D’accord avec vous…

Posté par jacques LAUPIES le 30 avril 2017

 

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Le Muguet des communistes de Tarascon  est à votre disposition dès

demain matin à TARASCON (Boulevard ITAM à hauteur de la pizzéria

TONI)

 

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La CGT s’engage contre le FN

Posté par jacques LAUPIES le 30 avril 2017

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Rejeter le pire en votant Macron et battre ensuite la politique néo libérale de ce même Macron

Posté par jacques LAUPIES le 30 avril 2017

 

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Priorités 1 et 2 dans l’action politique du moment !

Posté par jacques LAUPIES le 29 avril 2017

 

Vidéo Le Pen / Face à l’Imposture du FN, mobilisation générale le 1er mai !

 

Hier nous évoquions la nécessité de barrer la route au FN et de ne pas mégoter sur la forme la plus  efficace de le faire. « En votant Macron nous votons aussi contre Macron » Paradoxal, contradictoire me direz vous ? Que non car dans le processus politique actuel de la vie politique de notre pays il y a des priorités (combattre le FN et sa démagogie sociale qui abrite son libéralisme – dit patriote – en est une) Tout comme immédiatement après il faut annoncer notre opposition radicale au libéralisme macronien produit de la mondialisation capitaliste.

Une idée pas facile à faire passer tant elle parait contradictoire pour nombre d’électeurs que nous même avons mis en garde contre le social libéralisme qui a enfanté de ce candidat qui, se disant ni de droite, ni de gauche, est tout simplement une réponse aux besoins politique de la bourgeoisie au stade actuel du développement du capitalisme international et national.

Cependant, il faut être pragmatique et l’histoire nous le prouve souventes fois : on doit aller aux priorités du moment et bloquer cette évolution d’un parti, certes accepté dans la légalité républicaine, mais qui porte en lui de dangereuses pratiques politiques dont la démocratie a souffert dans le passé !.

La priorité un c’est donc de barrer la route au FN et de ne pas lésiner sur le meilleur moyen de le faire en votant Macron dont on s’occupera après !

La priorité deux est de trouver une entente entre les différents courants ou partis qui se sont prononcés contre la politique d’austérité préconisée par la droite et un courant social libéral incarné précisément par « En Marche ». Comme nous l’avions dit et pressenti précédemment (à l’interne du PCF mais aussi à l’externe) le rapport des forces politique devait pré visiblement changer.

Toutes celles et  ceux qui, responsables politiques,  s’en tenaient aux représentativités antérieures vont devoir réviser leur stratégie, trouver la meilleure pour servir les couches populaires qui se sont ralliées à de nouveaux programmes parce qu’elles et ils,  y ont vu un intérêt.

Conscients du rôle que nous jouons dans le combat politique nous devons poursuivre et consolider nos efforts pour affirmer notre influence sachant parfaitement que nous ne sommes pas seuls. D’autres poursuivent des buts semblables aux nôtres. En politique il est de bonne règle de faire des compromis avec des sensibilités différentes à condition bien sûr que cela débouche sur des avancées notables.

Notre deuxième priorité doit donc être de trouver des candidatures efficaces de rassemblement et d’engager la campagne des législatives dès a présent avec l’appui des forces qui ont voté pour Jean Luc Mélenchon.

Concernant la 16ème circonscription des Bouches du Rhône le Parti communiste dispose de forces qui ont largement contribué à un bond considérable de l’influence du candidat Mélenchon. Dans la ville d’Arles à direction communiste en union avec le PS, dans celle de Miramas à direction socialiste en union avec le PCF, à Tarascon (doublement d’influence) et dans la plupart des villages la progression de JLM est spectaculaire.

Sans préjuger des accords possibles au plan national, devenus indispensables dans une démarche unitaire, les communistes de Tarascon considèrent qu’une candidature émanant de leur sensibilité est nécessaire pour garantir une mobilisation suffisante et faire opposition au FN,  à la droite et à « En Marche » dès le premier tour de l’élection législative de juin 2017.

 

Déclaration du Conseil national 26 avril 2017

 

