester contre une extrême droite israélienne qui à ses relais ici dans nos villes ou se manifestent xénophobie et racisme !

Posté par jacques LAUPIES le 28 juin 2025

L’administration Trump injecte 30 millions de dollars dans la Fondation humanitaire pour Gaza, malgré les « massacres à la chaîne »

Le Département d’État a annoncé, jeudi 26 juin, un nouveau financement de 30 millions de dollars à destination de la Fondation humanitaire pour Gaza (GHF). Soutenu par Washington et Tel-Aviv, ce consortium privé a été à l’origine de nombreux massacres, alors que des commandants israéliens « ont ordonné aux troupes de tirer sur la foule » à proximité des points de distribution de nourriture, révèle le journal « Hareetz ».

Monde

 

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Publié le 27 juin 2025Mis à jour le 27 juin 2025 à 15:06

Comment peut-on se taire sur ce qui se passe à Gaza ? Génocide ou pas et quoi qu’en pensent ou disent les encravatés (ou pas) des plateaux de télévision des civils meurent sous les bombes israéliennes. Il faut le rappeler et appeler à protester contre une extrême droite israélienne qui à ses relais ici dans nos villes ou se manifestent xénophobie et racisme ! dans POLITIQUE
Donald Trump et Benyamin Netanyahou à la Maison Blanche à Washington, le 15 septembre 2020.
Yuri Gripas/ABACAPRESS.COMAlexis Jumeau/ABACAPRESS.COM

L’objectif de la Fondation humanitaire pour Gaza (GHF), promue par les régimes israélien et états-unien, est de contrôler l’acheminement de nourriture au sein de l’enclave palestinienne, rongée par la famine. L’ersatz d’organisation humanitaire aux pratiques militarisées s’est ainsi révélé être un outil de répression permettant à Tel-Aviv de perpétuer son tri de la population gazaouie, obligée de se plier à un enregistrement biométrique et à un contrôle politique afin d’accéder aux vivres. Et ce, pour les civils qui ont survécu aux massacres menés par l’armée d’occupation, échappés à la répression menée par des milices gazaouies proches de Daech ou encore aux mouvements de foule alimentés par une panique générale.

Le tout au nom d’une soi-disant lutte menée contre le Hamas, pointée comme étant aux manettes de l’aide humanitaire précédemment acheminée par les Nations unies (ONU). Tel-Aviv cherche, en réalité, à user de la famine comme arme de guerre au service de ses ambitions génocidaires et coloniales. De par son caractère privé, la Fondation humanitaire pour Gaza n’a de compte à rendre à aucune organisation indépendante. C’est pourquoi l’administration Trump tient à le maintenir en place. Le Département d’État a annoncé, jeudi 26 juin, un nouveau financement du consortium d’aide privatisé, ici de 30 millions de dollars.

Des civils parqués dans de longs corridors

Le porte-parole adjoint principal, Tommy Piggot, a quant à lui exhorté d’autres pays à se joindre aux États-Unis pour soutenir l’organisation. Symbole de la satisfaction de la Maison Blanche, cette annonce met un terme à un mystère entretenu par la GHF et l’administration Trump pendant plusieurs semaines, elles qui avaient jusqu’ici refusé de divulguer l’identité des bailleurs de fonds.

Si la GHF compte officiellement, comme annoncé le 14 mai dernier, distribuer 300 millions de repas aux Gazaouis sur une période de 90 jours, elle a surtout perdu toute crédibilité à l’international. Son directeur exécutif d’origine, l’ancien marine Jake Wood, a démissionné dimanche 25 mai, en invoquant des violations des principes humanitaires, et quinze organisations de défense des droits humains ont enjoint, via une lettre ouverte, la GHF de cesser ses opérations. L’ONG Médecins sans frontières (MSF) a enfin demandé, vendredi 27 juin, le démantèlement de la Fondation humanitaire pour Gaza , affirmant que ce dispositif « est un simulacre de distribution alimentaire qui produit des massacres à la chaîne ». Les images des sites de distribution d’aide, où les civils sont parqués dans de longs corridors composés de grillages, le tout sous un soleil de plomb et surveillés par des groupes armés, ont quant à elles été pointées du doigt pour leur inhumanité.

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« À Gaza, sous les bombes et les cris » : le témoignage exceptionnel du docteur Ahmed Almoghrabi lors du siège de l’hôpital Nasser

Plusieurs soldats israéliens présents à Gaza ont confirmé que l’armée avait délibérément tiré sur des civils palestiniens près des sites de distribution d’aide humanitaire. Révélés par le journal israélien Hareetz, vendredi 27 juin, ces témoignages d’officiers et de soldats « révèlent que les commandants ont ordonné aux troupes de tirer sur la foule pour la repousser ou la disperser, même s’il était clair qu’elle ne représentait aucune menace ». Ainsi, près de 550 Palestiniens ont été tués et près de 3 500 autres blessés en essayant d’atteindre ces quatre points de distribution disséminés dans le sud de Gaza, depuis le 26 mai dernier, a estimé le ministère de la Santé de Gaza.

