Pierre Laurent : dénonce la présidentialisation et propose des perspectives avec une VIeme République
Posté par jacques LAUPIES le 13 mars 2017
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Posté par jacques LAUPIES le 13 mars 2017
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Posté par jacques LAUPIES le 12 mars 2017
A l’occasion de mon tour de ville quotidien afin d’activer un peu mes rotules et compenser ainsi (si peu) une inactivité physique dont les effets ne manquent pas de se faire sentir, me voila engageant une discussion avec trois habitués du café de fin d’après midi dans une sorte de boulangerie-pâtisserie-salon de thé, accolé à un super marché.
Me voila impliqué dans une discussion que mes interlocuteurs – ou moi même , je ne sais plus – provoquent. Sans doute la une du journal La Provence évoquant le duel du second tour Macron/Le Pen a pu susciter d’entrée ma réaction : « Même « La Provence » s’inscrit dans l’opération qui vise à rendre fatale la présence de ces deux candidature pour le scrutin final.
Jean Luc Mélenchon que je vois apparaître ce soir sur l’écran dans l’émission « on n’est pas couché » s’est évidemment insurgé contre cette mise en condition au plan national indiquant à juste titre que 50 % des électeurs ne se sont pas encore prononcés, n’ont pas fait leur choix et sont particulièrement troublés par le climat que provoque le comportement des médias. Des médias qui poussent à l’extrême le caractère anti démocratique de la présidentialisation du système en personnalisant la campagne.
Evidemment, tout autant que la question a été posée par les personnes rencontrées (notamment un des deux retraités) : « Pourquoi Mélenchon et Hamon ne s’entendent-ils pas ? » cette question a surgi dans l’émission de Ruquier. Il faut bien reconnaître qu’il y a là une inquiétude. Mais la réponse que nous faisons et qu’en substance a fait Mélenchon et que je me permets de résumer : « Pour l’instant il nous incombe de rassembler notamment parmi les abstentionnistes et les indécis pour aller au delà de ce dont nous créditent les sondages, quant à Hamon il doit faire face à la droite de son parti et doit donc rassembler dans ce contexte difficile »
Ce ne sont pas les paroles exactes de JLM mais je ne crois pas trahir ce qu’il a pu exprimer.
Cela étant, cette argumentation ne peut suffire à évacuer le risque, pour la gauche qui souhaite s’engager dans une voie radicalement opposée à celle suivie par le gouvernement actuel, de ne pas être présente au second tour ! Et dès lors on reporte une possibilité de rupture avec une politique comme l’a justement fait remarquer JLM est dramatique pour les français et met en cause les perspectives de paix !
On peut toujours rétorquer que se rassembler consiste d’abord à élaborer un projet commun et qu’il ne s’agit pas d’une bataille d’égos. Ce qui sans doute est vrai. Mais devant le danger demain d’avoir une extrême droite ou un libéralisme à la Fillon ou façon Macron qui en préparera la venue, pouvons-nous faire une croix sur l’union des sensibilités de gauche ?
Je ne le pense pas ! Toutefois que l’on subisse ou non une telle issue nous devons garder nos objectifs de transformation de la société et, pour cela, développer notre organisation et définir nos stratégies en matière d’Union. Pour l’heure nous devons convaincre.
Coauteur avec Pierre Laurent et Marc Brynhole de « 20 répliques » au FN et à la droite dans un ouvrage publié aujourd’hui, Alain Hayot invite à reprendre l’offensive face au FN.
Votre livre dénonce l’imposture du FN, quels en sont les principaux ressorts ?
