Coupe de France. Retraites : les syndicats ont posé leurs cartons devant le Stade de France

Posté par jacques LAUPIES le 29 avril 2023

 

La manifestation syndicale aux abords du stade avait été interdite par la préfecture de Paris, avant que les syndicats répliquent en déposant un recours.

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Que faire face à ce gouvernement ? Après le 49-3, le conseil constitutionnel, la promulgation de la loi…

Posté par jacques LAUPIES le 27 avril 2023

 

Introduction au texte de « Faire vivre et progresser le PCF »

La question qui se pose est : Comment traduire dans une perspective politique générale le mécontentement qui rassemble quasiment les trois quart de la population française ?  Car il n’y a d’autre issue que de donner aux français des solutions concrètes pour surmonter la crise actuelle et leur offrir la possibilité de les appuyer par l’action de masse et (ou) le vote.

Encore faut-i que ces solutions inscrites dans un programme soient accessibles et puissent-être suggérées à toutes les forces politiques. Il est illusoire pour le moment d’attendre que cette offre politique vienne d’une concertation des forces politiques représentées au parlement et se déclarant dans l’opposition ! 

Cela ne peut provenir que de la masse de ceux qui, pour diverses raisons soutiennent ces forces politiques, étant entendu qu’elles n’accordent ce soutien que par une opposition grandissante au gouvernement actuel sans pour autant comprendre nécessairement les intentions de ceux en qui elles voient un recours politique possible (tel est bien le cas des électeurs du Rassemblement National). L’abstention de nombreux autres électeurs étant de plus signe de désarroi.

Les intentions politiques autant que les stratégies adoptées pour les faire aboutir  (de l’extrême gauche à l’extrême droite) sont en l’état empreintes d’une exploitation ou se mêlent opportunisme et sectarisme, réformisme et conservatisme. Les français subissent ainsi les effets dévastateurs de la division politique tout en étant conscients qu’il faut changer certaines choses dans notre société.

Ils ont besoin d’une clarification politique qui n’est pas encore à leur portée, parce que précisèment elle n’est pas encore établie si ce n’est par un Parti Communiste qui sans doute progresse grace à sa stratégie de rassemblement autour d’objectifs sociaux économiques et financiers mais ne dispose pas de l’influence nécessaire.

L’urgence est au renforcement de ce parti. Un besoin indispensable pour pénétrer les différents rouages de la vie économique et sociale dans un monde médiatique contrôlé par l’idéologie des classes dominantes et portée par les différents acteurs de cette vie !

Que faire face à ce gouvernement ? Après le 49-3, le conseil constitutionnel, la promulgation de la loi… dans POLITIQUEQue faire face à ce gouvernement ? Après le 49-3, le conseil constitutionnel, la promulgation de la loi…

Samedi 22 avril 2023, par  pamillet, popularité : 100%

 

  • Le refus populaire de la réforme des retraites, largement majoritaire, et les fortes mobilisations sociales, n’ont pas fait reculer le président, ni le gouvernement. Pire, comme l’a dit la nouvelle secrétaire générale de la CGT, « Macron nous tend la main après nous avoir fait un bras d’honneur ». L’intersyndicale appelle à poursuivre les actions locales et à organiser un « raz-de-marée populaire » le 1er mai prochain.

Mais tout le monde comprend bien que ce régime politique ne craint pas l’impopularité, que notre système dit « démocratique » peut fonctionner contre une large majorité populaire. Un « expert » médiatique justifie le refus d’un référendum en expliquant « si vous demandez aux gens s’ils veulent travailler plus ou moins, la réponse est évidente ». Dans notre « modèle » démocratique occidental, la démocratie est pour eux un obstacle. Ils veulent bien organiser de temps en temps une élection présidentielle à coup de milliards de dépenses publicitaires, mais ensuite… c’est eux qui décident contre la majorité.

