Médias : qu’est ce qu’ils nous emmerdent !

Posté par jacques LAUPIES le 31 août 2018

 

 

Je ne voudrais pas céder à la tentation de vulgarité, même si au plus haut niveau de l’état l’exemple n’est pas toujours donné, mais  j’avoue ne pas pouvoir y résister après cette journée médiatique consacrée aux propos du chef de l’état. Toute une bande de « branleurs », surement très bien payés, ont ce jour, occupé les plateaux de télévision pour commenter la « petite phrase de Macron, sur les gaulois.

Les gaulois en question , divisés en catégories et classes sociales bien distincte mais pas toujours distinguables, ont pour la plupart compris qu’il s’agissait d’une diversion pour nous éloigner des « vrais soucis » de la caste au pouvoir et de ses godillots sans pouvoir à l’assemblée nationale !

Je présume que les journalistes et commentateurs divers venus prendre les honoraires que doit susciter leur déplacement sur ces plateaux, ne sont eux aussi pas dupes, puisque certains avouent qu’effectivement la diversion est plausible.

Et dire que tout ce temps perdu aurait pu être consacré à nous informer sur l’ineptie  qui entoure les réformes sur les retraites, l’impôt à la source, la politique d’immigration, le service national…A condition que cela soit fait par ceux la même qui les contestent : politiques, responsables d’association, syndicalistes, etc.

 

 

 

 

Pour la troisième année consécutive, associations de chômeurs et syndicats ont entamé leur rentrée sociale face aux patrons rassemblés dans les locaux de l’école de commerce HEC. Julien Jaulin/HansLucas<br /><br /><br /><br />

Pour la troisième année consécutive, associations de chômeurs et syndicats ont entamé leur rentrée sociale face aux patrons rassemblés dans les locaux de l’école de commerce HEC. Julien Jaulin/HansLucas
 

Mobilisation. Ni chair à Macron ni chair à patrons

Jeudi, 30 Août, 2018

Contre un gouvernement à la solde du Medef, des centaines de militants syndicaux, de chômeurs et de précaires ont manifesté devant l’université d’été de l’organisation patronale.

«Nous ne sommes pas de la chair à Macron, nous ne sommes pas de la chair à patrons », entonnent les militants face à un front de CRS bloquant le carrefour donnant accès à l’université d’été du Medef, à Jouy-en-Josas (Yvelines). Pour la troisième année consécutive, associations de chômeurs et syndicats ont entamé leur rentrée sociale face aux patrons rassemblés au chaud dans les locaux de l’école de commerce HEC. Plus tôt dans la matinée, des militants CGT avaient organisé un rassemblement et une distribution de tracts.

« Il y a de l’avenir pour les corps intermédiaires », explique Éric Beynel, porte-parole de Solidaires, soutenant la banderole appelant à bloquer l’organisation patronale. « Pour les 20 ans du Medef et son nouveau dirigeant, nous avons voulu montrer symboliquement que les syndicats sont toujours dans la rue et ont toujours envie de lutter. Presque l’entièreté du gouvernement est venu chercher ici sa feuille de route. »

Sous un drapeau FSU, François Hebert, professeur d’histoire-géo en lycée, est venu dénoncer l’ingérence du privé dans l’éducation nationale. « Pour la première fois dans les Yvelines, toutes les cantines des collèges vont passer en société d’économie mixte. Le privé prend pied dans les services publics. C’est comme avec l’arrivée du numérique dans les lycées et collèges : on ouvre la porte à des groupes comme Apple, qui, en échange de tablettes offertes, s’assure de futurs clients. L’entretien des ordinateurs est également externalisé par l’éducation nationale. Cette musique qui s’installe est révélatrice des dérives de l’éducation nationale, qui délègue de plus en plus le service public au privé. »

