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Retrouver notre véritable identité de communiste…

Posté par jacques LAUPIES le 27 février 2021

 

DSC_0802-photo 19 février à 2h20

Je publie régulièrement les déclarations des communistes qui contestent les orientations  qui vont, me semble-il, à l’encontre de celles du 38ème congrès. Ces orientations adoptées par les directions actuelles de certaines fédérations, notamment dans la préparation des élections régionales et départementales, ne seront pas et ne sont déjà pas sans conséquence sur les choix à faire pour la présidentielle.

Le choix entre deux visions, portant à la fois sur les objectifs politiques et la stratégie,  devient fondamental et oppose les pratiques électoralistes, dont l’histoire même de notre parti prouve la nocivité, aux pratiques que l’on peut qualifier de révolutionnaires.

Dans un parti qui peine à  accepter une volonté, pourtant devenu majoritaire, de retrouver cette identité de parti révolutionnaire (au sens de son irremplacibilité dans la théorisation et l’action pour une transformation profonde de la société) on peut comprendre que le souci d’efficacité immédiate conduise à vouloir, avec des élus, sauvegarder notre présence indispensable dans la vie politique de notre pays. Voire même maintenir en vie un parti dont les forces militantes sont considérablement affaiblies. Allant même jusqu’à considérer que cela seul peut éviter sa disparition !

Mais à quel prix ? Celui de la confusion né de certaines alliances électorales qui non seulement conduisent  à l’inefficacité mais confortent la non visibilité de nos propositions aux yeux de ceux la même que nous prétendons représenter et défendre. Car la bourgeoisie, forte de la maitrise qu’elle exerce sur les médias, a pour habitude d’octroyer à nos alliés du moment le mérite des conquêtes sociales que nous avons arrachées et de nous priver ainsi de la reconnaissance populaire. 

Est ce à dire que le rejet des alliances et notre présence ouverte  dans les débats que suscitent dans le système actuel serait encore plus mortifère ?

Que l’on nous permette de considérer que le contraire est probablement plus évident et la preuve en est apportée par tous ceux qui à gauche comme à droite ou ailleurs, y compris à l’extrême droite, font peu de cas de rassemblements anticipés et tentent leur chance en solitaire. La classe dominante se chargeant quant à elle de sélectionner celui qui lui conviendra le mieux et de l’appuyer avec tous ses moyens : idéologiques, politiques, médiatiques et institutionnels.

De  toute manière elle sera gagnante hors une présence affirmée d’une force politique contestant son rôle de classe exploiteuse néfaste et sa suprématie, une force cohérente et porteuse des valeurs véritablement transformatrices,  fut elle, dans le moment présent réduite en élus mais, par contre, présente dans les luttes et axée vers la création d’un parti fort et rassembleur sur l’essentiel, ancré dans le monde du travail et non englué dans des alliances qui ne sont pas encore à l’ordre du jour.

C’est en ce sens que je soutiens pour les élections à venir des candidatures communistes prenant en compte les solutions à apporter aux problèmes cruciaux en matière d’économie, d’environnement, de droits sociaux et politiques nouveaux. 

Mais ne tardons pas trop à nous engager dans cette voie..

 

 

 

 

De l’effacement du PCF en PACA à la mise en avant des propositions et du projet Communiste pour les élections régionales

Par Michel PIRROTTINA, Marseille le 25 Février 2021

Des avant la Conférence régionale de PACA du 24 janvier 2021 à aujourd’hui, sans débat démocratique ni même information des Communistes, une alliance d’un aréopage hétéroclite, mais trié sur le volet, a été proclamé et imposée aux Communistes de Paca des le 22 janvier.  Avec un programme s’élaborant après par des volontaires individuels et validé en dernier ressort, par une coalition de forces politiques constituée sur la base d’une « volonté de faire liste commune » !  

Les communistes d’« En Avant le Manifeste » de la Région PACA critique une telle démarche d‘effacement du Pcf, car réduisant la question du rassemblement a celle exclusive des alliances électorales au détriment des propositions novatrices que les communistes peuvent et veulent porter, pour affronter les dominations des droites et des pouvoirs et qui ont fait et font tellement défauts pour contribuer justement aux rassemblements !  

Ainsi, les communistes d’« En Avant le Manifeste » de la Région PACA refusent d’opposer l’option d’une candidature communiste avec le Mouvement social, à même de mettre en avant nos propositions et notre projet pour Paca, et la possibilité d’un rassemblement large des forces de gauche et du mouvement social dès le premier tour.

La question qui nous est donc posée, est de savoir comment nous allons faire vivre une démarche au sein du conseil régional.

Les communistes d’« En Avant le Manifeste » de la Région PACA défendent pour leur part que les communistes doivent partir de leur document contenant leurs propositions qu’ils auront élaboré, des luttes qui peuvent et doivent grandir, les communistes ont besoin de se mettre dans une position de combat.