Alain Hayot Cette imposture se lit à plusieurs niveaux. Le Front national prétend parler au nom du peuple et les grands médias d’information relaient en permanence cette image, plutôt que de rétablir une vérité pourtant élémentaire : on ne peut pas prétendre parler au nom des travailleurs en les dressant les uns contre les autres. Et Marine Le Pen ne s’emploie qu’à cela. Les Français contre les immigrés, les salariés du privé contre ceux du public, les actifs contre les chômeurs, les travailleurs contre les soi-disant « assistés »… Tout est bon chez elle pour diviser, empêcher les combats communs. Quand elle se réclame de la laïcité ou du féminisme, par exemple, ce ne sont pour elle que des prétextes pour s’en prendre aux musulmans et développer son racisme obsessionnel.
Le FN prétend également s’attaquer à la finance, ce qui lui vaut d’être comparé au projet de la gauche alternative. Que cache ce discours ?
Alain Hayot Mais quelles mesures propose le Front national pour partager les richesses ? Pour prendre le pouvoir sur la finance ? Ces questions sont sans réponse. À l’inverse, il ne veut pas entendre parler d’augmentation du Smic et des salaires, préconise lui aussi la baisse des « charges sociales » des entreprises et des dépenses publiques, la fin des 35 heures et l’assouplissement du Code du travail. Ce que propose Marine Le Pen pousse plus loin la logique de la droite et des libéraux. Sait-on qu’elle préconise la règle d’or – d’inspiration européenne ! – pour atteindre un budget en équilibre à la fin de son mandat en éradiquant la dette contre les services publics ? Elle veut même l’inscrire dans la Constitution comme la préférence nationale. Elle s’en prend sans cesse aux syndicats et souhaite un retour aux organisations corporatistes. Tout cela au bénéfice de qui ? Du peuple ou des intérêts privés ? Poser la question, c’est déjà y répondre.
Son projet sur l’Europe se pare des mêmes vertus de rupture avec les logiques actuelles…
Alain Hayot Le Front national veut sortir de l’euro, et de l’Union européenne plutôt que de la refonder. On voit ce que cela signifie avec le Brexit : une relance de la concurrence entre les peuples, du dumping social, fiscal et environnemental ! Et une soumission de la France au modèle de Marine Le Pen, celui de Donald Trump avec son « Amérique d’abord ! ». En fait, la candidate d’extrême droite ne remet pas en cause le capitalisme, elle souhaite qu’il s’épanouisse à l’échelle nationale. Le monde de la finance n’a rien à craindre du projet de Marine Le Pen.
La dénonciation morale du Front national est régulièrement jugée inefficace… Le considérez-vous également ?
Alain Hayot Je ne suis pas de ceux qui opposent ce qu’on appelle la dénonciation morale du FN au combat contre l’imposture sociale qu’il incarne et que je viens de démonter. La lutte contre le Front national se situe fondamentalement sur le terrain politique et englobe dans un même mouvement trois chantiers. Celui de la solidarité car nous devons quotidiennement combattre toutes les tentatives de divisions, les racismes et les discriminations en développant les luttes communes pour vivre, agir et conquérir ensemble des droits sociaux, culturels et citoyens dans la cité comme dans les entreprises. Celui de la bataille des idées pour démonter une à une les fausses évidences, tordre le cou aux mensonges et dénoncer les mythes. Non, les immigrés ne sont pas la cause de la crise ! Enfin, le dernier chantier est celui de la refondation à gauche d’un nouvel espoir émancipateur pour notre peuple. C’est l’absence de ce grand projet qui ouvre un boulevard à Marine Le Pen en particulier dans la jeunesse et les classes populaires.
Marine Le Pen est en tête dans les sondages et le FN a progressé lors des élections intermédiaires. La candidate d’extrême droite peut-elle l’emporter ?
Alain Hayot Oui, le danger est bien réel. Pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, l’extrême droite voit s’ouvrir une fenêtre. Le contexte international avec l’élection de Donald Trump aux États-Unis, la crise du modèle libéral européen qui favorise l’émergence de forces nationales-populistes sur tout le continent ou encore l’irruption d’un théofascisme dans le monde arabo-musulman contribuent à cela. En France, le phénomène a été considérablement facilité par l’échec des politiques ultralibérales et antisociales menées successivement par des forces se réclamant de la droite et de la gauche comme lors du quinquennat qui s’achève. Elles ont permis au FN d’apparaître comme une force neuve qui porte un projet alternatif à la gigantesque régression sociale que nous connaissons.
