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Guerre en Ukraine. Comment l’Europe est devenue actrice du conflit

Posté par jacques LAUPIES le 28 février 2022

En décidant de livrer des armes à Kiev, l’Union européenne change la donne de cette guerre. Moscou l’interprétera comme la validation de sa thèse sur une confrontation directe avec l’Occident.
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Mardi 1 Mars 2022

Guerre en Ukraine. Comment l’Europe est devenue actrice du conflit dans POLITIQUE

 
PAP Photo/ABACA
 
Le temps défile à la vitesse de l’éclair. Il ne s’est déroulé que sept jours depuis le discours-fleuve de Vladimir Poutine dans lequel il estimait que l’Ukraine fait partie de l’espace russe. Cinq jours ont passé seulement depuis le déclenchement de l’opération militaire. Et, désormais, l’Europe, considérée comme un géant économique mais un nain politique, a décidé de s’ériger en puissance diplomatico-militaire.

1. Le tournant de l’UE est-il historique ?

Il n’a donc fallu que quelques heures et déclarations pour que l’Union européenne devienne une actrice de la guerre en Ukraine. Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, et les États membres ont pris des décisions qui sonnent comme autant de précédents entre livraison d’armes à l’Ukraine et interdiction de médias russes. Moscou ne pourra les analyser autrement qu’à travers les propres mots du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, qui y voit la formation d’une « coalition anti-guerre ». Alors que la question de l’Otan se trouvait au centre de la conflictualité russo-ukrainienne, l’organisation atlantiste joue, pour l’instant, les seconds rôles, laissant l’Union européenne en première ligne, un fait inédit dans l’histoire de l’institution. Même Joe Biden, qui prononcera ce mardi soir le traditionnel discours sur l’état de l’Union, s’inscrit en retrait – certes léger. Le président américain voit forcément d’un œil favorable l’implication des Européens, permettant à Washington de demeurer à la manœuvre sans apparaître comme le chef d’orchestre. L’agression russe a redonné vie à l’Otan, subitement sortie de sa « mort cérébrale » (pour reprendre la formule d’Emmanuel Macron), tandis que le Vieux Continent consent à assumer une part grandissante du fardeau financier. Décision impensable, il y a quelques semaines : le chancelier allemand, Olaf Scholz, a annoncé un budget de 100 milliards d’euros pour moderniser l’armée allemande et une augmentation du budget de la défense à plus de 2 % du PIB,soit au-delà de la quote-part exigée par Donald Trump lorsqu’il était président. Volodymyr Zelensky a saisi la portée de ce tournant et abattu, lundi matin, une nouvelle carte : « Nous nous adressons à l’UE en ce qui concerne une intégration sans délai de l’Ukraine via une nouvelle procédure spéciale. Je suis sûr que c’est juste. Je suis sûr que c’est possible. » La veille, Ursula von der Leyen avait ouvert une brèche, si ce n’est une boîte de Pandore : « À long terme, ils sont avec nous, en fait. Ils sont des nôtres et nous les voulons avec nous. » S’il y a une subtilité temporelle (« à long terme »), la référence à une appartenance de fait (« ils sont des nôtres »), le message adressé à Moscou est clair. Mais, même lointaine, cette perspective divise. Il y a «  différentes opinions et sensibilités », a reconnu Charles Michel, le président du Conseil européen, dans un langage fort diplomatique pour dire que certains des États membres y sont opposés. Ursula von der Leyen aurait-elle parlé trop vite ? Ou a-t-elle tenté de placer les États membres, dont l’unanimité est requise, devant le fait accompli ? Son porte-parole a tenté, lundi, de clarifier les propos de la présidente, sans tout à fait y réussir, soulignant qu’elle avait « exprimé son point de vue en tant que présidente de la Commission », tout en reconnaissant que « ce n’est pas elle seule qui décide ». Si la question de l’adhésion divise encore, celle de la livraison d’armes apparaît en revanche consensuelle. Il s’agit en la matière d’un « tournant historique », revendiqué comme tel par la présidente de la Commission européenne. L’UE financera la livraison à l’Ukraine de matériel militaire, mais aussi de carburant, d’équipements de protection et de fournitures médicales. Bruxelles a d’ores et déjà annoncé le déblocage de 450 millions d’euros. Ici aussi, les questions viennent en rafale : à qui l’UE achètera-t-elle ces armes et équipements ? Et surtout : comment les livrera-t-elle ? Par une sorte de « pont aérien », mettant dès lors les avions à proximité directe de l’aviation militaire russe, dont la domination du ciel ukrainien ne semble pas contestée ? Par voie terrestre, en traversant des frontières de pays membres de l’UE (Pologne et Roumanie) et de l’Ukraine ? Dans la confrontation désormais assumée avec la Russie, l’UE a également franchi un cran en annonçant l’interdiction des médias pro-Russes Russia Today (RT) et Sputnik au sein de l’UE afin de lutter contre « la désinformation orchestrée par Moscou. » « Poutine ne veut pas seulement conquérir le terrain, il veut aussi conquérir les esprits, a justifié le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell. En coupant Russia Today et Sputnik dans l’UE, nous coupons la tête du serpent.  » Cette décision soulève un certain nombre de questions légales. L’autorisation de diffusion de Russia Today fait l’objet d’une convention signée (comme pour toutes les autres chaînes) entre la chaîne et l’autorité de régulation (Arcom, ex-CSA). Dans le cahier des charges, et selon l’article Ier de la loi de 1986 sur la liberté de la communication, elle doit respecter « le caractère pluraliste des courants de pensée et d’opinion », mais aussi – et c’est peut-être une « porte d’entrée » juridique qui jouera en sa défaveur – assurer « la sauvegarde de l’ordre public » et « les besoins de la défense nationale ».

