Pas de quoi faire bander des électeurs un peu paumés mais qui aspirent à l’Union.

Posté par jacques LAUPIES le 29 avril 2022

Lu dans « LA MARSEILLAISE »

LÉGISLATIVES

Si les communistes font part, comme EELV, de difficultés pour avancer vers un rassemblement avec l’Union populaire, LFI a annoncé un premier accord avec Génération·s.

La date butoir fixée à cette fin de semaine approche à grands pas, mais les discussions entre l’Union populaire de la France insoumise et ses partenaires de gauche, Parti communiste, Europe Écologie - Les Verts et ses alliés du Pôle écologiste, Nouveau Parti anticapitaliste et Parti socialiste, pour un accord aux législatives semblent s’éterniser. « Ça piétine », regrettait jeudi matin sur Public Sénat, le chef de file des communistes Fabien Roussel, appelant à un rendez-vous multilatéral réclamé depuis des jours, afin de « lever les points de blocage ». Un appel réitéré l’après-midi lors d’une conférence de presse.

« Pour créer une dynamique il faut que tout le monde s’y retrouve. Nous souhaitons nous retrouver sur un contrat de législature commune, enrichie par chaque sensibilité », estime Fabien Roussel, persuadé de pouvoir obtenir, rassemblé, une majorité de sièges à l’Assemblée. « Créer les conditions d’un rassemblement c’est permettre à tous de faire partie du rassemblement. Notre objectif est d’additionner les 7 millions de voix de la FI aux 3 millions obtenues par Hidalgo, Jadot et nous. Et d’en obtenir plus encore. »

La sortie en début de semaine d’une affiche de campagne du leader de la France insoumise barré d’un « Mélenchon, 1er ministre » illustre l’état d’esprit dans lequel se déroulent les discussions. « Ça ne peut pas être « ralliez-vous à mon programme, ralliez-vous à mon logo, avec un objectif : élisez-moi Premier ministre » », estimait un peu plus tôt sur LCP, l’ex-candidat communiste à la présidentielle. En toile de fond la critique d’une présidentialisation du parlement.

Autre élément de crispation, la base programmatique. Le « label commun » et « le contrat de législature » qui doivent, selon lui, permettre de mettre « de côté ce qui fait nos différences et sur lequel nous n’arriverons pas à nous entendre ». Et d’espérer un accord sur « dix propositions que nous nous engageons à mettre en œuvre dès le mois de juillet ». Parmi elles, la hausse des salaires, des pensions et du Smic, le blocage des prix, ou l’abrogation de la loi El Khomri.

Autre point de crispation, la répartition des circonscriptions. Comme les écologistes, remontés mardi après leur rencontre avec la délégation insoumise, le nouveau round de discussions n’a pas convaincu les communistes. Si un accord de principe pour préserver les députés sortants semble acté, le compte n’y est pas. « Aujourd’hui, nous ne pourrions pas nous présenter dans 90% du territoire », déplore Fabien Roussel. Le son de cloche était le même pour Julien Bayou, le secrétaire national d’EELV, mardi, estimant à 16% le nombre de circonscriptions accordé à son parti.

 

Génération.s et LFI d’accord

L’amorce, le lendemain, d’une discussion avec le parti socialiste était une grande première mais il n’en est pas ressorti grand-chose de concret, excepté la volonté affichée du PS de rompre avec l’ère Hollande jusqu’à accepter d’abroger la loi El Khomri. L’absence de désaccords majeurs, « avec le principal agent du social-libéralisme » de ces quarante dernières années, a surpris le NPA. Et froissé d’autres. Piqué au vif, l’ancien président socialiste de la République y est allé de sa mise en garde pointant le risque de « disparition » sur fond d’accord « inacceptable ». « Ce n’est pas une discussion qui est en cause, c’est une disparition », a martelé François Hollande, jeudi sur Franceinfo. Des mots qui résonnent avec ceux de Sandrine Rousseau. Partisane d’une alliance avec LFI, l’écologiste, battue dans la course à l’investiture par Yannick Jadot, assure dans une interview accordée au Parisien que les tensions au sein d’EELV sur la position à adopter pourraient faire « exploser » le parti. L’unité du pôle écologiste est elle déjà fissurée.