Alors qu’Emmanuel Macron et François Fillon sont, outre le FN, aujourd’hui les mieux placés dans les enquêtes d’opinion, un second tour droite–extrême droite est-il inéluctable ?
Alain Hayot Rien n’est inéluctable même si, effectivement, les sondeurs nous prédisent le pire scénario. Mais les forces existent pour déjouer le piège qui nous est tendu, pour que le paysage politique national ne se réduise pas à un affrontement entre les libéraux et les populistes. Dans les deux cas, c’est la guerre au monde du travail qui sera déclarée en même temps que nous ferons face aux pires obscurantismes. Soyons conscients que, partout dans le monde, des forces nouvelles se lèvent. Aux États-Unis, Donald Trump rencontre de grandes difficultés à mettre en œuvre sa politique. En Europe, des mouvements contre l’austérité, le libéralisme et le populisme rassemblent des forces diverses, de gauche, écologistes et citoyennes. Ces forces existent en France depuis plus de dix ans, elles ont déjà marqué le paysage politique comme en 2005 avec le non au référendum, ou en 2012 avec la campagne du Front de gauche pour Jean-Luc Mélenchon. Depuis un an, elles affirment sous diverses formes leur volonté de rassemblement. Des différences existent, mais c’est sur un fond anti-austérité et antilibéral qu’elles doivent être surmontées. À droite, le lepénisme a su imposer son hégémonie idéologique. À nous, à gauche, de reprendre l’offensive pour une révolution culturelle et citoyenne.
Le piège du vote utile face à l’extrême droite, longtemps utilisé par le PS pour imposer son hégémonie, ne risque-t-il pas pourtant de se refermer sur la gauche avec le vote Macron ?
Alain Hayot On assiste en effet, depuis quelques jours, à une campagne médiatique, politique et sondagière destinée à faire du vote Macron un vote utile contre Marine Le Pen. Il faut mettre en garde, c’est précisément parce que nos concitoyens n’ont plus vu de différence entre la droite et la gauche, parce qu’on leur a seriné l’idée qu’il n’y avait pas d’autre politique possible que celle imposée par la troïka européenne et les marchés financiers qu’une partie d’entre eux se tourne vers le FN. Or, Macron, candidat libéral ouvertement soutenu par la finance mondiale, rejoint par des personnalités venues à la fois de la droite et de la gauche, représente la quintessence de ce que les lepénistes nomment l’UMPS et dont ils ont fait leur fonds de commerce. Seule une authentique politique de gauche, sociale, écologique et citoyenne, peut s’opposer efficacement à la vague populiste. L’exemple américain est là pour nous alerter.
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Posté par jacques LAUPIES le 11 mars 2017
Lors de ce rendez-vous hebdomadaire nous soumettons plusieurs sujets marquants de la semaine au directeur de l’Humanité, Patrick Le Hyaric, afin de recueillir ses réactions et analyses. Au sommaire de l’édition du vendredi 10 mars : la famine dans la corne de l’Afrique, le droit au logement, la journée de mobilisation pour la défense du service public de la santé, les ATSEM en lutte pour leur statut, les femmes dans la révolution russe et solidarité pour Jamal Abu-Leil.
Le candidat socialiste à l’élection présidentielle, qui dévoilera l’ensemble de son projet jeudi prochain, a précisé jeudi soir lors de l’Émission politique, deux points, sur l’avenir de l’UE et de son revenu universel.
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Posté par jacques LAUPIES le 10 mars 2017
Le bon
la brute
le truand (un exemple de cohabitation des « gauches » avec un Maire qui doit obliger à avaler des couleuvres)
On ne peut en qualité de citoyen de gauche, communiste par dessus le marché, ne pas s’être senti solidaire du candidat socialiste.
