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L’opium du peuple

Posté par jacques LAUPIES le 31 juillet 2014

 

Tarascon n’est pas Mossoul. La France n’est pas l’Irak !  Grand bien nous fasse : 200 ans ne se sont pas écoulés pour rien depuis la révolution française. Et la renaissance puis les lumières sont passées par là pour nous armer contre les obscurantismes. Bien que cela ne nous ait pas évité certains dérapages où la solidarité de notre espèce a été débordée par de monstrueux comportements égoïstes,  dignes des plus grands animaux prédateurs qui peuplent notre planète !

Depuis les guerres de religions du 16ème siècle, qui étaient un beau prétexte pour masquer les querelles féodales sur fond de partage des territoires et des serfs qui remuaient la terre, les bourgeois oligarques sont devenus maitres du jeu économique perfectionnent les rapports d’exploitation capitaliste pour les mêmes raisons et fabriquent les mêmes guerres.

Des guerres qui continuent à accompagner cette triste réalité qui se fonde sur l’exploitation de l’homme par l’homme, doublée de l’exploitation de la femme et de l’enfant jusqu’à intervenir dans la vie publique.

Elles continuent, parfois  avec une étincelante hypocrisie, à perturber les évolutions humanistes même si certaines de ces religions donnent à leur Dieu tout les traits de la générosité, de la bonté, de la condescendance, de la pitié, jusqu’à arguer de la tolérance, de la liberté, des droits de l’homme, dont elles seraient les garantes

Or il se trouve qu’elles se couvrent de la honte la plus exécrable qui soit dans certains pays ou elles réussissent à être l’alibi, la justification du crime : juifs ou musulmans dans leurs intégrismes nous le prouvent comme l’ont prouvé dans le passé catholiques et protestants et le démontrent encore d’autres courant religieux ou sectes abominables dans des pays comme l’Inde. Comme dirait Sade :

« Mais de quel droit celui que le mensonge astreint
Prétend-il me soumettre à l’erreur qui l’atteint »

Ceux là ont le mérite de nous dévoiler au grand jour leur mépris des pauvres, et plus particulièrement des femmes, quand ce n’est pas des enfants que l’on exploite sans vergogne.

Mais me direz vous cela n’a rien à voir avec nos institutions religieuses, occidentales notamment ? Je vous l’accorde sauf que je crains, comme une pathologie en incubation, les conséquences des comportements mielleux et sournois de ceux qui tiennent sous leur coupe toute une frange de la population dans des croyances aux effets soporifiques.

Vous m’objecterez également, et à juste titre qu’il n’y a pas que les religions pour provoquer de tels effets et que les prêcheurs de la presse bourgeoise, autant que certains (pas tous heureusement) fonctionnaires de l’information télévisée ont de nos jours une bien plus grande nocivité, atteignant parfois les limites de consommation provocant des overdoses d’intox.

Si certains croient en un Dieu créateur et tout puissant, bien que cela me paraisse bien peu conforme à ce que les sciences nous enseignent, qu’ils se méfient de ceux qui parlent en son nom et veulent absolument canaliser cette croyance, trop souvent utilisée pour endormir les consciences.

Ce qui se passe au Moyen et Proche Orient (et même en Ukraine) a à voir avec des conflits inter impérialistes  qui se traduisent par des milliers de morts d’innocents. Et les autres, soldats volontaires ou non, comptent aussi..

Je suis très étonné du silence qu’observent dans une ville marquée par la cohabitation de fidèles de toutes obédiences, il y ait si peu de voix de leur part pour condamner ce qui en Israël tourne au génocide, sous couvert d’une nécessaire destruction d’une armée de résistance, d’un peuple chaque jour un peu plus spolié, et qui se bat pour sa liberté !

Pire même il se trouve parmi ces troupeaux a peine sortis d’une rituel qui devrait leur rappeler « l’amour du prochain », des brebis que la rougeur de notre protestation semble déranger ! Pendant que d’autres tout aussi proches  de ce Dieu commun qui a inspiré leurs prophètes respectifs ne s’émeuvent pas plus que cela.

Et les enfants meurent… 

 

 

 

 

« À Mossoul, les jihadistes imposent le sunnisme à la population, sous peine d’exécution

Tombés dans les mains de l’Etat Islamique, les habitants de Mossoul doivent aujourd’hui se convertir au sunnisme, sous peine d’exécution. Sinon, il faut fuir et loin. Ce que fait toute la population non-musulmane, et pas seulement chrétienne, délaissée par un gouvernement irakien qui, lui aussi, a pris la fuite. Entretien avec Myriam Benraad, politologue spécialiste de l’Irak.
Photo: Safin Hamed/AFP

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Halte au massacre

Posté par jacques LAUPIES le 30 juillet 2014

 

 

 

PALESTINE

HALTE AU MASSACRE

Le Conseil des droits de l’homme de l’ONU (CDH), relevant à juste titre que 74% des victimes des bombardements israéliens sur Gaza sont des civils, a adopté ce 23 juillet une résolution portant création d’une commission ‘enquête internationale pour établir l’existence de crimes de guerre perpétrés dans le cade de l’agression militaire israélienne à Gaza.