Depuis quelques décennies, nous donnons à voir un mauvais scénario où nous travaillons les élections comme si celles-ci étaient détachées de nos objectifs de transformation de la société, avec comme focale unique, le résultat et le nombre d’élus que nous aurons.

Cette manière de travailler nous ampute d’une part du temps d’accélération et de débats que sont les élections, un moment fort de la bataille idéologique, mais nous désarme aussi sur la manière d’appréhender nos mandats électifs.

Nous finissons par être centrés sur la gestion, sans voir que celle-ci reste marquée par la domination de classe et des marchés financiers.

Oui nous avons besoin d’élu-e-s mais qui soient en capacité d’affronter cette réalité.

Prenons à ce titre l’exemple des questions énergétiques.

Cela devient un leitmotiv dans les collectivités qu’il faudrait d’une part faire des économies d’énergie, d’autre part qu’il n’y aurait de bien que le renouvelable.

Ce discours qui nous est vendu comme une évidence, mérite d’être déconstruit, afin de montrer que derrière ce sont des logiques libérales au service des marchés, comme l’illustre le projet Hercule. Nous avons besoin de faire l’articulation entre les politiques nationales et celles des collectivités, pour être en situation de combattre les deux quand c’est nécessaire.

Sur la question du rassemblement les communistes d’« En Avant le Manifeste » de la Région PACA croient que les communistes ont la nécessité d’avoir un vrai débat entre eux, et les références au dernier congrès du PCF ne peuvent suffire à les lever.

Nous restons, il apparait ainsi, figés sur une forme de rassemblement, qui est celle des alliances avec d’autres forces politiques. C’était vrai hier avec la Gauche plurielle, puis ensuite dans une autre version avec le Front de Gauche, c’est vrai aujourd’hui avec les morceaux du PS, EELV ou la LFI.

Nous restons sur une vision imposée de l’extérieur, et que nous faisons notre inconsciemment peut-etre, comme quoi le rassemblement serait l’addition des forces politiques, mettant souvent au second plan les contenus politiques, les visions différentes, les projets.

Construire une liste de rassemblement conduite ou initiée par les communistes, n’est en rien, au sens des communistes d’« En Avant le Manifeste » de la Région PACA, en contradiction avec les objectifs que nous nous sommes fixés lors du 38ème congrès.

En partant de contenus, d’objectifs politiques, nous pourrions contribuer à une forme originale du rassemblement permettant aux hommes et aux femmes qui sont en lutte de trouver un terrain d’expression politique, en dehors des organisations réformistes, dans lesquelles la France Insoumise est inclue.

Cette démarche ne nous garantissait pas d’élu, mais elle ne nous interdisait pas non plus d’en avoir.

Sur l’aspect construction à gauche, une telle liste pourrait élargir le champ de la gauche, ouvrant de nouvelles perspectives pour le rassemblement à gauche au second tour.

Créer de la dynamique, construire du mouvement, élaborer un processus exige de s’extraire des cadres imposés.

Les communistes d’« En Avant le Manifeste » de la Région PACA restent convaincu-e-s que le rassemblement demande des conditions, et que celles-ci ne sont pas réunies aujourd’hui.

Elles ne le sont pas parce que nous avons fait le choix actuel de nous désarmer, en excluant la possibilité d’une liste à notre initiative.

Avec les élections régionales, départementales, portons l’exigence de collectivités instrument de démocratisation et contre-pouvoir social et économique.

Les propositions Communistes s’appuient sur les attentes populaires et les luttes sociales et sociétales avec des objectifs de conquêtes sociales et démocratiques.

Contribuant à la lutte contre le réchauffement climatique, promouvant les capacités et l’émancipation humaines dans toutes les espaces de la vie.

Pour les régions, comme pour les départements, la reconquête et la modernisation des services publics – « le patrimoine de ceux qui n’en ont pas ! » – doit être une priorité, et particulièrement celui de la santé qui est mis à mal depuis des années au nom de la rentabilité financière.

En exigeant des pré-recrutements massifs de jeunes dans les services publics, notamment la santé afin que, dans la lutte contre la pandémie, « l’argent public à l’hôpital et pas au capital ».

En proposant de créer de nombreux emplois dans les transports ferroviaires publics pour sortir des embolies Métropolitaines et faire reculer le transport du fret par la route, si polluant en organisant et favorisant le fret ferroviaire.

En bousculant les institutions pour la tenue de conférences citoyennes permanentes pour faire l’inventaire des besoins de création ou conversion d’emplois et de formation et délibérer des moyens financiers nécessaires pour y répondre.