D’autant qu’il n’a pas bénéficié de la sollicitude des journalistes et autres personnes auxquelles il a été confronté. Au fond il s’est bien sorti de cette émission. Et lorsqu’on met en avant la défection de ses collègues de parti il a le bon sens de rappeler que ce sont les électeurs de gauche à la primaire qui l’ont choisi et à qui il doit des comptes. Façon sans doute de rappeler que ces hirondelles ne font pas le printemps !
Certains des adversaires et parfois des amis du candidat Hamon voudraient lui coller une étiquette d’incompétence pour la fonction de Président y seront pour leur frais. Benoit Hamon allie précisément des qualités de débateur renforcée par la connaissance de « ses dossiers »
Il y a belle lurette que je fais preuve de scepticisme dès lors que je suis soumis à un discours politique émanant d’autres partis que le mien (et même parfois mais plus rarement du mien). Mais pour autant je considère qu’il faut aussi savoir faire confiance en un homme ou une femme politique, sans quoi plus rien n’est possible. Cependant ce faisant nous prenons le risque de ne pas voir se réaliser ce que nous espérions mais il faut se dire à l’inverse que sur nos points de désaccord il peut y avoir une évolution favorable à notre points de vue !
Dans les circonstances présentes si Hamon est au second tour (ou Mélenchon que nous soutenons) je n’aurais évidemment pas d’état d’âme particulier quelle que soit ma préférence.
Le problème est que dans le contexte actuel la question devait pouvoir se poser au premier tour, sinon nous allons en prendre pour cinq ans de nouvelle austérité et bien plus grave encore avec les institutions dépassées dont nous disposons !
Il est encore temps pour ces deux camps de la gauche authentique de penser union et de placer le projet prioritairement à une quelconque recherche de leadership.
PS – J’ai bien aimé quand Hamon a interpellé Vauquiez sur sa « générosité » chrétienne concernant l’immigration en s’appuyant sur le pape François !
Après plusieurs défections dans les rangs socialistes, de Delanoë à Bartolone, le premier ministre a à nouveau enjoint le candidat PS « à rassembler toute sa famille politique »… et à assumer le bilan du quinquennat.
La mise en scène est bien rodée. Benoît Hamon, élu à la primaire socialiste grâce à la cristallisation d’un rejet de la ligne du quinquennat Hollande, recevait jeudi matin Bernard Cazeneuve à son QG de campagne parisien, devant un parterre de caméras. Le Premier ministre a fait le déplacement pour lui signifier sa « disponibilité dans cette campagne » afin de se rendre « utile », a-t-il déclaré à la sortie de leur entretien, d’une quarantaine de minutes. L’objet : une discussion autour des solutions en matière de lutte contre le terrorisme et de la montée de l’extrême droite.
Il n’a pas manqué, sur plusieurs minutes, d’énumérer les tâches lancées par son gouvernement sur ces mêmes questions… avant de préciser qu’il s’agit d’inscrire « l’espérance qu’il (Hamon – NDLR) incarne dans la continuité de ce qui a été fait de positif pendant ce quinquennat ». Il a évoqué avec le candidat, précise-t-il, ce qu’il a « toujours dit franchement » : « Nous sommes à un moment où il faut rassembler, et rassembler tous ceux qui sont déterminés à lutter contre le Front national, et en ce qui concerne le candidat investi par la primaire, il faut rassembler toute sa famille politique ». Quelques jours après la victoire du socialiste à la primaire, cette même mise en garde était formulée lors d’une réunion entre les deux acteurs à Matignon. Sur Twitter, Benoît Hamon s’est félicité du « soutien » du Premier ministre. Pourtant, le mot ne sortira pas de la bouche du dit-chef du gouvernement. « Il est venu jusqu’au QG de campagne, a montré qu’il était à ses côtés pour une session de travail… Existe-t-il quelqu’un qui veut être utile à un candidat qu’il ne soutient pas ? » rattrape un membre de l’équipe de campagne. Ce soir, lors de l’Emission politique de France 2 où Benoît Hamon est invité, ce seront Christiane Taubira, Vincent Peillon et Matthias Fekl qui seront « à ses côtés », n’oublient-ils pas de préciser.