2. Les sanctions sont- elles efficaces ?

Avant le virage stratégique de l’UE, les sanctions constituaient l’arme unique de représailles. Rapidement décidées par les Occidentaux après le déclenchement de l’intervention militaire en Ukraine, elles s’avèrent déjà « lourdes » et « problématiques », comme l’a reconnu un porte-parole du Kremlin, même s’il a assuré que la Russie avait « les capacités nécessaires pour compenser les dégâts ». Et pourtant… Lundi, la Banque de Russie a dû relever très fortement son taux directeur, de 10,5 points, à 20 %, alors que l’inflation flambait déjà avant les sanctions. Le rouble s’est aussi effondré face au dollar et à l’euro à l’ouverture des marchés, atteignant des records de faiblesse. À l’issue d’un conseil de défense, la France a d’ailleurs décidé, hier, de renforcer les sanctions : retrait des Russes de Swift et gel des avoirs de la Banque centrale russe. Sur un plan plus symbolique, mais pas forcément secondaire tant il est vecteur de soft power, l’isolement de la Russie sur la scène internationale sportive devient presque total. Le « prix » à payer par Moscou finira-t-il par peser dans les choix politiques du Kremlin ?

3. Que peut-on attendre de ces pourparlers ?

Une réponse lapidaire tiendrait en quelques mots (peu de chose), voire un seul (rien). Les délégations des deux pays se sont retrouvées, hier matin, dans un lieu tenu secret en Biélorussie, alors que les combats se poursuivaient à la fois autour de Kiev, de Marioupol et dans le Donbass. L’Ukraine exige justement un cessez-le-feu « immédiat », ainsi que le retrait des troupes russes de son territoire. La Russie refuse de dévoiler ses positions, mais on voit mal comment elles ne pourraient pas être en ligne avec les objectifs de Vladimir Poutine de « démilitariser » et « dénazifier » l’Ukraine, alors que Kiev est accusé par Moscou d’orchestrer un « génocide » de russophones dans la partie orientale du pays. La partie russe reste évasive sur le « mode opératoire » de cette démilitarisation : partition du pays, installation d’un régime fantoche, « traité » bilatéral ? Cette première prise de contact intervient au Bélarus, au lendemain d’un référendum qui élimine l’obligation pour cette ex-République soviétique de rester une « zone sans nucléaire », créant une situation que Josep Borrell a qualifiée de « très dangereuse ». Allié de Moscou, Minsk peut désormais décider d’accueillir des armes nucléaires sur son territoire. Le président russe Vladimir Poutine a mis dès dimanche les forces nucléaires de son pays en alerte, quelques jours après que Jean-Yves Le Drian, ministre français des Affaires étrangères, eut lui-même rappelé que l’Otan est une « alliance nucléaire ». Jamais, sans doute, depuis la crise des missiles à Cuba en 1962, l’arme ultime n’avait été aussi centrale dans un conflit diplomatique qui se trouve, en l’occurrence, être également un conflit militaire.

