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Soutenez les salariés de la SNCM et donc la SNCM

Posté par jacques LAUPIES le 10 juillet 2014

« France 3″ organise un      sondage sur la journée, suite au conflit de la SNCM.    

Le résultat sera diffusé dans le        journal « SOIR 3″.

Camarades, amis, familles … et tous ceux qui sont attachés à        défendre les biens et        services publics dans        l’intérêt général et contre les démantèlements et la spoliation de nos patrimoines chèrement acquis        qui sont « offerts » par nos Gouvernements.
PARTICIPONS ET          SOYONS TRES NOMBREUX
Ci-joint le lien du        sondage de France 3 à la question posé du jour.

« Le Gouvernement doit-il aider        la SNCM ? »

En disant « OUI » disons leur « STOP »

–> http://www.francetvinfo.fr/

Merci à TOUS

A Diffuser largement

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Sénatoriales

Posté par jacques LAUPIES le 10 juillet 2014

 

A Tarascon notre position lors des élections municipales pouvait permettre à la gauche d’être présente au Conseil municipal puisque nous préconisions une liste de large union par delà les divergences qui existaient entre PS et PG, divergences qui furent essentiellement à l’origine de l’échec.

Nous avions considéré que cela pouvait éviter de faire élire un Conseil Municipal où serait fortement représenté le FN et ou les élus de la majorité ne brilleraient pas par leur souci d’établir une solidarité plus grande dans des domaines aussi importants que le logement, la santé, l’emploi, l’éducation et la formation, l’aménagement du centre ville.

Comme nous ne sommes pas irresponsables nous attendons évidemment de voir ce qu’il en sera dans tous ces secteurs.

Mais ce ne sont pas les gestions passées de la droite et les orientations actuelles du gouvernement socialiste qui nous conduisent à l’amalgame. En tous cas personnellement je ne suis pas de ceux qui confondent PS, Droite UMP-UDI, FN même si je vois dans ces courants une inaptitude à régler certaines questions économiques et sociales fondamentales qui se posent au pays.

Il y a des différences qui pourraient-être plus marquantes si le Parti Communiste et ses alliés du Front de Gauche bénéficiaient d’un plus grand soutien et si les travailleurs de ce pays arrivaient à consolider et développer un mouvement social qui rappellerait  le Parti Socialiste au retour vers les valeurs de la gauche.

Par contre je crois qu’il serait stupide, au moment ou l’on célèbre Jean Jaurès, qui avait le mérite de tout faire pour rassembler la famille socialiste française sur des bases certes qui font encore débat, il serait donc stupide de ne pas faire en sorte que partout ou cela est possible la gauche se prive de faire bloc contre une droite dont les recompositions en cours ne sont pas sans être inquiétantes. Le Sénat est un de ces lieux !

Aucun parti dans notre pays ne peut prétendre gouverner seul, malgré une constitution et un système électoral qui peut lui donner la majorité absolue au parlement. Mais même lorsqu’il ne s’agit pas de gouverner, face au risque de durcissement de l’adversaire, doivent se rassembler les forces susceptibles de faire progresser la société et combattre celle qui conduisent au conservatisme et parfois même à la régression économique et sociale.

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Imaginez qu’au lieu d’une dizaine de députés communistes il y en ait une centaine : votre sécu, vos retraites, seraient certainement moins menacées car une politique de gauche serait incontournable.

Le passé l’a prouvé et le pays et son économie ne s’en portait que mieux !

 

Sénatoriales : Pourquoi le Parti Socialiste fait le mort

 

Suite aux résultats des municipales, la majorité du Sénat risque de passer à droite au lendemain des sénatoriales de septembre. Pour la première fois depuis 1945, le Sénat pourrait compter en son sein des sénateurs d’extrême-droite !

Comment expliquer le silence de la direction nationale du Parti Socialiste vis à vis de plusieurs forces de gauche dont le PCF sur la possibilité dans plusieurs départements de réélire un sénateur de gauche ou d’en gagner un du fait de la proportionnelle.

Il n’est pas pensable que le Parti Socialiste préfère un Sénat avec une majorité de droite plutôt qu’une majorité de gauche, certes insoumise à des réformes gouvernementales.

Bien évidemment, un accord sur tout le territoire national est rendu extrêmement difficile en raison des divergences profondes au sein des forces de gauche. Le PCF n’en fait pas la demande: il demeure en revanche disponible pour examiner certaines situations départementales qui, selon le mode de scrutin (majoritaire ou nouvellement proportionnel dans 17 départements) permettraient de battre la droite.

Des accords départementaux sont encore possibles dans le respect mutuel et sans rien retrancher de nos différences et de nos divergences sur l’avenir de notre pays, sur des réformes gouvernementales et particulièrement celles des collectivités territoriales.