Héloïse Valles, à la blouse couverte de papillons revendicatifs, réclame aux patrons « leur participation à l’effort collectif » : « On leur demande juste d’être honnête, de ne pas recourir à l’évasion fiscale ! » « À l’hôpital, reprend cette aide-soignante en Ehpad à Arpajon (Essonne), nos budgets sont contraints et cela pèse sur les services publics rendus. Sur les professionnels comme sur les patients. On emploie de plus en plus de contractuelles, qui ne touchent pas de prime et juste 1 300 euros par mois en travaillant deux dimanches : c’est une aberration, on ne tient pas compte de la pénibilité. Partout, on crée des travailleurs pauvres et on ne s’attend pas à des améliorations avec les annonces de la ministre de la Santé prévues mi-septembre. Ils feraient mieux tous de démissionner comme Nicolas Hulot ! » Après vingt ans de métier, Héloïse s’est syndiquée pour la première fois pendant la lutte contre la loi travail : « Ça m’a fait basculer, je ne pouvais plus être complice de ce système et je suis devenue permanente syndicale à SUD santé. » L’avalanche de lois et de contre-réformes a conforté sa combativité.

« Macron avait annoncé qu’il se donnait deux ans pour changer la France, c’est-à-dire en finir avec notre modèle social, relève Annick Coupé, d’Attac. Il va encore taper fort. Mais aujourd’hui, l’enfumage ne marche plus. Tout le monde voit qu’il s’agit d’un gouvernement de droite, et de droite. Suppression de l’ISF, maintien du Cice sans contrepartie, baisse des cotisations patronales en 2019, baisse de l’impôt sur les sociétés : tout cela répond aux demandes du patronat aux dépens des salariés, des chômeurs, des précaires, des retraités. »

Si certains s’inquiètent d’un rendez-vous manqué de convergence des luttes, d’un fatalisme qui s’immisce face à un gouvernement qui continue d’avancer sans prendre en compte les colères, la secrétaire générale d’Attac se montre attentive aux nouvelles forces en devenir. « Ce week-end à l’université des mouvements sociaux, j’ai participé à un séminaire sur “l’engagement aujourd’hui” qui casse le discours sur des jeunes qui ne s’engageraient pas, seraient dépolitisés. En fait, ils le font différemment, moins dans une organisation que sur un sujet, une mobilisation précis. » La rentrée sociale prendra peut-être de nouvelles formes.

 
Les patrons en veulent plus

Pour les patrons aussi, l’appétit vient en mangeant. Satisfaits des premières mesures du gouvernement – 65 % des dirigeants les plébiscitent, selon un sondage OpinionWay – les chefs d’entreprise font mine de ne pas trop le montrer. Et en réclament encore plus. Selon le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, la « confiance retrouvée reste fragile ». « Nous préférons les preuves d’amour aux déclarations d’amour », a-t-il lancé à l’université d’été des patrons, à Jouy-en-Josas (Yvelines), en critiquant le « très mauvais signal » du report de neuf mois de la nouvelle baisse des « charges » promise au niveau du Smic.

Kareen Janselme

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COMMUNIQUE DE LA SECTION COMMUNISTE DES CHEMINOTS DE MARSEILLE

Posté par jacques LAUPIES le 30 août 2018

 

 

