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 » Amélie Oudéa-Castéra : à peine nommée et déjà huée « 

Posté par jacques LAUPIES le 16 janvier 2024

Cette Ministre n’est certainement la seule à fuir l’école publique pour ses enfants. C’est chose courante dans notre société, de constater que des personnes ayant des attaches avec l’école publique renoncent à celle-ci pour fuir les carences de cette dernière.

Dans la mesure où cette possibilité existe, de par le système éducatif de notre pays, beaucoup de nos concitoyens y ont recours et ce n’est donc pas tellement eux qu’il faut condamner mais ceux qui l’ont instituée et la tolèrent !

Notre système d’information, voire de diffusion culturelle, est tout autant gangréné par la présence de médias privés  et cela permet les pires manipulations idéologiques par ceux qui les contrôlent. ll en va ainsi de tout ce qui concerne le régalien  : défense nationale et armement, sécurité et justice

Ainsi conditionne-t-on la soumission aux croyances religieuses, politiques, sociales et sociétales au bon vouloir des maitres des puissances d’argent qui accèdent aux pouvoirs étatiques.

Les conséquences sont dramatiques : le bien être social, la préservation de la liberté, l’égalité et la Paix  en sont affectés !

Disons que nous sommes ainsi des trompés chroniques. Et quil est inadmissible qu’une Ministre y contribue !

Paru dans l’humanité

Amélie Oudéa-Castéra : à peine nommée et déjà huée

La nouvelle ministre de l’Éducation nationale – en plus des Sports et des jeux Olympiques – s’est fait remarquer dès son premier jour. Elle a expliqué avoir scolarisé ses enfants dans l’école privée et réactionnaire Stanislas en raison des non-remplacements de professeurs dans le public. Ses excuses formulées aux enseignants ce mardi, sous les huées, vont-elle suffire ? Portrait.

Politique

 

6min

Mise à jour le 16.01.24 à 15:24


Le CV d’Amélie Oudéa-Castéra est un calque de celui de nombre de ses petits camarades.
© Stéphane Lemouton/Bestimage

Premier jour de classe, premier conseil de discipline. À peine nommée au ministère de l’Éducation nationale – qu’elle cumule avec les Sports et les jeux Olympiques et Paralympiques (JOP) –, Amélie Oudéa-Castéra a fait fort pour sa rentrée. Vendredi 12 janvier au matin, un article de Mediapart révèle qu’elle scolarise ses trois enfants au collège-lycée privé Stanislas, école parisienne très huppée mais aussi très réactionnaire. Discours anti-avortement et critique de l’homosexualité sont au programme de cet établissement, ce qui ne l’empêche pas de recevoir près d’un million d’euros annuels de subventions de la région Île-de-France.

Sommée de répondre dans l’après-midi, lors de sa première visite ministérielle dans un collège des Yvelines, aux côtés de son prédécesseur et nouveau premier ministre Gabriel Attal, Amélie Oudéa-Castéra a choisi le but contre son camp : « Je vais vous raconter l’histoire de notre aîné, Vincent, qui a commencé comme sa maman à l’école publique (…). Et puis la frustration de ses parents, mon mari et moi, qui avons des paquets d’heures qui n’étaient pas sérieusement remplacées. À un moment, on en a eu marre, et comme des milliers de familles, on est allés chercher une solution différente. »

 

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