Mobilisons-nous pour le 1er mai, mais la formule du « raz-de-marée » risque de n’être qu’une incantation médiatique, comme la volonté de « mettre la France à l’arrêt » il y a quelques semaines, sans une analyse concrète de cette situation apparemment bloquée. Quelle que soit la force des manifestations, ce pouvoir n’en tiendra pas compte ? Pourquoi ? Nous avions ouvert le débat début mars. Il est encore plus important aujourd’hui, après la démonstration de force du pouvoir. Que peut-on faire face à ce gouvernement ?

La violence est une impasse qui se retourne contre le mouvement !

Dans les réactions militantes, il y a beaucoup de colère et elle se traduit chez certains par la recherche de l’affrontement avec la police, laissant la place aux « blacks blocs » et à la casse de ce qui semble représenter le pouvoir… des banques le long des manifs, du mobilier urbain, des installations de réseau comme des feux de croisement, des armoires de câblage [1], des permanences de député. Ce 17 avril, pour la deuxième fois à Lyon, c’est une mairie de quartier qui est attaquée, avec des dégradations lourdes, et symboliquement les deux fois, une mairie de gauche. Il y a eu aussi le service public des impôts, le lieu où beaucoup de retraités prennent rendez-vous pour se faire aider dans des démarches aujourd’hui totalement dématérialisées…

Certains croient que les casseurs font peur au pouvoir. Mais on voit à quel point Darmanin s’en sert ! La révolution, ce n’est pas quelques groupes violents, se sont des millions de citoyens mobilisés et unis ! [2]

Il faut le dire clairement, non seulement ces violences ne font peur ni aux patrons ni au pouvoir, non seulement la casse ne gêne que les salariés et les usagers, mais les violences freinent les mobilisations, divisent le mouvement social entre craintes et justifications, elles servent les médias et au final le pouvoir en justifiant la répression de tous, et surtout, elles cachent le fonds du problème, le capitalisme et le lieu où il exerce sa domination, l’entreprise.

D’ailleurs le MEDEF se fait très discret et malheureusement, la colère ne s’exprime que contre Macron, pas du tout contre le patronat, alors que c’est lui qui en coulisse bloque toute augmentation des cotisations, et se prépare à piller la SECU avec ses assurances privées et ses retraites par capitalisation.

Le défaitisme est la conséquence de l’électoralisme

Pour la majorité de ceux qui ont manifesté, la réaction de colère se traduit plutôt par le défaitisme, le sentiment qu’on n’y peut rien, que ce pouvoir, bien qu’illégitime, est intouchable. Mais c’est la trace d’une illusion sur ce que peut être le débouché d’un grand mouvement social, illusion marquée par des décennies d’électoralisme à gauche. Les conflits se vivent d’abord dans l’espace médiatique, avec un rôle central des manifestations qui sont supposées conduire le gouvernement à reculer face à un mouvement d’idée devenant majoritaire, son impopularité fragilisant sa préparation des prochaines élections. L’électoralisme est ainsi le cadre de l’action. Rappelons le puissant mouvement contre la réforme des retraites de Sarkozy en 2010 qui a produit une telle colère contre lui qu’elle a conduit à l’élection… de Hollande.

Certains cherchent aujourd’hui une solution institutionnelle contraignant à des élections pour pouvoir changer de gouvernement. Les députés FI évoquent ainsi une nouvelle motion de censure qui serait votée par la droite et deviendrait majoritaire. Mais pour obtenir quelle majorité politique ? Un miracle qui donnerait une majorité de gauche dans un pays où elle mobilise 30% maximum des votants, autrement dit moins de 15% des citoyens ? Chacun sait que le risque politique serait au contraire de conforter la tendance à droite et que le rejet de Macron conduise à l’union des droites et au succès de Marine Le Pen…

Car en fait, quel est le rapport de forces réel ? Laissons de coté les sondages et regardons les faits. 3,5 Millions de manifestants sur 45 millions d’adultes, à peu près le niveau de 2010… et combien de grévistes ? 1 ou 2 millions sur 32 millions d’actifs ? Avons-nous mis « la France à l’arrêt » ? Il suffisait de regarder la circulation, les centres commerciaux, les zones d’activité pour être sûr que la France était à peine freinée ! Même les services publics, et notamment la plupart des collectivités locales fonctionnaient, et il a fallu parfois des maires décidant de fermeture, parce-que le nombre de grévistes étaient insuffisants pour arrêter l’accueil du public !