En innovant, à l’appui de ces conférences des Fonds publics régionaux recueillent toutes les aides territoriales aux entreprises pour faire, levier sur le crédit pour leurs investissements :

Aussi, pour les régions, la notion de « Sécurité d’Emploi et de Formation », doit se traduire par l’instauration de FREF (Fonds Régionaux d’Emploi et de Formation). Ces fonds, en lien avec un fonds national (FNEF), doivent permettre, par des prêts à plus ces derniers programmeront d’emplois et de formations de qualité, de progrès écologiques, et plus, par bonification, le taux d’intérêt du crédit serait abaissé, jusqu’à 0% voire négatifs.

Ainsi, entreprises et banques seraient tenues par contrats privés de créance adossés à des conventions publiques régionales de concourir pour réaliser en pratique des buts sociaux.

Ce serait autrement plus efficace que d’illusoires « contreparties » demandées au versement d’aides publiques actuellement sans obligations ni contrôle.

Intérêts bonifiés, garantis par la région ou l’Etat, à taux réduits, d’aider les entreprises qui embauchent et/ou qui mettent en avant la formation des salariés…

Ainsi, par exemple, on aurait la création de Conférences régionales de l’emploi et de la transformation de la production, dans un sens social et écologique ou environnemental, dont les FREF constitueraient le volet financier.

La bataille pour l’emploi, ne doit pas rester un vœu pieu comme le fait le gouvernement actuel qui en reste à l’effet d’annonces, ni de simples incantations, doit s’appuyer sur un système éducatif performant, et là, on peut retrouver les départements pour l’enseignement dans les collèges, ou les régions pour les lycées, la formation professionnelle, la recherche ou le supérieur.

La politique de formation doit totalement être repensée, en lien avec l’Etat, à l’aune de l’emploi qui, avec la santé, est bien la préoccupation première,

Les communistes d’« En Avant le Manifeste » de la Région PACA appellent les Communistes de ne pas se laisser entrainer dans le « cantonnement » du « Rassemblement pour le Rassemblement », vide de tout contenu qui lui porte le fer aux politiques néo-libérales, sans un débat stratégique qui ne ramène le rassemblement aux seules questions d’alliances et  qui empêche de poser des questions fondamentales, de l’alternative .

Nous devons avoir d’autres exigences démocratiques pour notre parti, que la seule reconduction de stratégies passés d’échecs successifs, car seul le débat fraternel et la discussion la plus large, permettront d’aller a une reconquête de l’influence communiste pour une reconstruction d’une gauche de combat.

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Je suis pleinement d’accord pour une candidature du PCF et que Fabien Roussel soit prêt me satisfait pleinement et je pense que la plupart de mes camarades de Tarascon également

Posté par jacques LAUPIES le 25 février 2021

 

Présidentielles : de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace !

Comment préparer l’élection présidentielle dans les circonstances actuelles si tragiques ? L’enjeu ne saurait se réduire à la présentation d’un.e candidat.e. L’essentiel, du fait-même de ces circonstances, réside comme jamais dans les idées à gagner, les propositions à faire avancer, en liaison avec les luttes. C’est ainsi qu’on contribuerait à construire un rassemblement populaire susceptible de changer effectivement les rapports de force contre le capital et pour une autre société. C’est pour cela qu’il faut un.e candidat.e du PCF à la présidentielle et qu’il est important que son secrétaire national se soit dit disponible pour l’être.

Nous pouvons jouer un grand rôle. Mais, pour cela, trois questions essentielles exigent d’être traitées. La première partie de cette contribution traite des deux premières questions. Une deuxième partie traitera de la troisième question et des conclusions qu’on peut tirer de l’ensemble.

Signataires : Boccara Frédéric (94), Cailloux Gisèle (92), Cailloux Jean-Louis (92), Chambon Jean (69), Dimicoli Yves (75), Durand Denis (75) , Durand Jean-Marc (26), Goulmot Cédric (92), Huttl Paul (83), Joly Pascal 94), Lafaurie Anne (94), Marchand Nicolas (94), Ternant Evelyne (25).

 

Le 19 janvier 2021 « EnAvantLeManifeste » a publie un Appel soutenu par 622 co-signataires .« Présidentielle : entrer dans la bataille avec toute notre originalité communiste ».

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Ne vous confinez pas politiquement…

Posté par jacques LAUPIES le 25 février 2021

 