 

« Des centaines de personnes auraient été tuées depuis le début des opérations de la « Fondation pour l’humiliation de Gaza » il y a un peu plus de trois semaines, a condamné Philippe Lazzarini, le chef de l’Unrwa, l’agence onusienne pour les réfugiés palestiniens, le 18 juin dernier sur son compte X. Un système boiteux, médiéval et mortel qui nuit délibérément aux populations sous le couvert de « l’aide humanitaire » avec mensonges, tromperie et cruauté (…) Les responsables de ce système doivent rendre des comptes. » L’administration dirigée par Donald Trump et le gouvernement de Benyamin Netanyahou sont plutôt décidés à en prolonger l’existence, contribuant à l’entreprise génocidaire du gouvernement israélien.

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Pour notre ville demain un objectif : gagner en rassemblant le plus largement possible pour les élections municipales de 2026

Posté par jacques LAUPIES le 26 juin 2025

 

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Les élections municipales s’annoncent et certains commencent à spéculer sur les éventuelles forces en présence. A ma façon je vais tenter cet exercice.

Les « défenseurs des intérêts locaux » vont émerger de toutes parts arguant que les objectifs d’une municipalité n’ont rien à voir avec les combats politiques nationaux. Mais ils se garderont bien, cependant, de se priver de l’appui de leur famille d’origine et de leurs réseaux traditionnels.

Je vous en fait le pari ! Ainsi la majorité actuelle d’une origine de droite traditionnelle (républicaine, libérale, voire social chrétienne) sera évidemment présente avec un bilan qui sera, n’en doutons pas, au demeurant autosatisfaisant.

Elle aura fort à faire avec un Rassemblement National, amputé de ses fondateurs locaux qui tenteront sans doute une nouvelle aventure se réclamant des dissidences qui ont caractérisé l’évolution de l’extrême droite.

Dans ce vaste (hélas) poulailler on s’agite beaucoup au gré des humeurs du couple Le Pen/Bardella et autres Zemmour et Maréchal. Mais qui sait il peut émerger de cette basse-cour quelques poules ou coq très impliqués dans la vie politique de leur ville.

Tout cela mériterait des explications que l’âge et une certaine paresse m’empêche de développer ici.

Enfin il faudra sans doute compter sur cette gauche locale relativement divisée PS, PCF, LFI.

Côté PS ça va se scinder selon la bonne habitude, comme sur le plan national, entre ces socio-libéraux qui ont fait capoter moulte élections municipales à Tarascon et quelques vestiges d’un opportunisme politique qui peut tromper encore une jeunesse qui se croit plus intellectuelle. Le reflet des discordances du congrès du PS ne vont pas tarder à se manifester si tant est qu’il reste quelques héritiers pour pour cela !

Reste LFI qui, dans notre ville est soutenue, par une fraction de main-d’œuvre immigrée laquelle depuis des décades s’est renouvelée et est séduite partiellement » par le discours Mélenchoniste privant notamment le PCF d’un électorat qui lui était acquis.

Enfin il y a un PCF lequel a été progressivement abandonné dans le contexte local par une classe ouvrière dispersée dans des PME et entreprises artisanales. Mais aussi par le non-renouvellement, certes dont ne sont pas seules victimes les communistes, du militantisme politique qui a vu ses effectifs dispersés disparaitre au profit de toutes sortes de populismes dont évidemment celui de l’extrême droite. Auquel il faudrait ajouter une influence réduite dans la vie syndicale.

Mais les échecs électoraux (notamment aux Présidentielle et Législatives) ne signifient pas disparition ! Ils sont simplement la perte d’une bataille d’idées et de celle conduite dans la lutte des classes qui nous rappelle la réalité.

Ce qui laisse au PCF une indestructible raison d’être. Nous en trouverons la forme. En premier lieu en diffusant nos propositions dans une ville où un tiers de la population nous a soutenus !

C’est pourquoi nous nous tiendrons à disposition de la population de Tarascon dans sa diversité. Cela concerne évidemment toutes les catégories d’âge avec une priorité pour la jeunesse mais sans oublier des travailleurs (ouvriers, employés, travailleurs indépendants, professions libérales, agriculteurs et leurs salariés, etc) toute une population qui souffre des politiques que nous a fait subrir la droite et une social-démocratie et qui bien sur relève des différents gouvernements qui depuis trois décades contribuent au grignotage des droits sociaux  acquis après la deuxième guerre mondiale.

Des à présent nous alllons aider à la mise  en place un groupe de travail pour élborer un programme en commun répondant aux besoins urgents de la population (travail, sécurité et aide sociale, urbanisme et logement, santé, etc.) Il appartiendra aux membres de ce groupe de le compléter, le modifier si besoin est.

 

DSC_0179-La Marseillaise et l'internationale et on cherche le maire        DSC_1016-Ils sont bien  DSC_0162-la sécu menacée de disparition à Tarascon

    Défense des services publics                                                          Gilets jaunes                                                                          Defense de la Sécu

Ils se sont battus, ils ont parfois gagné, parfois du reculer, mais ils confirment : ceux qui vivent ce sont ceux qui luttent…Car l’adversaire « la grande bourgeoisie nationale et internationale » ne fait pas de cadeaux, elle préfère la guerre qui nous menace.

 

 

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