Déclaration du Conseil national du PCF – 26 avril 2017
Le score de près de 20 % de notre candidat, Jean-Luc Mélenchon, constitue un événement
inédit, une forte espérance et un point d’appui dans le combat pour la transformation sociale
et écologiste.
Nous saluons tous les militant-e-s communistes, du Front de gauche, de la France insoumise,
les élu-e-s communistes et Front de gauche, les citoyen-ne-s qui se sont investi-e-s dans la
campagne de Jean-Luc Mélenchon. Ce résultat est le leur.
Dans les villes à direction communiste-Front de Gauche, le score de Jean-Luc Mélenchon est
supérieur à 30 %.
À 600 000 voix près, la gauche est éliminée au soir du 1er tour, la candidate de l’extrême
droite, Marine Le Pen, est qualifiée pour le second tour, 15 ans après le sinistre 21 avril 2002.
Face à elle, Emmanuel Macron, candidat du camp libéral : cette situation est lourde de
dangers pour la démocratie et de nouvelles régressions pour notre peuple !
Le Parti communiste français prend ses responsabilités devant le risque d’élection de Marine
Le Pen et appelle sans ambiguïté à la battre le 7 mai, en utilisant le seul bulletin qui lui sera
malheureusement opposé. Les communistes ont toujours combattu le Front national, ils et
elles refusent de participer à sa banalisation. Ils et elles ont mené, ces dernières semaines,
une campagne active et déterminée, pour mettre au jour, à travers le livre « FN l’imposture.
Droite le danger », les mensonges du FN, sa volonté d’utiliser les souffrances sociales pour
diviser les Français-e-s, mener le pays sur le chemin de la haine, du racisme et de la
xénophobie, faire reculer les valeurs de liberté, d’égalité, de fraternité.
L’imposture sociale et politique de Marine Le Pen, dans les tout premiers jours de la
campagne du deuxième tour prend une ampleur plus grande encore : elle prétend s’appuyer
sur le rejet légitime, dans l’électorat de gauche, dans l’électorat populaire, de ce qu’incarnent
Emmanuel Macron et son projet, pour détourner l’aspiration à plus de justice sociale vers son
objectif fondamental : instaurer plus de division pour mieux préserver les intérêts de la
finance.
Elle prétend s’appuyer sur l’aspiration à la souveraineté populaire et une Europe dégagée de
l’austérité pour la détourner et imposer, avec ses alliés européens d’extrême droite et néonazis,
une Europe de la concurrence entre nationalismes, basée sur la haine des peuples,
tournant le dos aux coopérations, aux valeurs de solidarité et de paix.
Nous ne prendrons jamais le risque de laisser entre les mains de l’extrême droite la gestion du
pays et du pouvoir d’État, les libertés publiques, la sécurité de notre territoire et celle du
monde.
Notre démarche n’est en aucun cas un soutien à la politique d’Emmanuel Macron : nous
l’avons combattu comme ministre, puis comme candidat, dans la rue, au Parlement. Son
projet aggravera les politiques néo-libérales.
Nous empêcherons Emmanuel Macron de faire du vote du second tour une adhésion à son
programme. Toutes les électrices et électeurs de la gauche de transformation sociale et
écologiste doivent pouvoir utiliser le bulletin à son nom dans le seul but qu’ils se fixent :
barrer la route à Marine Le Pen.
Vouloir donner à ce geste une autre signification, ne pas respecter ces femmes et ces
hommes, ne peut que favoriser Marine Le Pen.
Nous combattrons la mise en oeuvre du projet d’Emmanuel Macron, ses choix anti sociaux, sa
volonté d’une recomposition libérale profonde de notre société.
C’est dans cet esprit que nous serons dans la rue le 1er mai, aux côtés des organisations
syndicales et à partir du 8 mai dans toutes les mobilisations contre Macron, et en
l’empêchant d’obtenir une majorité à l’Assemblée nationale.
Les communistes sont totalement mobilisé-e-s pour les élections législatives depuis plusieurs
mois, pour combattre l’extrême droite, la droite et les politiques libérales de Macron, ses
ami-e-s, ses soutiens.
Il faut donc construire dès maintenant le maximum de victoires législatives les 11 et 18 juin
prochains pour les forces de gauche de transformation sociale et écologique.
C’est possible si chacune de ces forces convergent pour construire une représentation
nationale à la hauteur du vote et des attentes de rassemblement exprimés par les électeurs et
électrices de gauche.
Uni-e-s, nous pourrons obtenir des dizaines de député-e-s pour former une force combative,
porteuse de la colère populaire à l’Assemblée nationale, pour mener une lutte sans merci
contre la finance, pour l’égalité réelle, et pour l’Humain d’abord.
Divisé-e-s, nous risquons à l’inverse l’élection de député-e-s porteurs-euses des choix

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Conseil Municipal à Tarascon « en Provence » ce dernier mercredi : on voudrait un débat de fond sur la désertification du centre ville et on nous sert du « Clochemerle »

Posté par jacques LAUPIES le 28 avril 2017

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Ce dernier mercredi le Conseil Municipal était convoqué pour examiner diverses affaires.

Après la minute de recueillement à la mémoire du policier tué récemment aux Champs-Elysées, parole est donnée à la Conseillère régionale qui intervient au nom du groupe municipal qu’elle préside.

Après un long exposé que l’on pourrait résumer en deux lignes, le Maire et son équipe de la majorité sont mis en cause à propos de la fermeture de la « Librairie Mireille »  par l’élue frontiste ! En gros cette dernière évoque une procédure, précédant la décision prise par la Mairie dans l’octroi  du marché des fournitures scolaires à une société concurrente dont l’offre était considérée meilleure. Les règles établies en l’occurrence  qui auraient pu aboutir à favoriser le commerce local n’ayant pas été prise en compte selon elle. L’élue avance même l’idée qu’il n’est pas évident que la concurrence ait été mieux placée !

Bien entendu le Maire conteste la position du FN et comme il le fait souvent regrette une situation qu’il aurait souhaité différente mais qui découle d’obligations légales qui lui sont imposées en l’occurrence.