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A propos des élections régionales en PACA :

il y a des opposants à l’orientation  » d’une liste du « Tous Ensemble » sans parti politique, sans projet partagé » Voici leur déclaration
En PACA Entrons dans la bataille des Régionales avec toute notre originalité Communiste. La conférence régionale du Pcf Paca du 24 janvier est primordiale pour les militant-e-s communistes de la Région PACA. Les contenus et les candidatures doivent mobiliser l’ensemble des communistes, pour s’étendre aux amis et partenaires et d’être portés de manière unanime plus largement. Pour les élections Régionales 2021 en Paca, dotons-nous d’une orientation politique basée sur les décisions du 38ème Congrès du PCF.
APPEL, Elections régionales de 2021 en Région PACA :
Pour un rassemblement de la gauche sociale et écologiste avec les citoyen-ne-s
Les élections régionales du 20 Juin 2021, si elles sont maintenues, auront lieu dans un contexte marqué par la pandémie du Covid-19. Des millions d’êtres humains se questionne sur notre société capitaliste qui s’oppose à la valeur que nous mettons, nous communistes, dans la vie humaine, son épanouissement et son émancipation.
La loi Notre de 2015 (Nouvelle organisation territoriale de la République) est un concept ultra-libéral européen qui fusionne les régions, élargit leurs domaines de compétences, pour une mise en concurrence des territoires. Le gouvernement veut des régions, affranchies de l’État, éloignées de l’intervention des citoyens. Ce projet creusera les écarts entre régions. Les territoires seraient concurrentiels avec une concentration des moyens par les plus riches. Cette vision serait mortifère pour les services publics dans les territoires déjà fragilisés au détriment des coopérations et des solidarités entre régions et territoires. Au contraire, les régions peuvent être porteuses de politiques solidaires et d’un service public réaffirmé.
Propositions pour une Région solidaire, écologique et démocratique
Avec les élections régionales, départementales, portons l’exigence de collectivités outils de démocratisation et contre-pouvoir social et économique. Nos propositions s’appuient sur les luttes avec des objectifs de conquêtes sociales et démocratiques. Nous proposons une politique en PACA, contribuant à la lutte contre le réchauffement climatique, promouvant les capacités humaines et l’émancipation dans toutes les sphères de la vie.
UNE REGION ACTION POUR UNE SÉCURITÉ DE L’EMPLOI, DE LA FORMATION
ET POUR LA DÉMOCRATIE
Création d’une Conférence régionale permanente pour l’emploi, la formation et la transformation écologique des productions, avec la création d’un Fonds régional pour la Sécurisation de l’Emploi et de la Formation, avec des conférences permanentes pour l’emploi et la formation mettant en œuvre un plan de créations d’emplois et de formation avec des objectifs chiffrés par secteur. Mise en place de fonds régionaux avec des comités représentatifs permettant une maîtrise démocratique de l’utilisation des fonds publics et bancaires, un suivi et un contrôle effectif des aides publiques et du crédit, ainsi qu’un débat public sur les critères d’attribution des fonds et du crédit. Le droit à la formation qualifiante et choisie est au cœur de notre projet régional avec un service public régional de la formation. Le doublement du budget dédié à la formation professionnelle et l’apprentissage est nécessaire.
L’AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE, LE LOGEMENT ET LES TRANSPORTS : ENJEUX D’EMPLOI ET DE FORMATION, D’ÉCOLOGIE ET DE JUSTICE SOCIALE
Aménagement du territoire :
Il fera l’objet d’une pratique démocratique permanente associant citoyen-ne-s, associations et élu-e-s locaux-ales. Le Conseil régional doit pouvoir être saisi sur toutes les questions jugées utiles par les habitant-e-s.
La région ne subira plus la loi du marché, la spéculation foncière et immobilière, en agissant sur : le rééquilibrage entre lieux de travail et de vie ; les transports en commun et modes de circulation douce ; sur le foncier.
Logement :
Exigeons l’application de la loi SRU et la rénovation massive de logements sur l’ensemble de PACA, avec d’ici 2027 des communes au minimum de 30 % de logements sociaux.
Proposons la création d’un service public national régionalisé du logement, de l’habitat et de la ville en quatre volets :
Un pôle public bancaire régional garantissant la ressource au financement du logement social et l’émancipation des marchés financiers.
Une agence foncière régionale, pour lutter contre la spéculation foncière et immobilière en constituant un domaine public foncier dédié à la construction de logements abordables.
Une sécurité sociale du logement, garantissant le droit au logement pour tous.
Des opérateurs publics de proximité, territorialisés à l’échelle des communes ou des Établissements Publics Territoriaux.
Mobilités :
Au cœur des enjeux écologiques, économiques et d’aménagement du territoire :
L’offre de transports avec un maillage du territoire par une efficience des transports en commun.
L’organisation des lieux de vie et de travail adaptée aux enjeux écologiques, social et sociétal.
Les zones délaissées bénéficieront de transports publics pour en finir avec la désertification et l’usage contraint de l’automobile.
La politique de transports en commun : lutter contre le démantèlement de la SNCF ; permettre aux EPIC de répondre directement aux appels d’offres d’exploitation de lignes, sans filialiser leur activité.
La gratuité des transports en commun urbain, interurbain, pour toutes et tous à l’horizon 2030.
Le transport multimodal ; le développement du fret fluvial et ferroviaire ; la généralisation de l’usage de l’hydrogène pour le transport routier.
SANTÉ, SOLIDARITÉ ET INSERTION DES JEUNES