Quelles leçons tirer de la contradiction entre la force du refus de la réforme et l’incapacité à faire reculer le pouvoir ?

Dans le manifeste du parti communiste, Marx apporte un éclairage essentiel pour comprendre le lien, entre une lutte, victorieuse ou pas, et ce qu’elle doit construire :
Parfois, les ouvriers triomphent ; mais c’est un triomphe éphémère. Le résultat véritable de leurs luttes est moins le succès immédiat que l’union grandissante des travailleurs

C’est une question très actuelle. Le rapport de forces social ne permet pas de faire reculer un gouvernement dans un capitalisme qui n’a plus de « gras » à distribuer, qui a besoin de la guerre, d’une économie de guerre, et donc d’une « démocratie » de guerre. Mais si le mouvement social permet de renforcer « l’unité du peuple », de conforter les organisations syndicales et politiques, de créer des bases militantes partout, alors il est victorieux car il prépare l’avenir, c’est à dire les conditions d’un rapport de forces favorable, un rapport de forces capables de sortir du piège de l’électoralisme, du « tout sauf Macron » qui laisse la place à l’extrême-droite.

Il y a donc deux questions qui devraient être largement débattues dans le mouvement social, autant au niveau syndical que politique

1/ Pourquoi le refus d’une majorité des 45 millions de citoyens ne se traduit pas par des mobilisations de même ampleur ? pourquoi n’avons-nous pas dix millions de grévistes capable d’arrêter toute activité pendant plusieurs jours ?

2/ Pourquoi le refus de la réforme des retraites ne conduit pas à un virage politique à gauche, porteur de réformes contre le capitalisme ?

Sur le premier point, il est utile de reposer la question de l’article Pourquoi et comment mettre « la France à l’arrêt » ? qui interroge « Le but, c’est la France à l’arrêt ou le capital sans profit ? ». Et de prolonger le débat sur les freins à la mobilisation

Mais aujourd’hui, il faut aussi ouvrir le débat sur le deuxième point. Car si le RN peut être le gagnant politique de la période, ce n’est pas seulement par ses propres efforts de « banalisation », ni par la course de la droite aux idées du RN, c’est aussi que de larges part du peuple ne voient pas de contradictions entre leurs intérêts et le discours du RN. Et pourtant ! Pire, de nombreux manifestants contre les retraites pourraient décider d’utiliser le bulletin RN par colère contre Macron ou désespoir que les choses bougent.

Mais si cette éventualité est possible, c’est bien que si le refus de la réforme des retraites est largement majoritaire, le modèle économique que la retraite à 60 ans suppose n’est pas du tout majoritaire ! Si Marine Le Pen peut refuser la retraite à 64 ans, ce n’est évidemment pas pour renforcer la sécurité sociale, le principe du financement de la santé, de la retraite et de la dépendance par des cotisations venant de la seule source de richesse, le travail. L’enjeu derrière la réforme des retraites est bien le financement de la SECU, la part des richesses produites par le travail qui est consacré à la solidarité et donc qui échappe à l’appropriation privée du profit des entreprises.

En fait, un référendum pour la retraite à 60 ans serait évidemment un succès pour la retraite, mais un référendum pour l’augmentation des cotisations sociales, et la nationalisation des grandes assurances serait très probablement un échec ! Voila le problème politique fondamental qui empêche le mouvement social de devenir réellement majoritaire, qui empêche de transformer le refus de la réforme en engagement contre le système économique qui veut l’imposer, donc s’engager dans l’entreprise pour reconquérir la SECU en assurant son financement par les cotisations !