Dans un communiqué publié hier après-midi par l’Union populaire, LFI et Génération·s annonçaient avoir trouvé un accord, notamment sur la centaine de propositions programmatiques communes. Et d’appeler les forces de gauche à les rejoindre d’ici la fin de semaine pour « un évènement commun de lancement le samedi 7 mai ».

————————-

Un Covid m’a un peu bousculé. Du coup je n’ai pas eu le coeur à commenter la situation, mais si le souffle en a pris un coup, la tête est encore là. Je Commenterai plus tard

Publié dans POLITIQUE | Commentaires fermés

Ci-dessous article paru dans Libération : on s’étripe au PS ! Il y a de quoi surtout quand son premier démolisseur et quelques autres socio libéraux, ledit François Hollande, ouvre une bouche qu’il devrait fermer !

Posté par jacques LAUPIES le 29 avril 2022

 

Analyse

Législatives: au PS, une nouvelle ligne de fronde

Article réservé aux abonnés
Élections législatives 2022dossier
 

Si les négociations avec LFI ont bien démarré, la grogne monte chez les défenseurs de la ligne social-démocrate pour qui une alliance serait synonyme de compromission, voire un arrêt de mort.

Ci-dessous article paru dans Libération : on s'étripe au PS ! Il y a de quoi surtout quand son premier démolisseur et quelques autres socio libéraux, ledit François Hollande, ouvre une bouche qu'il devrait fermer ! dans POLITIQUE KE7KUL7N7JGNLABL3LUZP7YA6E
Olivier Faure, premier secrétaire du PS, le 12 juillet à Villeurbanne. (Bruno Amsellem/Libération)

par Charlotte Belaïch

publié le 29 avril 2022 à 6h30
 
Le 11 avril, au lendemain du premier tour de la présidentielle, qui restera comme le souvenir d’une défaite historique des socialistes (1,7 %), Olivier Faure est arrivé tôt au siège d’Ivry-sur-Seine. Le premier secrétaire était seul en train de lire les récits de la débâcle d’Anne Hidalgo dans la presse, probablement entouré par les portraits de figures socialistes accrochés au mur, lorsqu’on l’a appelé. «J’ai tout de suite qualifié la défaite d’historique pour couper court à la tentation de relativiser, nous a-t-il dit. Ce n’est pas un trou d’air. Le PS ne peut pas être dans la fétichisation de son histoire, de son sigle.»Fatigué de devoir se référer au passé pour justifier l’existence du Parti socialiste, Olivier Faure a décidé de lui redonner un avenir en s’ouvrant au reste de la gauche, jusqu’à Jean-Luc Mélenchon. Mercredi, socialistes et insoumis ont eu leur première réunion pour discuter du programme qui constituerait le socle d’un accord législatif. Après trois heures de discussion, les deux camps sont sortis en déclarant qu’il y avait des convergences et aucun blocage. Les socialistes ont pu pousser un long soupir de soulagement. «Tout le monde veut tuer le PS, c’est normal, on a tué tout le monde», disait l’un des négociateurs, prêt à se faire manger tout cru à la veille de la rencontre. Il a fallu donner des gages. Sur la forme, ceux qui ont toujours été en position de force doivent apprendre l’humilité. Sur le fond, ils sont sommés de rompre avec un pan de leur histoire nommé François Hollande.

 

«Hidalgo m’a gueulé dessus»

Les insoumis ont été époustouflés. D’autres ont moins apprécié. Ce jeudi, l’ex-président socialiste dont les héritiers veulent se débarrasser était invité sur France Info. «On a toujours prôné l’union, là, c’est une disparition», a-t-il déploré avant de lister les points programmatiques des insoumis qui heurtent le logiciel du PS. «Le prochain gouvernement, si Mélenchon avait une majorité, serait amené à mettre en cause les traités européens ? A quitter l’Otan ? A ne plus aider les Ukrainiens ? C’est une remise en cause de l’histoire même du socialisme.» Discrète depuis son retour à la mairie de Paris, Anne Hidalgo a pris son téléphone pour faire savoir son désaccord. «Elle m’a gueulé dessus pendant douze minutes en me disant qu’on était irresponsables, raconte un proche de Faure chargé de faire le relais. Elle continue à penser que dans deux ans la ligne social-démocrate sera majoritaire et qu’il faut porter cette voix.» Un cadre du parti s’interroge : «Qui écoute encore Hollande ?» Quant à Hidalgo, «elle n’était rien au PS avant, elle ne sera rien après».