La Région favorisera la création d’hôpitaux de proximité et refusera toute fermeture de lits. La Région développera les formations sanitaires et sociales. Des structures, comme les centres publics de santé, et l’installation de professionnels de santé seront créées, en lien avec l’Agence Régionale de Santé. Nous porterons l’exigence de la réimplantation en PACA de l’industrie pharmaceutique.
Pour l’action sociale, la Région mettra en œuvre des actions pérennes et ce tout au long de l’année.
La Région, première financière des logements pour les jeunes, étudiants, apprentis ou salariés, se donnera les moyens d’un plan de rénovation et de construction de logements, aux loyers modérés.
La Région développera le sport et la culture pour toutes et tous.
FAIRE DE PACA UN TERRITOIRE DE LA TRANSITION ECOLOGIQUE ET ENERGETIQUE
La Région utilisera la totalité de son budget alloué à l’environnement, et à son budget participatif écologique et solidaire. Tous les projets seront mis en œuvre au regard des exigences écologiques.
Le transport multimodal, combinant fret ferroviaire et fluvial, est un levier écologique à prioriser.
Nous ferons de PACA une zone hors CETA et MERCOSUR, en dénonçant les traités de libre-échange.
Localement, nous développerons les espaces verts urbains, préserverons les espaces naturels et forestiers, et lutterons contre l’artificialisation des sols, en s’opposant à la destruction de terres cultivables et à l’implantation de grands centres commerciaux.
La ressource en eau doit être préservée, avec une régie régionale publique de l’eau, premier pas vers une régie nationale, appuyée sur une tarification progressive et la mise en place de la gratuité des premiers m3.
La Région accompagnera la transition vers un modèle agricole durable en favorisant une agriculture non intensive et éco-responsable, et en permettant aux agriculteurs d’accéder à des réseaux coopératifs pour privilégier les circuits courts et mieux rémunérer leur travail.
LA CULTURE AU CŒUR DE NOTRE PROJET POUR UNE RÉGION ÉMANCIPATRICE
En lien avec les acteurs de la culture, nous mettrons en œuvre une politique culturelle digne de la région, liant soutien à la création, diversification des publics et développement des lieux culturels en particulier dans les quartiers populaires.
FINANCEMENTS
Pour donner aux régions les moyens financiers de répondre aux besoins des populations, nous proposons un plan d’urgence et des États généraux de la fiscalité locale. Nous mettrons fin au Partenariat Public-Privé (P.P.P.) favorable aux grands groupes du bâtiment et coûteux pour la collectivité. Concernant les transports, le versement mobilité payé par les entreprises peut être revalorisé de manière zonée et la TVA transport peut être diminuée. Les taux d’intérêts exorbitants pour les investissements publics utiles doivent être à taux zéro.
UNE CONSTRUCTION POLITIQUE A GAUCHE ET AVEC LES CITOYEN-NES
Le premier constat est que la gauche n’est plus représentée en PACA. Aucun rassemblement de sommet qui vise à être une alternative à la droite ne pourra être source d’engagements pour la majorité des habitant-e-s de PACA, s’il ne porte pas une politique solidaire et écologique avec des propositions construites avec le plus grand nombre.
Le deuxième constat est l’éloignement citoyen nourri des déceptions et renoncements, malgré l’importance des enjeux politiques sur la vie quotidienne. L’abstention a doublé en l’espace de 30 ans. La droite et l’extrême droite eux ne manqueront pas à l’appel
Le PCF peut aider à la mise en évidence populaire des enjeux pour la population, jouer un rôle décisif à ces élections, en sortant des logiques d’effacement et de compromis de sommet. Une victoire de la gauche et des écologistes se construira en PACA en mobilisant de larges parties de la population qui s’abstiendront à défaut de se reconnaître dans un projet répondant à leurs aspirations.
POUR AFFRONTER ET COMBATTRE L’EMPRISE DE LA FINANCE
BATTRE ESTROSI-MUSELIER-FALCO ET LEUR COMPARSE MARIANI !
POUR REPONDRE AUX ATTENTES CITOYENNES ET POPULAIRES
Réfutons la fausse idée que la solution ‘citoyenne’ serait la disparition des partis politiques.
Avoir des élus à n’importe quel prix est une orientation suicidaire en plus d’être anti-démocratique et politicienne. Elle appelle un effacement des contenus et des identités politiques. Une liste de personnalités pour les élections Régionales 2021 en Paca permettrait l’effacement politique des engagements pour un « mouvement ». C’est une déviation pernicieuse de la politique en opposition à une élaboration citoyenne dans et par les luttes agissantes !
Il est inconcevable de ne pas permettre aux électeurs dont les communistes pour les Régionales 2021 en Paca de voter pour des candidats porteurs d’une véritable alternative politique pour combattre le Capital et ses relais.
L’aboutissement aux régionales du 20 Juin 2021 d’une liste du « Tous Ensemble » sans parti politique, sans projet partagé, serait un désastre électoral confortant l’abandon de la Gauche et sonnerait le glas des propositions communistes portes par des élu-e-s communistes.
Il est fort probable que la réponse populaire, aux élections Régionales de juin 2021, sanctionne une telle opération politicienne, par une abstention laissant les mains libres à la Droite et l’extrême-droite !
Rencontrons les salariés sur leur lieu de travail, les associations, les habitants, afin de discuter des projets et les construire par leurs contributions, en les associant à des débats publics thématiques pour porter de façon offensive et transparente nos propositions pour la région et en confrontation avec les autres forces politiques.
C’est là que réside notre force dans le rassemblement de gauche : mobiliser très largement les habitant-e-s autour d’un projet que nous aurons construit avec eux-mêmes à partir de leurs attentes sociales et écologiques.
Premiers Signataires :