L’apport des cinq sénateurs et sénatrices du groupe CRC renouvelables est décisif dans l’objectif du maintien d’une majorité de gauche. Comment ne pas y voir un atout contre l’élection d’un(e) président(e) de droite et pour l’élection d’un(e) président(e) de gauche au Sénat ?

Le 28 septembre, le PCF entend offrir le moyen de s’exprimer, par leur vote, à des milliers de grands électeurs de gauche.

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Guerre économique, guerre de religion, guerre coloniale

Posté par jacques LAUPIES le 9 juillet 2014

 

Je suis allé une fois en Israël. Le pays est beau et Jérusalem m’a impressionné. Ce voyage était un repérage touristique et j’y ai rencontré des guides professionnels vers lequel m’avait orienté des relations du milieu israélite à Paris.

Il s’agissait d’organiser un voyage pour des Témoins de Jéhovah de la région parisienne. Je baignais donc dans les communautés religieuses  moi qui, comme chacun a pu le constater, suis un athée. J’avais déjà conduit une centaine de Témoins aux Etats-Unis et je dois dire que cela me changeait un peu des groupes habituels qui étaient issus des Comités d’Entreprise ou d’associations diverses.

Ces adeptes dont je m’efforçais de satisfaire les exigences particulières ne trouvaient pas toujours le même respect de leur croyance, y compris parmi les professionnels qui les accompagnaient et, me semble-t-il, m’en étaient reconnaissants.

Leur insistance à vouloir parfois tenter de me convertir était gentiment repoussée, mais j’avais l’impression  qu’au fond ils préféraient avoir affaire  à un incroyant plutôt qu’à des convertis à d’autres religions qui comme on dit, ne leur faisaient pas de cadeaux. Le réflexe des israéliens était un peu identiques. Visiblement la neutralité était payante (sans jeu de mots).

J’ai pu constater, ayant des catholiques et des protestants dans ma famille, que le phénomène était identique. Cette position, « d’arbitrage » en quelque sorte, est assez confortable. Elle a existé dans mes relations avec des musulmans lesquels pourtant, ont bien de la peine pour certains que je connais, à comprendre que l’on puisse rejeter l’existence de Dieu.

Mon propos est un peu léger au regard de ce qui se passe à Gaza et dont l’article de l’Humanité ci-dessous fait état. Mais cependant il me rappelle que les échanges culturels, leur caractère économique, qui trouvent dans l’activité touristique un terrain favorable atténuent voire effacent complétement les querelles.

A l’inverse ces dernières s’accentuent quand des oiseaux puissants et de mauvaise augure prétendent imposer leurs dictats pour défendre la spoliation (de biens et de territoires) la privation de libertés politiques. Dès lors les spiritualismes religieux souvent culturellement intéressants, bien que j’ai du mal à suivre leur côté mystérieux, pour ne pas dire mystificateur,  deviennent prétexte pour ces aigles et sont instrumentalisés pour égarer les fidèles.

Chacun sait qu’il n’est pas de la vocation des religions de prôner la violence. La question vaudrait d’être posée aux juifs radicaux israélien et même à ces radicaux islamistes qui peinent à choisir d’autres voies.

Bien entendu le conflit israélien n’est qu’une affaire de terre promise et la guerre qui s’y déroule depuis 70 ans dans une région déstabilisée bien avant a toute les caractéristiques de ces maux dont souffre l’humanité : cupidité des possédants, nationalisme, colonialisme, obscurantisme religieux, etc. Un assemblage détonant qu’il faudra bien réduire et liquider un jour.

 

 

Sous les bombes, Gaza redoute une opération terrestre

Lina Sankari
Mercredi, 9 Juillet, 2014
Guerre économique, guerre de religion, guerre coloniale dans POLITIQUE gaza_0

Hier, des raids ont fait six morts et 25 blessés à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza.
Photo Stringer/Reuters
Hier, le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, rencontrait les chefs d’état-major qui n’excluent plus une extension des opérations. 40 000 réservistes ont été rappelés. Après la destruction de maisons, le Hamas menace également d’élargir la riposte.

La rue n’en finit plus de porter ses cercueils. Depuis la mort des trois jeunes colons israéliens, les bombes pleuvent sans distinction sur Gaza : « Quelle horreur ! » écrit Ziad Medoukh, responsable du département de français à l’université Al Aqsa, dans l’un de ses billets quotidiens. « Les raids ont touché plusieurs maisons, écoles, usines, centres, bâtiments et terrains agricoles dans toutes les villes de la bande de Gaza. Cinq maisons ont été détruites suite à ces bombardements aveugles. Nous assistons à une vraie scène de guerre : bombes, missiles, morts, blessés, destruction massive et horreur. Et ça continue ! » Hier, 12 Palestiniens ont été tués et plus de 70 blessés dans des raids israéliens sur l’enclave, selon les services d’urgence. L’opération « Haie de protection » vise officiellement à mettre fin aux tirs de roquettes du Hamas depuis Gaza qui ont blessé, lundi, deux Israéliens. Sous la pression de l’extrême droite, le débat s’intensifie dans les cercles de la défense israélienne autour d’une offensive terrestre dans les semaines à venir. 40 000 réservistes ont été rappelés si ce scénario venait à se préciser.