Mais Olivier Faure reconnaît «marcher sur une ligne de crête». Car la fronde, quoique minoritaire, est bien réelle. Des élus locaux qui n’ont rien à perdre aux législatives et pensent au temps long n’ont pas envie de se voir diluer dans La France insoumise. Leur représentante la plus médiatique est Carole Delga, la présidente de la région Occitanie. Ce jeudi, elle a présenté plusieurs candidats PS dans le Tarn, sans attendre l’accord. Au Sénat, le chef de file de la fronde s’appelle Rachid Temal. Ces derniers jours, il s’agite pour que les militants PS soient consultés sur les négociations. Mais Jean-Christophe Cambadélis, l’ancien patron du parti, lui conteste la place d’opposant le plus acharné en tweetant à tout va. «Pour Mélenchon, il y a des ralliés ou des radiés et nous, on est prêts à se renier pour sauver 20 parlementaires», se lamente-t-il auprès de Libération.

«Mélenchon sur mon affiche, plutôt crever»

A l’Assemblée aussi, certains sont perplexes. Corrélation n’est pas causalité mais le degré d’opposition de députés PS à un accord avec Mélenchon est souvent inversement proportionnel au score de l’insoumis dans leur circonscription. Un pacte de non-agression entre sortants pourquoi pas, un programme partagé et des affiches communes, pas question. «Je laisse Faure faire son travail, c’est un boulot de chien, mais Mélenchon sur mon affiche, plutôt crever, résume un député. La retraite à 60 ans ? C’est déjà dur de la maintenir à 62. Désobéir aux traités européens ? C’est une ligne rouge. Mélenchon, ce serait une trahison et une négation de ce que je suis. Je préfère perdre avec honneur». La République en marche attend les bras grands ouverts. En 2017, Emmanuel Macron a déjà saigné le PS mais il reste peut-être encore quelques élus à récupérer. Un député confie : «Une collègue m’a dit que Mélenchon était plus fréquentable que Macron, ça a failli m’achever.» Celui qui se voit réélu assure qu’il ne se fera pas «débaucher» mais imagine «se mettre d’accord avec la majorité sur des textes». Une forme de partenariat.

Pendant cinq ans, ce qu’il restait du PS après 2017 a résisté contre l’attraction des aimants Mélenchon et Macron qui le prennent en étau. Aujourd’hui, ils doivent se résoudre à aller vers l’un ou l’autre. «Macron et Mélenchon désossent l’un et l’autre les formations politiques, analyse une élue PS. Mélenchon fait ce qu’a fait Macron en 2017 : ce n’est pas une coalition qu’il propose mais de laisser quelques socialistes se faire élire. Ça peut se terminer par une somme de scissions, chez nous et chez les autres, et je pense que c’est ce qu’il veut.»

Publié dans POLITIQUE | Commentaires fermés

Vincent Lindon

Posté par jacques LAUPIES le 29 avril 2022

 

Publié le

Jeudi 28 Avril 2022

Vincent Lindon dans POLITIQUE

 
Loïc venance/AFP
 

Après une longue et inhabituelle attente, l’acteur tendre et révolté a été choisi pour présider le jury du 75e Festival de Cannes, du 17 au 28 mai. Vincent Lindon s’était illustré dans la dernière palme d’or, Titane, réalisé par la Française Julia Ducournau. En 2015, il recevait le prix d’interprétation masculine pour sa prestation dans la Loi du marché, réalisé par Stéphane Brizé, premier acte d’une trilogie sur le monde du travail, suivi d’ En guerre et d’ Un autre monde. «  Avec mon jury, nous nous efforcerons de prendre soin au mieux des films de l’avenir qui portent tous un même espoir secret de courage, de loyauté et de liberté, dont la mission est d’émouvoir le plus grand nombre de femmes et d’hommes en leur parlant de leurs blessures et de leurs joies communes  », a déclaré l’acteur, qui décernera la prochaine palme d’or à l’un des 21 films en compétition.