Michel PIRROTINA- Marseille 9e
Paul HUTTL-Toulon-Arsenal
Stephen CHALK-Riez, Alpes de Haute Provence
Pierre DASPRE- Cogolin
William MATHEVET-Brignoles
Alain DALLEST-Roquefort 13830
Pierre IVORRA-Hyeres, 83400
Sandrine MACIGNO-LaValette du Var
Philippe COGORDAN-LaSeyne/mer
Marie Simone IVORRA-Hyeres
Claude BOUY-LaValette du Var
Philippe HIMBER-Toulon
Céline IVALDI-LaSeyne/mer
René FREDON-Toulon
Gilles PIAZZOLI -Draguignan
Alain BOLLA-Sollies, 83210
Denis GERNER-LaSeyne/me
Yvan DONNAT-LaCiotat
Jean-Marie JEGOU-St Mandrier 83
Robert TEISSEIRE- LaSeyne/mer
Alain GLEMET-Toulon
Michel CAMATTE – LaGarde
Mathieu MANAVELLA-LaSeyne/mer
Anaïs ESCUDIER- LaGarde
Jean HERQUIN- LaFarlède du Var
Alain APARIS-Evenos 83330
Philippe ROBERT-Cotignac, 83
Pilli PENALVER-Cotignac, 83
Michèle TEISSEIRE-LaSeyne
Raymond DUCHE-Toulon
Patrick BUVAT – La Seyne/mer
Gérard PERELLI – Puget Ville
Saturnin MAROTTO – Vitrolles (Hautes Alpes)
Paulette MAROTTO – Vitrolles (Hautes Alpes)
François VINCENNES -Besse/ Issole, 83
Robert BALDACCINI – Toulon
Michel RENOUF-LaSeyne/mer
Stéphane PETURAUD-LaGarde
Marie-Hélène GUYOT-Toulon
Yvette ESCUDIER – LaValette du Var
Michel CANESTRELLI – Toulon
Bernard BOURDELIN-Marseille, 11e
Claude MAINFROI –Toulon
Michel CANESTRELLI – Toulon
Robert LEPOLLES –Toulon

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La littérature doit occuper le champ de la lutte des classes

Posté par jacques LAUPIES le 22 février 2021

Trop de jeunes s’éloignent de la lecture en général et de la littérature en particulier. Ils abandonnent la télévision au profit d’internet qui les envahit de stupidités avec une profusion d’informations incontrôlables. Comme avec la télévision il y a cependant possibilité de trouver des documentaires des débats, des films de qualité. Encore faut-il les rechercher…

 

 

«	Ces livres, achetés sur le budget de la mairie, échappent à notre politique d’acquisition et nous n’aurons aucun regard sur eux	», explique une bibliothécaire. Julien Jaulin/Hans Lucas

« Ces livres, achetés sur le budget de la mairie, échappent à notre politique d’acquisition et nous n’aurons aucun regard sur eux », explique une bibliothécaire. Julien Jaulin/Hans Lucas
 

Révélation. La fachosphère s’infiltre dans les bibliothèques

Mardi 23 Février 2021

ENQUÊTE. La ville du Blanc-Mesnil en Seine-Saint-Denis annonce l’achat de 4 000 ouvrages référencés par l’association Alexandre et Aristote, créée par une proche d’Éric Zemmour et subventionnée par la mairie. Une intervention inquiétante dans la politique documentaire des médiathèques.

 

La photo de famille date du 29 janvier dernier : au centre, le maire ex-LR (1) du Blanc-Mesnil, Thierry Meignen, entouré de son directeur de cabinet, Vijay Monany, proche de l’extrême droite, de Sarah Knafo et Alexandre Galien, fondateurs d’Alexandre et Aristote. Devant des bibliothécaires médusés, se déroule à la médiathèque Édouard-Glissant une présentation de l’association à laquelle la mairie vient d’accorder une subvention de 20 000 euros. Quelques jours plus tard, c’est au tour des enseignants du lycée technique Aristide-Briand de rencontrer les créateurs de ce nouvel outil de promotion de la lecture. L’idée est simple : « Dis-nous qui tu es, nous te dirons quoi lire ! » clame la page d’accueil du site d’Alexandre et Aristote, qui renvoie vers des sites marchands (Fnac, la Procure et Amazon, remplacé par Place des libraires).