Marseille, le 27 août 2018
Les jours se succèdent et le service ferroviaire se dégrade encore et toujours plus. C’est une véritable descente aux enfers pour les usagers et les cheminots de notre département.
Alors que la réforme ferroviaire qui entérine l’abandon du service public, les usagers et cheminot-e-s de l’étoile de Marseille voient se succéder incidents sur incidents.
Après la 2ème panne de signalisation sur la zone de Miramas, qui engendra suppressions, retards, grosses galères pour les voyageurs et trains de marchandises totalement à l’arrêt, la gare de Marseille vient de vivre le déraillement d’un TGV. Deux incidents majeurs qui doivent faire réagir la région politique et SNCF. Depuis de nombreuses années et particulièrement depuis ces derniers mois, les cheminot-e-s communistes n’ont eu de cesse d’alerter les représentants de l’entreprise, le président de région, pour qu’ils entendent enfin la voix de la raison et daignent écouter les seuls experts dans le domaine du ferroviaire : les cheminotes et les cheminots.
Nous voyons bien les conséquences de l’abaissement des soi-disant coûts de production, qui n’ont visé qu’à réduire l’emploi, l’entretien des infrastructures et du matériel roulant, les conditions de vie et de travail des cheminot-e-s. Le constat est sans appel, le service ferroviaire s’est considérablement dégradé ! Même les cheminot-e-s de l’encadrement, désabusé-e-s par tant de choix stratégiques absurdes le disent : ils ne sont plus en capacité de bien travailler et, selon eux, il est impossible de gommer, en quelques mois, des décennies d’abandon de nos infrastructures.
Alors, nous sommes à même de nous interroger sur l’avenir, avec la réforme du gouvernement ? Comment imaginer un service qui pourrait s’améliorer sans réelle volonté d’investir dans un transport propre ? Les « petites » lignes sont réellement en danger car non entretenue donc non fiables !
Les cheminots communistes dénoncent également les décisions prises par la direction SNCF en cette période de crise. Nous demandons à celle-ci de s’expliquer clairement sur les choix qui ont été faits en matière de plan de transport ! Pourquoi faire le choix de supprimer des dizaines de TER pour faire circuler l’ensemble des TGV et y compris OUIGO ? L’usager du TER est-il un usager de seconde zone moins prestigieux que celui des TGV ? Voilà où conduisent les réformes ferroviaires : faire toujours plus de profits qui rentrent de fait en opposition avec le service public.
Les cheminot-e-s communistes dénoncent les moyens humains qui se concentrent dans quelques grandes gares dédiées au TGV à l’instar des gares et trains Régionaux qui eux se retrouvent sans personnel. Là encore les usagers ne sont pas traités équitablement.
Les cheminot-e-s communistes réitèrent la nécessité d’injecter des moyens humains, matériel et financier dans le ferroviaire, qui répondent aux besoins de transports et environnementaux ; et d’organiser des rencontres communes entre cheminots, direction SNCF et Région politique sur la région PACA.
Les cheminot-e-s communistes appellent les citoyens à faire exprimer leur mécontentement en soutenant la bataille du rail dans laquelle ils/elles se sont engagé-e-s depuis plusieurs mois.

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Pierre Laurent à l’Université d’été du PCF

Posté par jacques LAUPIES le 29 août 2018

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Evidemment je partage bien des choses dites dans ce discours de Pierre LAURENT. Mais je ne trouve pas de réponse très concrète à une question que pourtant lui-même pose  « Mais comment allons-nous trouver la réponse, des réponses qui nous remettent à l’offensive, si nous ne pensons qu’à éviter le pire, à préserver ce qui reste, plutôt qu’à conquérir les grands espaces, ceux qui s’ouvrent à tous ceux qui, comme nous, ont envie et compris que le monde doit changer et qu’il peut le faire en construisant plus d’humanité et non pas plus de violences, d’injustices, de divisions. »

Ce sera précisément au Congrès, me dira-t-on de répondre. Donc je retourne à la base commune sensée déja apporter des éléments de réponse. Et la j’avoue ne pas être satisfait !

Je pense que, comme l’indique Pierre Laurent, d’immenses possibilités de conquêtes existent. Tout simplement parce que les français, et pas seulement eux, s’interrogent sur l’incapacité où se sont trouvés les différents courant idéologiques et politiques d’apporter, ayant été au pouvoir, des réponses solutionnant ! 

Mais il ne croient pas, ou pour le moins sont sans illusion sur les offres qui leur sont faites. La dernière tromperie de masse que symbolise Macron laisse donc, chaque jour qui passe, une sorte de vide politique que s’efforce de combler ce qu’il reste des « partis traditionnels » soumis à la vague libérale qui submerge la planète. De la social démocratie fondue en un social libéralisme jusqu’aux nationalismes « résilients » en passant par la droite qu’elle soit réformiste ou totalement réactionnaire, l’usure se fait sentir.