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Amis lecteurs de ce blog faites connaitre cette analyse qui rétablit des vérités face à ces politiciens de droite et de gauche qui partent comme en 14 bras dessus bras dessous vers une pseudo alliance nationale !

Posté par jacques LAUPIES le 28 février 2022

Cessez-le-feu, négociations, sortie de l’OTAN !

Publié le : 27 février 2022

Amis lecteurs de ce blog faites connaitre cette analyse qui rétablit des vérités face à ces politiciens de droite et de gauche qui partent comme en 14 bras dessus bras dessous vers une pseudo alliance nationale ! dans POLITIQUE
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Comment arrêter la guerre ?

La guerre d’Ukraine n’a pas commencé le 24 février

La tendance belliciste qui peut entraîner le monde vers sa destruction vient de connaître une brutale accélération. Les principes de prudences qui réfrénaient depuis la fin de la seconde guerre mondiale et au long de la guerre froide l’affrontement militaire des puissances sur le sol européen, ont un à un été bafoué, après la chute de l’union soviétique. L’OTAN a commencé en 1999 en bombardant Belgrade pendant deux mois pour imposer l’indépendance du Kosovo. Depuis, les jeux de guerres et les alliances sans principes ont repris comme en 14 dans un monde tiraillé par les rivalités entres puissances émergentes et puissances installées.

Le président Vladimir Poutine et son gouvernement, emporté par cette dynamique mortifère, ont choisi de tenter un coup de poker dangereux d’abord en essayant de jouer la carte du bluff pour obtenir des concessions de leurs adversaires puis en entrant en Ukraine. Nous condamnons fermement cette décision dont personne ne peut prédire le coût humain, ni si la réaction en chaîne qui peut en découler peut être maîtrisée, même par ses propres initiateurs.

il est urgent de trouver les conditions d’un cessez-le feu et d’ouvrir de vraies négociations sur la sécurité de tous et la paix en Europe !

Mais la guerre en Ukraine n’a pas commencé le 24 février par l’entrée de troupes russes. Depuis des années, les bombardements n’ont pas cessé sur le Dombass. Les affrontements entre forces séparatistes et armée de Kiev ont fait 14 000 morts depuis 2014. L’incapacité des dirigeants du monde à construire la paix n’est pas due à la folie de l’un ou des autres, mais aux enjeux géopolitiques, notamment du gaz, qui sont les vraies motivations de la guerre. Les nationalismes de chaque coté sont utilisés au service de ces intérêts économiques.

La démocratie en Ukraine n’a pas commencé en 2014. Des oligarques soutenues par les USA ont remplacés d’autres oligarques soutenus par la Russie en utilisant un mouvement social fortement organisé par des milices ouvertement néonazies. La secrétaire US interrogée sur place sur les risques pour l’europe avait répondu brutalement « Fuck UE ». Depuis, l’Ukraine s’enfonce dans la corruption et l’appauvrissement. L’émigration se poursuit. Le pays a perdu 10 millions d’habitants (22%) depuis son indépendance en 1991, un million depuis 2014.