En quelques clics, l’utilisateur doit répondre à un questionnaire sur ses habitudes de lecture (dans le métro, au café ou à la plage), et sur ses centres d’intérêt. Quatre rubriques sont proposées : « Renforcer ta culture politique », « Réussir ton concours et tes études », « Lire de belles histoires », « Te cultiver tout simplement ». Le tutoiement de rigueur s’adresse clairement aux jeunes, que l’association souhaite « guider dans (leur) parcours intellectuel ». En poussant un peu plus loin la recherche, on se rend compte que l’algorithme, qui fonctionne avec une base de 8 000 ouvrages, a le cœur très à droite. À la rubrique « Culture de droite », en activant le filtre « Politique », on ne tombe pas sur les mémoires du général de Gaulle ou sur les livres de Raymond Aron mais sur ceux de Jean Raspail, Éric Zemmour, Eugénie Bastié et Henri Guaino. Plus étonnant, en cliquant sur l’icône « Culture progressiste » (illustrée par un drapeau LGBT), le site nous oriente vers les mêmes ouvrages, auxquels s’ajoutent ceux d’Édouard Philippe et de Philippe Séguin. Le nom de Gustave Le Bon, auteur de la Psychologie des foules (dont s’est inspiré Mussolini), apparaît en bonne place dans plusieurs rubriques.

Aucune concertation avec les professionnels

Contactés par téléphone, Sarah Knafo et Alexandre Galien se défendent de privilégier les ouvrages de droite : « Nous avons établi cette liste à partir de nos bibliothèques respectives, nous avons le sentiment que c’est plutôt paritaire. » S’ils ont refusé de nous communiquer leur bibliographie, ils nous ont en revanche envoyé « quelques exemples » censés correspondre aux goûts supposés d’une journaliste de l’Humanité :   le Manifeste du Parti communiste, Sociologie du genre, une biographie d’Elsa Triolet et Lili Brik…

Courant mars, la mairie du Blanc-Mesnil va acheter 4 000 livres répertoriés par Alexandre et Aristote pour « doter » la médiathèque Édouard-Glissant, selon le terme employé par le journal municipal, le Blanc-Mesnilois. Un lien sur le portail de la médiathèque renverra vers l’association. « Ces livres, achetés sur le budget de la mairie, échappent à notre politique d’acquisition et nous n’aurons aucun regard sur eux. À la médiathèque, nous n’avons pas de livres de propagande en tant que tels, comme ceux d’Éric Zemmour. Cela ne fait pas partie de notre politique documentaire », explique une bibliothécaire. Secrétaire général (CGT) du syndicat des agents territoriaux du Blanc-Mesnil, Antoine Foti partage cette inquiétude : « Nous avons été alertés par un usager de la médiathèque, les agents de la médiathèque n’ont pas été consultés. Une subvention de 20 000 euros représente une grosse somme et on se demande quelle est la plus-value de l’association. Pourquoi ne pas donner cet argent à la plateforme numérique municipale ? La médiathèque fait beaucoup de conseils, d’animation, travaille avec les collèges et lycées, le s Ehpad. » Ancien maire (PCF) du Blanc-Mesnil et élu de l’opposition municipale, Didier Mignot est également très méfiant : « Nous avions l’habitude de ne subventionner que les associations de la ville, avec au minimum un an d’existence. Il n’y a eu aucune concertation avec la médiathèque avant la délibération au conseil municipal. Je suis aussi sceptique du point de vue des pratiques culturelles, ce logiciel n’élargit pas l’horizon des jeunes, contrairement aux médiathèques qui sont une porte d’entrée vers la culture.  »

Sarah Knafo, conseillère de l’ombre d’éric Zemmour

Née en octobre 2020 et domiciliée dans le 6e arrondissement de Paris, l’association Alexandre et Aristote a été créée par Sarah Knafo, énarque promotion Molière, magistrate à la Cour des comptes, et Alexandre Galien, qui a travaillé à la direction régionale de la police judiciaire de la préfecture de police de Paris, avant de se consacrer à l’écriture de romans policiers. Leur point commun est Sciences-Po : ancienne étudiante de la rue Saint-Guillaume, Sarah Knafo y est aujourd’hui maîtresse de conférences en droit constitutionnel et Alexandre Galien a assuré, sous le nom d’Alexandre Barbé, le cours « Roman noir, époque sombre » au Centre d’écriture et de rhétorique.