Publié dans POLITIQUE | Commentaires fermés

Le pape François doit avoir la tâche difficile mais il s’en acquitte fort bien malgré quelques épines …

Posté par jacques LAUPIES le 23 avril 2022

La Croix - Vatican
Samedi 23 avril 2022
Loup Besmond de Senneville
Loup Besmond de Senneville,
Envoyé spécial permanent
de La Croix au Vatican.
Photo: Maxime Matthys pour La Croix
Action du pape, diplomatie pontificale, vie de la Curie…
chaque semaine, l’envoyé spécial permanent de 
La Croix au Vatican vous dévoile les coulisses du plus petit État du monde.
La Pâpe au Vatican
© ho/Vatican Media/AFP
Orban, le pape, et le manteau de saint Martin
La scène se passe dans la bibliothèque privée du pape, au cœur du Palais apostolique. C’est là que François reçoit chaque matin, comme ses prédécesseurs, évêques et personnalités de passage. Ce jour-là, l’invité s’appelle Viktor Orban

Moins de trois semaines après avoir été conforté à la tête de la Hongrie, après des élections législatives remportées haut la main, le premier ministre a réservé, ce jeudi 21 avril, son premier déplacement à l’étranger au Vatican et à l’Italie. Une entrevue guettée, en raison de la proximité entre Budapest et Moscou, à rebours du soutien de l’immense majorité des membres de l’Union européenne à l’Ukraine.

 

Comme toujours dans ce cas, peu de détails ont filtré sur le contenu de l’entretien, qui a duré quarante minutes, mais le Vatican a tout de même envoyé aux journalistes quelques images des salutations entre les deux hommes. Ainsi que du traditionnel échange de cadeaux. Dont une médaille, offerte par le pape à Viktor Orban, représentant saint Martin, né en Pannonie, dans l’actuelle Hongrie, connu pour être, un soir d’hiver de l’an 334, venu en aide à un mendiant.

 

« Je l’ai choisi pour vous parce qu’on voit “Saint Martin, Hongrois” » assure François. Qui ajoute : « J’ai pensé que vous, Hongrois, en ce moment, recevez tous ces réfugiés. » Une allusion aux nombreux Ukrainiens arrivés dans le pays de Viktor Orban pour fuir la guerre. Le pape pointe du doigt la médaille, sur laquelle on peut voir saint Martin donner au mendiant son manteau. Aux côtés de l’homme en blanc, Viktor Orban répond : « N’oubliez pas qu’il en a donné seulement la moitié. »

 

Faut-il y voir un signe de la réticence, connue, du premier ministre hongrois, à recevoir des réfugiés ? Ou une manière de dire que cet accueil ne sera que provisoire ? Les images ne le disent pas. Comme elles ne disent pas ce qu’a répondu le pape : François a-t-il rappelé que si le soldat Martin n’a donné que la moitié de son manteau au pauvre qui avait froid, ce n’était pas pour limiter son aide, mais parce que la moitié de ses biens appartenait à l’armée ? Et que ce soir-là, il a donné tout ce qu’il avait.

Publié dans POLITIQUE | Commentaires fermés

Jeunes à vous de combattre pour les idées communistes

Posté par jacques LAUPIES le 20 avril 2022

Publié le 20/04/2022 par PCF

Lettre du secrétaire général du MJCF aux adhérent.e.s

Je tiens tout d’abord à féliciter et remercier l’ensemble des militantes et militants du MJCF pour cette très belle campagne.

Nous n’avons pas démérité, loin de là. Inconnu il y a encore quelques mois, Fabien Roussel a fait une entrée fracassante sur le devant de la scène politique. Grâce au travail acharné des militantes et militants nous avons permis au mouvement communiste d’exister à nouveau dans le paysage politique national. Si nous n’avions pas été là, qui aurait porté des aspirations populaires dans la campagne ? Qui aurait parlé dès le début du pouvoir d’achat, de la jeunesse, de l’écologie populaire ?