La paix mondiale n’est pas menacée depuis des années par le nationalisme russe, mais par les guerres et interventions militaires aux dizaines de milliers de victimes conduites notamment dans le moyen-orient par les USA qui représentent à eux seul la moitié des dépenses militaires mondiales.

La guerre ne finira pas en Ukraine sans faire reculer l’affrontement géopolitique généralisé organisé par les USA, sans remettre en cause la croissance des dépenses militaires poussée par les USA, sans mettre en œuvre le traité sur l’interdiction des armes nucléaires, sans remettre en cause l’OTAN et redonner à l’ONU un rôle prépondérant sur toutes les alliances militaires.

La démocratie ne se construira pas en Ukraine comme en Russie sur un modèle occidental finissant, dominé par l’argent et les plus riches, les populismes les plus vils, une médiatisation outrancière qui construit des fractures béantes entre citoyens. La démocratie doit être réinventée à l’Est comme à l’Ouest, d’abord en affirmant la souveraineté nécessaire des peuples, leur droit à l’indépendance politique et économique, en refusant que les intérêts privés des multinationales pèsent sur le droit des acteurs sociaux à organiser la société, à construire leur histoire démocratique comme ils l’entendent.

Reconstruire un mouvement mondial pour la paix est une urgence, un mouvement qui dénonce toutes les guerres, celles des USA sur toute la planète, de la France en Afrique. Les guerres ne sont motivées que par les enjeux économiques de l’accès aux ressources naturelles. Comme disait Jaurès, le capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée l’orage. On ne peut défendre la paix en s’installant dans les valises médiatiques des armées occidentales, en reprenant leurs justifications mensongères. Ils nous ont menti pour bombarder Belgrade, l’Irak, la Libye. Nous n’acceptons plus un récit occidental au service de la militarisation de la planète.

La solidarité internationale entre les peuples exige d’affronter le capitalisme dans chaque pays et les logiques impérialistes.

Le peuple ukrainien comme le peuple russe ont besoin de notre solidarité. Elle commence par agir contre notre propre gouvernement pour refuser toute vente d’armes, en finir avec les interventions « extérieures », sortir de l’OTAN et imposer le droit de l’ONU sur toute alliance militaire.

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A BHL le combattant des plateaux de télé : Allez prend un fusil et va en Ukraine, ça soulagera tes pulsions guerrières ! Mais si tu préfères les tropiques il y a le Mali où tu pourras faire pénitence d’avoir soutenu Sarko contre son vieux pote Khadafi !

Posté par jacques LAUPIES le 28 février 2022

A BHL le combattant des plateaux de télé : Allez prend un fusil et va en Ukraine, ça soulagera tes pulsions guerrières  ! Mais si tu préfères les tropiques il y a le Mali où tu pourras faire pénitence d'avoir soutenu Sarko contre son vieux pote Khadafi !  dans POLITIQUE

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Ukraine ? Soyons sérieux et revenons un peu à nos fondamentaux !

Posté par jacques LAUPIES le 27 février 2022

 

 

 

La lutte des classes existe à tous les niveaux . Même dans sa dimension  internationale et même si cela n’apparait pas clairement aux yeux de tous.

Dans tous les pays les peuples, essentiellement prolétarisés, doivent s’affronter des bourgeoisies (oligarchiques ou pas) qui poursuivent leur cheminement capitaliste en concertation entre elles avec des intérêts parfois contradictoires ce qui explique alliances et désalliances à l’interne de chaque nation autant qu’à l’externe. Ce n’est pas nouveau et on sait avec les deux dernières guerres mondiales où cela nous a mené.

Chaque fois la ruine et le sang se sont déversés sur les peuples !