C’est surtout le profil de Sarah Knafo (lire son portrait ici) qui a fait réagir la CGT et les élus de l’opposition municipale du Blanc-Mesnil : conseillère de l’ombre d’Éric Zemmour, elle œuvrerait pour sa candidature à la prochaine présidentielle. En octobre 2015, comme en témoigne le procès-verbal de la commission paritaire de Sciences-Po, elle soutient la reconnaissance de l’association Front national Sciences-Po et rappelle « que Sciences-Po ne jouit pas toujours d’une bonne image dans les médias : il lui est notamment reproché d’avoir une pensée unique et d’interdire le débat quand elle refuse la venue de certaines personnalités, comme Éric Zemmour ». Un récent article de l’Express révèle qu’elle a organisé une rencontre entre Éric Zemmour et Marion Maréchal dans son appartement parisien en 2019, quelques mois avant la « convention de la droite ». Toujours d’après l’hebdomadaire, elle est proche de Jacques de Guillebon, rédacteur en chef de l’Incorrect, revue dans laquelle s’est exprimé Vijay Monany, chef de cabinet du maire du Blanc-Mesnil et conseiller départemental, qui est intervenu à la convention de la droite et s’illustre régulièrement par des tweets anti-immigrés : « Vous avez beau urbaniser toute la France, vous ne logerez pas toute l’Afrique », pouvait-on lire, par exemple, le 16 décembre 2020.

« Notre projet est 100 % associatif, il n’y a pas d’autre agenda », estime Alexandre Galien. Sarah Knafo, née aux Pavillons-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), affirme que le partenariat avec Le Blanc-Mesnil s’intègre dans le cadre d’un « plan de lecture publique lancé par le maire pour muscler les moyens de sa médiathèque et y faire aller les jeunes ».

Une lettre à la préfecture de Seine-Saint-Denis

Contacté par l’Humanité, le maire du Blanc-Mesnil se défend de toute intention politique: « Les bibliothécaires sont irremplaçables. Le logiciel a vocation à compléter leur mission de conseil de lecture. (…) La commande des ouvrages prescrits par l’association est en cours et ils seront évidemment intégrés au stock de la bibliothèque municipale».

Sur sa page Facebook, Thierry Meignen parle de « renouer avec la lecture » et relaie les soutiens à l’association de personnalités comme Gaspard Gantzer ou Hubert Védrine qui ont enregistré des vidéos. De quoi faire s’étrangler Antoine Foti : « Le maire ne s’est jamais vraiment investi dans la culture, il ne s’est rien passé à la médiathèque depuis six ans. » Ce que confirme Didier Mignot : « Ce n’est pas un coup de tonnerre dans un ciel serein. Depuis son élection, en 2014, Thierry Meignen a supprimé ou amputé beaucoup de subventions d’associations locales sous prétexte qu’elles faisaient de la politique. » Le 16 février, M. Mignot a adressé une lettre à la préfecture de Seine-Saint-Denis demandant un contrôle de légalité sur la délibération en conseil municipal qui a abouti à la subvention d’Alexandre et Aristote : « Le conventionnement d’une association qui garantit la transparence et un usage des subventions conforme à l’intérêt général est obligatoire au-delà de 23 000 euros. Avec 20 000 euros, on échappe aux radars du contrôle. » Alexandre Galien et Sarah Knafo affirment que cette somme servira à « payer le développeur pour passer au-delà d’une version test » et souhaitent, à l’avenir, « devenir un des maillons de la chaîne de la démocratisation de la lecture ».

« Il s’agit bien d’une ingérence dans la politique documentaire »

Pour Antoine Foti, leur démarche est beaucoup moins louable : « Cela banalise ces idées en leur donnant un visage respectable. Notre volonté est de sauver le métier de médiathécaire et de respecter la neutralité. » L’initiative fait aussi réagir l’Association des bibliothécaires de France. Pour Alice Bernard, sa présidente, « la mairie du Blanc-Mesnil délègue à des tiers l’acquisition de livres en méprisant le rôle et l’expertise des bibliothécaires. Il s’agit bien d’une ingérence dans la politique documentaire, d’une forme de pression politique». Simple coup de pouce financier à des proches ou stratégie d’hégémonie culturelle ciblant les jeunes ? Une fois encore, l’équipe municipale du Blanc- Mesnil joue les laboratoires de la droite extrême.

(1) Il est désormais membre de Libres!, le parti fondé par Valérie Pécresse.

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Un point de vue à retenir mais qui en appelle d’autres !

Posté par jacques LAUPIES le 21 février 2021

Pour la simple raison  qu’il traite d’un sujet globalement et de telle manière que cela autorise des amalgames et n’apporte ni aux victimes, ni aux pseudos coupables, le discernement nécessaire pour examiner chaque situation dans ses particularités. Encore moins à un large public qui hélas ne peut juger en l’absence d’éléments certes historiques mais également psychologiques voire philosophiques et politiques utiles à la réflexion… 

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