Avec une campagne qui patine et les défections des socialistes qui se multiplient, afficher une image d’unité est un défi. Coup supplémentaire pour Benoît Hamon : une quarantaine de parlementaires de l’aile droite socialiste (les « réformateurs »), qui avaient déjà affiché leurs réticences à la candidature du député PS des Yvelines à la présidentielle, semblent partis pour publier demain, vendredi, une tribune annonçant leur ralliement à Emmanuel Macron, selon Le Fiagro. « La campagne de Benoît Hamon a confirmé l’intention de rompre avec cette mandature et de fédérer tout ce qu’elle compte d’opposants à la majorité sortante!
Cette stratégie ne permettra pas de définir un programme crédible de gouvernement pour la fin mai », écrivent-ils. Après l’ancien maire socialiste de Paris, Bertrand Delanöe, et avant, sans doute d’ici quelques jours, Jean-Yves Le Drian, c’est le président de l’Assemblée nationale Claude Bartolone qui a annoncé vouloir voter pour Emmanuel Macron « dès le premier tour » s’il estime que « la démocratie est en danger et que c’est la seule alternative », précise-t-il dans Paris Match. « Ces ralliements, dits par vote utile, ne sont pas rationnels.
Le fil rouge de Macron, c’est la dérégulation généralisée qui n’a pas marché chez les Anglo-Saxons dans les années 1980. La question n’est pas ‘’un vote utile pour qui ?’’ mais ‘’pour quoi ?’’ Nous disons pour un avenir », rétorque un cadre de la campagne, mettant en avant les différents entretiens avec les socialistes ou proches du PS, pas encore convaincus par le programme de Benoît Hamon afin de peaufiner un programme définitif dont la publication est prévue jeudi prochain. « Les portes sont grandes ouvertes jusqu’au 6 mai au soir », annonce-t-il. Reste à savoir sur quelle ligne.
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Posté par jacques LAUPIES le 9 mars 2017
Les commentaires sur les lâchage de Hamon par nombre de « grosses têtes » du PS vont bon train et tous ceux qui se masturbent l’esprit avec ça devraient s’interroger sur le fait que ce sont les électeurs qui ont fait le choix et qu’ils n’est pas sur qu’ils pourront jouir de leur trahison ou pour certains journalistes de leurs analyses partisanes.
Car là vraiment le mot trahison n’est pas trop fort : jouer le jeu d’une primaire pour obtenir une consécration de candidature et ensuite, battu, filer dans le camp du fric macronien qui serait soi disant notre protecteur contre l’extrême droite alors qu’il est l’arme principale de son existence, n’est autre que forfanterie politique.
Une de plus dans ce paysage nauséabond d’une campagne qui évacue, autant que faire se peut, les grands sujets qui préoccupent les français et sur tout les solutions que l’on peut y apporter !
Le Parti Communiste propose les siennes , comme le fait le candidat Mélenchon et il est grand temps que les égarés dans le vote d’extrême droite et surtout les abstentionnistes dont beaucoup ont rejoint ce camp par déception de la gauche d’Hollande, de Valls et de ceux là même qui quittent le bateau PS qui ne sait trop quel pavillon exhiber, que ces électeurs déçus prennent conscience qu’ils ont à leur disposition un parti qui pense réfléchit et agit avec eux et pour eux.
Jean-Luc Mélenchon, candidat de la France insoumise soutenu par le PCF, Ensemble ! et le PG à l’élection présidentielle, fait de la manifestation du 18 mars pour une VIe République un moment clé de sa campagne. Extrait du grand entretien qu’il a accordé à l’Humanité Dimanche.
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