A ceux qui croient que c’est le problème de ceux qui ne manifestent pas, rappelons que ce lundi 17 décembre, les plus engagés des manifestants qui se retrouvaient devant des mairies avaient comme premier slogan « Macron démission », un slogan qui enferme le mouvement dans l’impasse de l’électoralisme, et qui laisse la place aux casseurs.

Alors, que faire contre ce gouvernement ?

Il est urgent de tourner toutes les forces militantes vers l’élargissement du mouvement, la réponse aux questions qui freinent l’engagement, en assumant la vérité du rapport de forces qui n’est pas suffisant aujourd’hui pour gagner, mais qui peut s’élargir en interpellant tous les salariés. « Nous ne sommes pas assez forts pour faire reculer le gouvernement, parce-que si vous êtes très majoritairement mécontent, vous n’êtes pas assez organisé, dans l’entreprise comme dans les quartiers. Vous ne garderez pas votre retraite en étant spectateur, décidons ensemble de formes d’action réalistes, à votre portée, sur le terrain. »

L’enjeu des retraites (comme de l’hôpital ou de la dépendance), c’est le financement par les cotisations, c’est à dire la répartition du profit entre le capital et le travail. C’est le patronat qui doit céder en acceptant de financer plus les retraites. C’est sur le patronat que la pression doit monter pour l’amener à négocier et la pression monte quand on touche au profit, donc quand la grève arrête la production.

Il faut tourner tout le mouvement social vers les entreprises et la mise en mouvement de salariés qui décident d’exiger leur part du profit pour financer les droits sociaux. Cela permet d’ailleurs d’élargir les revendications en faisant le lien entre retraite, chômage, maladie, hôpital, dépendances…

Le bon outil pourrait être un référendum populaire, pas celui qu’autorise ou non le conseil constitutionnel, mais un référendum coorganisé par les forces syndicales et politiques avec des journées nationales d’action d’abord organisées dans les entreprises avec un suivi des signatures de ce référendum. Quand un collectif de travail le décide, cela peut se traduire par une grève, mais on peut commencer sur un site avec un simple point de rencontre, de premières signatures, une rencontre publique à proximité, une assemblée de personnel. Tous les élus de personnels peuvent se mobiliser dans leurs instances pour faire vivre ce référendum populaire.

Et si des millions de salariés commencent à se demander combien de signatures il y a dans leur entreprise, combien dans celle d’a coté, combien dans leur ville, le mouvement aurait trouvé ses racines. Il pourrait alors se dresser face au patronat et au pouvoir en affirmant sa force retrouvée. Des manifestations plus larges pourraient être réussies et surtout, de millions de salariés pourraient vouloir s’organiser pour aller plus loin, interroger le fonctionnement de la SECU, et s’engager sur un contenu qui nécessairement, mets hors jeu toutes les droites et oblige la gauche à dire la vérité sur son projet de société, le capitalisme régulé ou une république sociale ?

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On peut toujours en rire mais les salopards qui font les guerres sont bien là !

Posté par jacques LAUPIES le 26 avril 2023

L'œil de Gros

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J’ai toujours pensé que notre Président se prenait pour Napoléon sauf qu’il n’en est pas encore au 18 Brumaire et que pour lui les carottes sont cuites…Mais restent les autres et 55 % de français prêts à se faire couillonner

Posté par jacques LAUPIES le 23 avril 2023

J'ai toujours pensé que notre Président se prenait pour Napoléon sauf qu'il n'en est pas encore au 18 Brumaire et que pour lui les carottes sont cuites...Mais restent les autres et 55 % de français prêts à se faire couillonner dans POLITIQUE

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L’abrogation de la réforme des retraites examinée en juin ?

Posté par jacques LAUPIES le 21 avril 2023

Le groupe Liot a déposé, ce jeudi 20 avril, une proposition de loi pour sa niche parlementaire du 8 juin afin de détricoter les mesures d’âge et renvoyer les autres dispositions à une « conférence sociale ».