Cela parce que ces peuples n’ont pas été assez vigilants et se sont laissé entrainer dans des conflits qui ne concernaient pas la défense de leurs intérêts et où les nationalismes, et parfois le fait religieux, ont été utilisés pour les entrainer dans les pires violences.

Bien que le monde ait changé ses formes de rapports économiques et sociaux, la situation demeure fondamentalement la même et les pouvoirs politiques et médiatiques sont globalement entre les mains des classes dominantes avec bien entendu des variantes qui vont de la « démocratie bourgeoise »  jusqu’à la Dictature totale de ces classes qui sont toujours prompte à « fabriquer » leurs hommes de main  (chef d’état en premier lieu) fussent ils des politiciens carriéristes soumis ou des potiches de circonstances.

La situation en Ukraine est une belle démonstration de ce point de vue. Mais la France tout autant que les grandes nations de ce monde  ne semblent pas échapper à ce phénomène ou les chefs d’état, milliardaires ou moyennement fortunés voire petits chanteurs d’opérette se voient investis de pouvoirs sous contrôle de la finance, des grands groupes industriels. Que ces individus se trouvent catalogués, par leur fonction en complicité avec le contrôle de l’information toujours partisane, de qualités de brillant politiciens et selon les circonstances de superman et de chef de guerre émérite n’a rien d’étonnant. L’Ukraine a le sien et nous avons les nôtres. Pour ne froissser personne il est inutile de les nommer les français qui ne les ont pas encore reconnus verront l’histoire (la vraie) les révèler à nous ! 

Cela fait partie d’un jeu qui nous coûte fort cher dans la mesure ou nous ne saisissons pas les enjeux de classe.

Des impérialismes dotés de puissances économiques entre les mains d’oligarques, de cartels, de multinationales nous pondent des Trump, Beiden et autre Poutine, forts de la puissance de leur nation, du soutien de leur classe, dont la fonction peut mettre en péril la paix dans le monde. Nous en avons en ce moment même la démonstration avec la déclarationde Poutine sur « la dissuation »

Alors comment évacuer le pire qui puisse arriver : l’extension du conflit.

Il  semble qu’une seule solution existe pour mettre un terme à ce processus délétère : une intervention populaire tant en Ukraine qu’à l’extérieur, y compris dans tous les pays impliqués pour faire en sorte que prime, quelle qu’en soit la forme et les motivations, la volonté populaire de vivre libre et dans la Paix.

Cela conduirait nécessairement à imposer aux parties belligérantes  un compromis. Mais tout compromis suppose évidemment des concessions que les initiateurs de la crise doivent faire et qui n’ont rien à voir avec les aspirations populaires soumises aux pressions idéologiques tant du côté occidental que de celui des Russes.

Ce sont les peuples qui peuvent l’imposer par delà leurs dirigeants dont la neutralité, en la circonstance, n’existe pas et tend à disparaitre.

Pour preuve les nations d’Europe, France en tête, qui envoient hommes et armes pour combattre les russes aux frontières même du lieu du conflit. Puis vont pleurnicher sur les menaces d’escalade au nucléaire. D’autant que la plupart des chefs d’état concernés sont sous tutelle de l’un des principaux instigateurs de la crise le gouvernement des Etats-Unis et son bras armé l’OTAN. Cela n’exonère pas Poutine de ses fautes mais cela n’exonère pas non plus les Biden et ses sous fibres européens !

Alors que faire ? Chacun avec ses moyens il est possible de passer un message de paix et d’appel à l’action ! Cela peut parfois susciter des réactions étonnantes. Pour ce qui me concerne : j’ai reçu ce jour l’adhésion d’une jeune femme de 22 ans mère d’un enfant de deux ans…Peur pour lui mais aussi besoin de savoir et confiance aux communistes. Elle est repartie avec quelques programmes de Fabien Roussel, le manifeste de Marx et Engels et divers bouquins de ma bibliothèque. 

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Autre déclaration de Fabien Roussel

Posté par jacques LAUPIES le 26 février 2022

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