La réponse progressiste qu’il conviendrait d’oser qualifier de marxiste, qui trouve une explication à une crise permanente du système, qui hypothèque la marche en avant de l’humanité reste dévaluée, quand ce n’est pas ignorée. Bien qu’elle contraigne ses pires adversaires à la dénoncer, elle trouve parfois une expression qui ne la qualifie pas et la dénature.

Sans pour autant renoncer à préconiser des solutions, des combats mêmes, pour y parvenir, sur tous les sujets qui émergent dans la société, nous avons en priorité à mener une lutte idéologique intense.

Et j’en viens à mon éternelle obsession : se donner en priorité un parti fort, un outil (même si l’expression parait galvaudée) pour mener à bien cette bataille  et gagner ! 

Le Congrès ne devrait pas rester dans la généralité sur cette question. C’est ce qui me fait préférer un autre texte !

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Les compromis compromettants…

Posté par jacques LAUPIES le 29 août 2018

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On ne peut se déclarer compétent en tout ! Sur le plan économique et social la critique est relativement aisée et l’art ne me parait pas impossible à pratiquer.

Par contre concernant l’écologie qui a bien évidemment à voir avec les deux domaines précédents les choses me paraissent un peu plus compliquées pour ce qui me concerne.

La nature doit être domestiquée dans bien des domaines. Cela va avec l’intervention de notre espèce pour assurer sa survie et son développement : se nourrir convenablement, s’abriter, se soigner et donc combattre la maladie, réguler nos relations dont il est établi qu’elle doivent reposer sur la solidarité, sur l’entraide, s’éduquer pour faire face à tout cela et trouver les meilleures réponses, bannir les erreurs source de conflit Le travail, donc la transformation de la nature nous ramène à tout cela ! 

C’set de lui que nait la richesse dont l’accumulation est possible pour investir, vivre mieux et satisfaire nos besoins.

Outre les erreurs que nous pouvons commettre dans la transformation de la nature et que provoquent souvent l’ignorance, l’appétit de l’inutile et parfois du nuisible à notre esprit et à notre corps qui forment un tout indissociable, nous établissons entre nous des rapports d’exploitation.

Ces derniers aboutissent à la  domination des uns sur les autres ce qui nous fait dépasser dangereusement le simple comportement animal fondé sur des règles de survie de l’espèce face précisément à une nature hostile. Cela en mettant en cause ce que cette nature peut concéder sans être détruite. Les exemples que donne l’utilisation inconsidérée de l’eau, de la forêt, de la mer pour des productions dont nous pourrions aisément nous passer, démontrent clairement les risques que nous courrons.

Posséder ce qui ne nous appartient pas et qui devrait-être commun, aller au delà de la simple consommation qui nous est nécessaire en l’état des possibilités que nous accorde cette nature, devient une règle qui rejoint son contraire : l’anarchie, l’égoïsme, la paranoïa et finalement la destruction de l’humain !

Alors que faire ?

Sans doute réparer ce que nous pouvons dans l’immédiat, résister au déluge du gaspillage mais cela ne peut aboutir à inverser fondamentalement la tendance. Car lesystème qui prévaut  dans notre monde est celui qui donne toute liberté à une minorité qui pour faire des profits sur le dos d’une immense majorité; dispersée, manipulée, divisée, dont sont exploitées les oppositions d’intérêts souvent médiocres ! Et même à l’échelle de notre microcosme cela fait des dégâts.

Ce système de rapports sociaux d’exploitation doit passer à des rapports de coopération. Mais la propriété privée des moyens de production, d’échange, de communication, et de plus en plus de formation, d’information et d’éducation sont l’obstacle à abattre d’urgence !

Et si on ne s’attèle pas à cette tâche qui seule peut nous permettre de nous doter des moyens nécessaires à notre action de véritable transformation et d’utilisation des ressources naturelles pour une autre  production et une autre consommation, nous serons condamnés à des compromis compromettants.

Monsieur Hulot, en a sans doute fait l’expérience…

 

 

 

 

 

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Copie d’écran France Inter.