Les négociations pour parvenir 
à un cessez-le-feu semblent 
vouées à l’échec

Hier matin, le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, rencontrait les chefs d’état-major à la Kirya, le siège de l’armée à Tel-Aviv. À l’issue de cette réunion, la déclaration de Moshe Yaalon, le ministre israëlien de la Défense, laissait entrevoir une opération intensive et de longue durée : « Nous avons frappé fort et frappé des dizaines d’objectifs terroristes du Hamas au cours des dernières heures, l’armée israélienne poursuivra ses efforts et infligera un très lourd tribut au Hamas, nous ne tolérerons pas les tirs de roquettes sur les communautés israéliennes, et nous nous préparons à étendre l’opération par tous les moyens à notre disposition jusqu’à l’anéantissement du Hamas. » Dans ce contexte, les négociations pour parvenir à un cessez-le-feu entre la mouvance islamiste et Tel-Aviv par l’entremise des services secrets égyptiens semblent vouées à l’échec. Les brigades Ezzedine Al Qassam, la branche armée du Hamas, n’ont d’ailleurs pas hésité à prévenir que le ciblage de maisons par l’armée israélienne constituait une « ligne rouge » : « Si cette politique ne cesse pas, nous répliquerons en élargissant le cercle de nos cibles au point de surprendre l’ennemi. » En clair, le Hamas pourrait frapper au-delà des localités du sud d’Israël, situées dans un rayon de 40 kilomètres autour de la bande de Gaza. Après la mort de deux enfants et cinq adultes dans le bombardement de leur maison à Khan Younès, au sud de la bande de Gaza, le message a d’ailleurs été confirmé par le porte-parole du Hamas, Sami Abou Zouhri : « C’est un crime de guerre horrible, et tous les Israéliens sont devenus désormais des cibles légitimes pour la résistance. »

Malgré la formation d’un gouvernement d’union début juin, le risque est grand pour les Palestiniens de renouer avec le concert de voix discordantes. Au sein même du Fatah, la coordination sécuritaire avec Israël a de nouveau été l’objet de vives critiques lors d’un comité central, la semaine dernière.

La Ligue arabe a demandé 
une réunion d’urgence du Conseil de sécurité des Nations unies

Le président palestinien, Mahmoud Abbas, exhortait hier la communauté internationale à « intervenir immédiatement pour arrêter la dangereuse escalade qui pourrait provoquer davantage de destruction et d’instabilité dans la région ». Seule la Ligue arabe a pour l’instant répondu à l’appel en demandant une réunion d’urgence du Conseil de sécurité des Nations unies. À l’heure où Tel-Aviv menace d’intensifier ses attaques, le journaliste israélien Gideon Levy pointe l’isolement des Palestiniens : « Aucun État arabe n’est derrière eux et le monde fait preuve de son peu d’intérêt. » De fait, le président américain Barack Obama s’est contenté d’appeler à la « retenue », autrement dit de détourner le regard. Si Gideon Levy ne croit pas au déclenchement d’une troisième Intifada, il convient que le climat de vengeance et de haine est susceptible de dégénérer : « Un seul incident peut faire perdre le contrôle (aux dirigeants palestiniens – NDR). »

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Spot publicitaire de la SNCF : une insupportable provocation

Posté par jacques LAUPIES le 8 juillet 2014

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Alors que le texte de la réforme ferroviaire a été adopté mardi 24 juin dernier à l’Assemblée Nationale, la direction de la SNCF estime de bon ton d’avoir recours à la provocation et au mépris.

Un spot publicitaire diffusé à la télévision depuis hier présente, sur un ton surjoué, les « regrets » de la SNCF face au « moments pénibles » vécus par les usagers lors des mouvements de grève. La direction assure avoir « tout mis en œuvre » pour soulager des voyageurs quasi-martyrs, à qui l’on distribue des bouteilles d’eau, dans une mise en scène digne d’une opération de secours humanitaire.

Il s’agit là d’une insupportable hypocrisie. En rejetant la responsabilité des perturbations sur les cheminots, qui n’ont fait qu’exercer le droit de grève que leur garantit la Constitution, la direction de la SNCF cherche à se donner bonne conscience. Le conflit n’aurait-il pas été évitable si elle avait accepté d’écouter les revendications et les propositions portées par les syndicats ?