Il est évident que les deux partis en présence ne veulent pas endosser les conséquences d’un évènement somme toute courant à Tarascon et qui résulte dans cette ville comme ailleurs de double concurrence avec la multiplication des magasins d’un même secteur d’activité en centre ville et le développement des grandes surfaces en périphérie lesquelles pèsent considérablement sur toute initiative commerciale, sans omettre le développement des ventes par internet. 

On peut se plaindre que ces commerces aient une touche « orientale » comme l’a fait l’élue du FN (xénophobie oblige) ou que la population ne donne pas sa préférence au commerce du centre ville, ou comme l’a fait le Maire de droite (qui doit bien savoir que la commodité de la grande distribution et le pouvoir d’achat  réduit des catégories résidant au centre, rendent plus que tout autre chose le petit commerce vulnérable) !

Les deux parties en présence n’ont que le mot « économie » concernant les services publics, oubliant que ce sont les pauvres qui sont les premières victimes de leur réduction et suppression. Cela a transpiré dans le débat qui a suivi, sauf que l’unanimité a été acquise pour que Tarascon devienne Tarascon en Provence. Difficile le débat politicien sur ce sujet car l’initiative est plaisante et difficilement contestable et objet d’instrumentalisation par l’opposition.

Par ailleurs le Maire assume la création d’un poste supplémentaire en prévision de départ à la retraite dans la police municipale et le choix de la personne chargé de la diriger, à l’encontre du FN qui semble préférer une promotion interne et s’interroge sur le jumelage avec Tarascon sur Ariège. Apparemment rassuré parce que cela ne coûterait  rien de plus à la ville.

Au moins les deux parties sont d’accord dès lors que l’on fait des économies. C’est bien là que le bat blesse au niveau des sensibilités politiques qui vont de l’extrême droite à la social démocratie,  avec certes des nuances, mais qui s’insurgent rarement des rémunérations exorbitantes des chefs d’entreprise et des actionnaires si ce n’est parfois parce que l’opinion les y contraint.

Les résultats du premier tour de l’élection présidentielle dans la ville révèlent cependant que le « lanceur d’alerte » Mélenchon et ceux qui l’ont soutenu, ont éveillé et réuni une gauche anti « austéritaire » un tantinet sinistrée ces dernières années et qu’il va bien falloir reconstruire si l’on veut en finir avec la stagnation économique, la régression sociale que provoque l’absence de grands projets pour le développement de la cité !

Le rôle des communistes est essentiel pour cela et comment ne pas inviter au rassemblement avec eux…Mais je m’égare. A plus pour en parler !

 

 

Marine Le Pen cache son programme sous un déguisement social

Jeudi, 27 Avril, 2017
L’Humanité

Son passage sur TF1, mardi soir, puis son « coup » d’Amiens, hier, visent à semer le trouble dans une partie de l’électorat de gauche et ouvrier pour rattraper son retard sur son adversaire du second tour. Lire l’article complet

Conseil Municipal à Tarascon
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La châtelaine de Montretout posant pour des selfies avec des ouvriers de l’usine Whirlpool d’Amiens… Voilà une photographie qui en dit long sur le niveau de la crise politique qui traverse le pays. Sa visite « surprise », hier, sur le parking de l’entreprise, tandis qu’Emmanuel Macron rencontrait au même moment l’intersyndicale dans la chambre de commerce d’Amiens (lire notre reportage ci-contre), montre combien la candidate de l’extrême droite ne lésinera pas sur les moyens pendant cette campagne d’entre deux tours. Étrangement, les déclarations d’amour au Medef de Bernard Monot, économiste du FN, n’ont pas suscité autant d’intérêt de la part des chaînes d’info en continu. « Le FN est l’ami de toutes les entreprises et (je) rappelle que nous sommes de vrais libéraux, partisans sans ambiguïté de l’économie de marché et de la libre entreprise », a-il déclaré sans ambages aux amis de Pierre Gattaz il y a moins d’un mois.

La candidate FN aura également omis de soumettre aux salariés de Whirlpool sa proposition de baisse des cotisations patronales, par exemple… « Marine Le Pen n’aborde pas les problèmes de fond : les dividendes des actionnaires de la société Whirlpool ont augmenté de 10 % et le PDG se fait payer 13 millions d’euros par an.

Dans son programme, elle ne mentionne pas le mot actionnaire ou dividende, elle ne luttera pas dans l’intérêt des salariés, réagissait hier François Ruffin, interrogé par l’Humanité. Je dis aux salariés qui sont tentés par Le Pen pour montrer leur colère qu’il faut voter pour moi (aux législatives – NDLR). Car, avec mon vote, on va vraiment les faire chier », nous lançait le candidat soutenu par le PCF et la France insoumise.

« Revoilà donc la candidate du FN qui nous rejoue la pasionaria sociale », a réagi de son côté Éric Coquerel. Et le coordinateur national du Parti de gauche de rappeler : « N’est-ce pas elle qui traitait les salarié-e-s en grève contre la loi Sarkozy sur les retraites de “gréviculteurs” ? » Lire l’article complet

Chef de la rubrique Politique

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