Pour ne plus se résigner, Nicolas Hulot quitte le gouvernement

Mardi, 28 Août, 2018
Après un peu plus d’un an d’interrogations sur son action et faute d’avancées suffisantes en matière d’environnement, le ministre de la transition écologique Nicolas Hulot a annoncé mardi en direct sur France Inter sa décision de quitter le gouvernement.
« Je prends la décision de quitter le gouvernement », a déclaré Nicolas Hulot, lors d’une interview en direct sur France Inter, après avoir confié qu’il se sentait « tout seul à la manoeuvre » sur les enjeux environnementaux au sein du gouvernement.  »Nous faisons des petits pas, et la France en fait beaucoup plus que d’autres pays, mais est-ce que les petits pas suffisent… la réponse, elle est non », a-t-il considéré. Une décision qui semblait devenue inévitable : pratiquement dès sa nomination, des écologistes avaient critiqué la présence de Nicolas Hulot au gouvernement vu la politique du gouvernement, notamment en ce qui concerne le nucléaire.  »Je me surprends tous les jours à me résigner, à m’accommoder de petits pas », a ajouté l’ex-présentateur d’ »Ushuaïa », espérant que sa démission pourrait provoquer un « sursaut ».  »Je sais que seul je n’y arriverai pas. (…) j’ai un peu d’influence, je n’ai pas de pouvoir », a-t-il estimé, la gorge nouée.
Nicolas Hulot a précisé qu’il n’avait prévenu à l’avance ni le président ni le Premier ministre de cette décision, par crainte qu’ils ne le convainquent de rester au gouvernement.  »C’est une décision d’honnêteté et de responsabilité », a-t-il déclaré.
« Le Premier ministre, le président de la République ont été pendant ces 14 mois à mon égard d’une affection, d’une loyauté et d’une fidélité à toute épreuve », a confié le ministre, mais malgré cela, le gouvernement n’a pas su donner la priorité aux enjeux environnementaux, a-t-il plaidé, estimant n’avoir pu obtenir que des « petits pas ».
Nommé pour la première fois ministre en mai 2017, après avoir renoncé à une candidature à la présidentielle un an plus tôt, Nicolas Hulot avait dû avaler bien des décisions contraires à ses convictions, au delà de certaines victoires symboliques comme l’abandon du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Il avait notamment dû endosser le report de l’objectif consistant à ramener la part du nucléaire dans la production d’électricité à 50% en 2025, ou l’entrée en vigueur provisoire de l’accord de libre échange UE-Canada (Ceta). Et lundi,l’Elysée avait annoncé que le prix du permis de chasse serait diminué par deux,

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Monsieur Hulot part en vacances

Posté par jacques LAUPIES le 28 août 2018

 

 

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On peut le comprendre car non seulement, avec Macron, l’écologie ne trouve pas son compte mais les français n’y  trouvent pas le leur dans de très nombreux domaines de l’économique et su social.

Sans rejeter l’idée, toute à l’honneur du Ministre démissionnaire, de sa position intenable face au rejet gouvernemental de ses propositions, il faut bien le dire ce moment du départ est bien choisi pour lui !

Car par delà la question de l’écologie le ras le bol général ne peut que rendre populaire celui qui se détache de ce pouvoir. Un pouvoir qui; même s’il peut paraître sur une autre planète ne fait que rester dans la logique de ceux qui le soutiennent : les plus riches de ce monde !

Macron va-t-il chercher un remplaçant à la hauteur de la réputation de Hulot. Il y en qui en ont probablement envie parmi certains écologistes qui très souvent ne manquent pas d’opportunisme en ces circonstances mais bon le risque d’être définitivement grillé est là !

Bref les questions posées par l’écologie sont tellement importantes qu’elles  ont à voir avec les questions politiques en général et doivent s’inscrire dans un programme audacieux en matière de production, de consommation, de santé, etc.

Autrement dit l’écologie doit s’intégrer politiquement dans la question fondamentale de la répartition équitable des richesses pour trouver la possibilité de solutionner les questions qu’elle pose.

Et peut-être faudrait-il en débattre nationalement et se faire prononcer les français ?

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