Pire encore, ce spot publicitaire cherche une fois de plus, comme l’a cyniquement fait le gouvernement ces derniers jours, à monter les Français les uns contre les autres. Faussement compatissante, la direction de la SNCF en est réduite à pointer du doigts ses propres salariés.

Ce sont pourtant ceux-là même qui contribuent chaque jour à faire vivre l’entreprise, à assurer le transport de millions de personnes au quotidien et qui se battent contre le démantèlement et la mise en concurrence de leur groupe, dans l’intérêt de tous les Français

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Une gare, ça parle

Posté par jacques LAUPIES le 8 juillet 2014

On aime bien parfois revisiter des lieux fréquentés dans le passé. Lieux d’habitation ou lieux de travail. A condition de les avoir quittés un temps assez long bien sûr. Sinon l’émotion n’est pas là ?

Du coup il m’arrive de me rendre dans l’enceinte des chemins de fer de Tarascon pour y voir si rien ou tout à changé. Il ne s’agit là que d’un microcosme sans grand intérêt pour la plupart des gens de cette ville. Cependant pour un retraité qui a connu la gare dans les années soixante cela éveille quelques souvenirs.

Si les bâtiments d’accueil et d’exploitation centraux sont relativement bien conservés, réaménagés et entretenus, ils n’abritent évidemment plus autant d’agents d’exploitation, tout autant d’ailleurs que les bâtiments d’entretien et d’équipement de la voie déplacés pour certains. Au milieu de ces remblais destinés à l’origine à recevoir une voie venant d’Avignon qui croisait perpendiculairement celles de la liaison Marseille-Bordeaux. Par contre dans  la « cour »  située entre le remblai de cette liaison et les voies directes il ne reste plus rien du quai couvert de la gare marchandise.

Cette gare a probablement une histoire assez originale d’autant qu’elle fut un nœud ferroviaire important dès la construction des chemins de fer.

Des anciens m’indiquaient dans les années soixante où les effectifs dépassaient la centaine sur le site, qu’avant la guerre plus de 300 cheminots y étaient employés. Je n’ai pas vérifié en détail cela mais l’explication en est simple :

La gare a été longtemps un lieu de correspondance pour les voyageurs.

Elle était dotée de postes d’aiguillages mécaniques disparus complètement dans les année 50 pour laisser place au PRS (Poste à Relais Simplifié toujours existant à la bifurcation entre voies directes évitant la gare et voies de desserte de la gare sur la relation Marseille-Bordeaux) de plusieurs brigades chargées de l’entretien des voies, de services chargée du triage, de la réception des marchandises, de la réception des voyageurs. Souvent ces services fonctionnaient en deux fois huit heures ou en trois huit.

Mais depuis les années soixante les améliorations techniques, les suppressions et transfert d’activité d’exploitation, commerciales ou d’entretien ont provoqué une réduction constante des effectifs pour atteindre quelques dizaines.

On peut raisonnablement affirmer que cela s’est accompagné de considérables gains de productivité. Et cependant les cheminots sont en permanence menacés de voir leur statut mis en cause. Et de plus ils craignent pour le maintien d’une unité de leur droits déjà bien remis en cause.

Pire pour la nation, le risque de perdre un fleuron de notre économie que l’on veut intégrer dans la concurrence européenne notamment avec la dernière tentative de faire éclater en une Holding de trois entreprises. On sait ce que cela peut couter en tarifs et en sécurité.

 

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l’entrée actuelle

Une gare, ça parle dans POLITIQUE 1024px-LL_SELECTA_48_-_TARASCON_-_Int%C3%A9rieur_de_la_Gare

Le tronçon d’Avignon à Marseilleest concédé le 24 juillet 1843 àPaulin Talabot, Joseph Ricard, Chaponnière et Étienne Émilien Rey de Foresta, suivant les clauses du cahier des charges du 31 mars 1843, modifié le 12 juin1. La Compagnie du chemin de fer d’Avignon à Marseille ouvre la ligne par tronçons successifs et la gare de Saint-Martin-de-Crau est mise en service avec le tronçon de Rognonas à Saint-Chamas le 18 octobre 18472. Comme la ligne, la gare est ensuite exploitée par la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM).

(copié sur Wikipédia)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Gare_de_Tarascon

Desserte[modifier | modifier le code]

Tarascon est desservie3 par les trains TER Provence-Alpes-Côte d’Azur qui effectuent des missions entre Avignon-Centre et Tarascon ou Montpellier-Saint-Roch, par un train Intecités de Marseille-Saint-Charles à Nîmes et les trains TER Provence-Alpes-Côte d’Azur qui assurent les relations entre Marseille-Saint-Charles et Montpellier-Saint-Roch

 

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