Publié le

Vendredi 21 avril 2023

L’abrogation de la réforme des retraites examinée en juin ? dans POLITIQUE

AFP
 

Contrairement aux espoirs qu’il nourrissait du fait de la décision du Conseil constitutionnel, le gouvernement n’en a pas fini avec sa réforme des retraites au Parlement. Le groupe Liot a déposé, ce jeudi 20 avril, une proposition de loi visant à en abroger l’essentiel dans le cadre de sa niche parlementaire prévue le 8 juin. « Nous travaillons sur un abandon de la mesure d’âge (l’article 7 sur les 64 ans notamment – NDLR) et le renvoi de tout le reste à une grande conférence sociale », précise Bertrand Pancher, le président du groupe.

Liot peut compter sur le soutien de la gauche dans l’Hémicycle

Et Liot, dont la motion de censure a été rejetée à 9 voix le 20 mars, peut d’ores et déjà compter sur le soutien de la gauche dans l’Hémicycle. « On a des initiatives propres en cours à gauche mais nous soutiendrons tout ce qui va dans la direction d’une remise en cause de cette loi », réagit le député communiste Pierre Dharréville, qui, comme les autres membres de la Nupes, aurait toutefois préféré une proposition d’abrogation totale.

 

« L’important, c’est que la bataille des retraites se poursuive. Si on reprend une idée à nous, on ne va pas s’en désoler »renchérit Boris Vallaud, président du groupe PS. Dès la validation du projet de l’exécutif par les « sages », il avait annoncé le dépôt d’un texte d’abrogation mais les socialistes ne disposent pas, dans les semaines à venir, de cette niche parlementaire qui permet à un groupe de fixer l’ordre du jour.

Les communistes en ont bien une le 4 mai, mais la date limite du dépôt de leurs textes était antérieure à la décision du Conseil constitutionnel. Impossible pour eux d’amender l’ordre du jour défini en amont, mais la proposition de Liot peut être « un nouveau coup porté au choix de l’exécutif », juge Pierre Dharréville. « Pour nous, c’est assez simple : tout ce qui nous permet d’abattre la partie la plus importante du texte de loi est bon à prendre », abonde l’insoumis Hadrien Clouet.

Une majorité simple suffit

Pour les députés, cette proposition de loi qui doit encore franchir, d’ici au 16 mai, le cap des procédures de dépôt n’est pas que symbolique. « Il y a les manifestations du 1er Mai, le retour des parlementaires dans leur circonscription – s’ils sont comme moi, ils écouteront le message de grand ras-le-bol des Françaises et des Français », croit Bertrand Plancher, qui ajoute : « Il n’échappe à personne que la loi telle qu’elle est sortie du Conseil constitutionnel est revenue sur le plan senior (défendu par LR – NDLR). Je pense qu’il faut remettre tout à plat. »

 

Un optimisme que partage Boris Vallaud : « On peut imaginer un vote favorable quand nombre des mesures d’atténuation de la loi ont sauté. On a bon espoir. » D’autant que, contrairement à la motion de censure, qui nécessite une majorité absolue, une proposition de loi peut être adoptée à la majorité simple.

 

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Du côté des élus LR opposés à la réforme, l’heure est à la réflexion. « Je suis contre cette réforme à la fois sur le fond et sur la forme. Si ça peut taper sur la bosse du gouvernement pourquoi pas, mais pour le moment j’attends de voir le contenu du texte », explique le député de Corrèze Francis Dubois.

Dans l’hypothèse où un vote favorable aurait lieu, resterait la question du Sénat, où la droite, moins divisée, a voté une réforme des retraites amendée. « Contrairement à ce que certains auraient pu penser, après les décisions du Conseil constitutionnel la colère ne retombe pas. Et la droite, dont un certain nombre de mesures ont été retoquées, a aussi des intérêts à long terme », estime la communiste Éliane Assassi, dont le groupe a déposé, mardi, à la chambre haute une proposition de loi visant à l’abrogation de la totalité du texte.

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