Jeunes à vous de combattre pour les idées communistes dans POLITIQUE

Les résultats peuvent paraître décevants à plus d’un titre. Moi aussi j’aurais espéré un meilleur résultat pour Fabien Roussel, mais aussi pour toute la gauche. Car si la gauche progresse dans sa globalité, la percée historique de l’extrême droite empêche une nouvelle fois la gauche d’accéder au second tour.

Pourtant, notre score du premier tour ne rend pas compte du nombre de Françaises et de Français qui ont été convaincus par notre discours. Sur les derniers jours de la campagne, la spirale du vote utile a aspiré une bonne partie de l’électorat de Fabien Roussel au profit de Jean-Luc Mélenchon.    Ce dernier est certainement allé au plus loin de sa capacité à capter un “vote utile”. Les plus de 800 000 électeurs qui ont fait le choix de Fabien Roussel n’auraient probablement pas voté pour Jean-Luc Mélenchon sans notre candidature. Dans un contexte où 12 millions de nos concitoyens ont boudé les urnes, rejeter la faute sur l’électorat communiste est irresponsable.

J’aimerais vous adresser ce message. Camarades, ne laissez personne vous dire que vous êtes responsables de l’impossibilité pour la gauche d’accéder au second tour de l’élection présidentielle. Ne laissez personne vous dire que vous seriez responsables de l’arrivée de l’extrême droite au pouvoir. Lorsque vous êtes les seuls à militer devant les lycées, sur les universités, où sont-ils ceux qui vous donnent des leçons aujourd’hui ? Tout au long de l’année, nous sommes souvent les seuls à tenter de redonner espoir à la jeunesse, à permettre aux jeunes de s’organiser, à reconstruire une gauche populaire. Alors non, nous n’avons pas fait perdre la gauche. Au contraire, nous sommes l’honneur de la gauche, par notre travail de terrain méticuleux et minutieux, notre travail militant du quotidien, nous sommes l’espoir de la reconstruction de la gauche.

Nous ne nous contentons pas d’être présents tous les cinq ans pour appeler à voter pour un candidat, nous construisons au plus près des réalités des jeunes l’organisation capable de conquérir le pouvoir. Cette force collective que nous avons mobilisée pleinement durant cette campagne présidentielle nous a permis de mettre en avant de manière inédite notre organisation de jeunesse. Ce travail est certainement moins médiatique, moins remarqué sur les réseaux sociaux, mais il est ô combien plus essentiel que les gesticulations post-élections actuelles.

Ce travail de terrain acharné a permis à des centaines de jeunes de nous rejoindre tout au long de la campagne. Cette visibilité accrue nous a permis de rayonner, bien au-delà de nos réseaux militants. Nous dénombrons également la création de plusieurs fédérations sur les deux derniers mois. Je tiens à leur souhaiter au nom du MJCF la bienvenue.

Lorsque je vois le travail accompli, notre force militante, notre intelligence collective, laissez-moi vous dire comme je suis fier d’être à la direction de cette très belle organisation.

Des dizaines de milliers de jeunes peuvent passer le pas et nous rejoindre. Dans un contexte où l’extrême droite est aux portes du pouvoir, où les droits des jeunes se retrouvent sapés par des décennies de politique libérale, nous avons plus que jamais besoin du MJCF. Plus que jamais, il nous faut construire une société d’égalité, féministe, antiraciste. Une société de partage, de solidarité et d’épanouissement de chacune et chacun.    Une société communiste.

Pour réussir cette révolution, les jeunes de ce pays ont besoin du MJCF.

Alors, chers camarades, ouvrons nos locaux, allons même à la rencontre des jeunes, échangeons avec eux, organisons des débats et proposons-leur de nous rejoindre.

Reprenons notre avenir en main et proposons aux jeunes du pays de s’engager avec nous, avec nos différences, mais tous ensemble vers un même idéal.

Je sais pouvoir compter sur vous pour relever ce défi.

 

Léon Deffontaines,

secrétaire général du MJCF

Publié dans POLITIQUE | Commentaires fermés

123
 

Gabon, Environnement, Touri... |
Site des Jeunes Tassilunois |
Histoire d'Europe |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | RETROVISEUR SANSALVATORIEN
| larurale
| Droit Administratif des Bie...