 

Ce texte a recueilli 29 voix pour, 17 contre – dont les États-Unis, et l’abstention des 17 pays européens parmi lesquels la France dont les représentants viennent, une fois de plus, de manquer aux engagements pris par notre pays pour le respect du droit international, et pour promouvoir la paix et la justice au Proche-Orient. C’est là, de la part des autorités françaises, une totale absence de courage à s’opposer au sentiment d’impunité du gouvernement israélien et des colons, que l’histoire jugera. Le vote français est d’autant moins acceptable que le CDH appelle dans sa résolution la Suisse, en qualité de dépositaire des Conventions de Genève, à convoquer une conférence sur la situation humanitaire dans les territoires palestiniens.

Le PCF salue l’initiative prise par le CDH qui ouvre une véritable perspective de cessez le feu. La solidarité internationale qui grandit en France et dans le monde a certainement pesé dans ce vote; il faut aller plus loin car chaque jour fait des dizaines de morts, de blessés, de destruction de plus. Il y a urgence à placer le peuple palestinien sous protection internationale, et à obtenir le plein respect du droit international, l’arrêt immédiat du massacre du peuple palestinien et la levée du blocus de Gaza. Le chemin de la paix ne s’ouvrira pas tant que les actes de guerre et la colonisation se poursuivront.

Des voix du monde entier et d’Israël même s’élèvent qu’il faut entendre et écouter Le PCF se félicite du succès de la manifestation parisienne du 23 juillet qui montre que le déploiement d’un très large mouvement de solidarité pour la paix, le droit et la justice est possible, et que, dans l’intérêt du peuple palestinien, la priorité de notre action est d’oeuvrer à l’élargissement de ce rassemblement de solidarité.

Le PCF appelle toutes les forces démocratiques du pays à se mobiliser en signant – sur les dizaines de points de rencontres que le PCF organisera  la pétition publiée par cent personnalités françaises et européennes le 23 juillet, dans le journal L’Humanité, pour que le peuple palestinien soit placé sous protection internationale et que la France et l’Union européenne organisent d’urgence une aide humanitaire, médicale et sanitaire pour les victimes particulièrement les enfants.

           

   

   

Section     de Tarascon du Parti Communiste Français

   

35     rue Monge 13150 TARASCON

   

Tel     0490964314

   

 

 

 

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Agir et expliquer sur la guerre en Israël

Posté par jacques LAUPIES le 30 juillet 2014

La population française demeure troublée par les évènement et des commentateurs qui trop souvent renvoient dos à dos Israël et le Hamas palestinien comme s’i l’histoire du conflit commençait au lendemain de l’assassinat de trois adolescents israéliens, dont on ne sait pas d’ailleurs exactement qui sont les véritables coupables de ce crime inqualifiable.

C’est en cela qu’apparaissent nécessaires les explications des communistes et leurs appels à manifester.

Mais il est en cette période de vacances utile d’aller plus loin avec des gestes simples : parler a ses amis et voisins, sortir même à faible tirage un tract explicatif, alimenter son blog et utiliser les réseaux sociaux, inciter à la consultation de la presse ou s’expriment les communiste dont évidemment l’Humanité.

 

 

 

L’humiliation  à coups de crosse dans  la nuque

Pierre Barbancey
Mardi, 29 Juillet, 2014
Photo : Ezz Al-Za Noun/Anadolu Agency

La tristesse se lit dans les yeux des palestiniens de gaza Alors que la fête de l’Aïd el-Fitr sonne la fin du Ramadan.
Crédit:
Ezz Al-Za Noun/Anadolu Agency
Reportage de notre envoyé spécial. Les habitants de Gaza parlent de l’«Aïd de sang». 
Dans les cimetières, les familles se recueillent. À Chudjaiya, quartier martyr, les hommes reviennent. «C’est un acte de résistance», disent-ils. À Khan Younès, des Gazaouis arrêtés par l’armée israélienne pendant plusieurs jours témoignent.

Gaza (Palestine), envoyé spécial. La trêve version Netanyahou s’est soldée, hier, par la mort de plusieurs personnes dans la bande de Gaza, dont huit enfants. Pour les Palestiniens, ce qui aurait dû être la fête de l’Aïd el-Fitr a un goût de sang. Sans argent, sans maison, ils sont allés se recueillir sur la tombe des disparus. « On ne demande pourtant pas l’impossible, seulement une vie simple pour les Palestiniens », souligne Hanni Tawabta, porte-parole du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP).

Dans les écoles de l’ONU où se sont installées des dizaines de milliers de familles, la situation est des plus précaire. Il n’y a pas d’eau, pas d’électricité, pas de sanitaires. Près de Khan Younès, au sud, des milliers de villageois de Khozaa sont toujours empêchés de retourner chez eux. Des dizaines d’hommes ont été arrêtés par l’armée et ont subi des interrogatoires pendant plusieurs jours. Nous les avons rencontrés.  Assis sur un trottoir dans la cour de l’hôpital de Khan Younès, au sud de la bande de Gaza, ils sont des dizaines d’hommes désœuvrés. Depuis bientôt une semaine, ils ont quitté leur village de Khozaa qui a le malheur de se trouver à la frontière avec Israël. Les chars y ont fait leur entrée, détruisant de nombreuses maisons et tuant des dizaines de personnes. Malgré la «trêve», ils ne peuvent toujours pas retourner chez eux constater les dégâts et, le cas échéant, récupérer quelques affaires. Les femmes et les enfants ont trouvé refuge comme ils le pouvaient : dans de la famille qui les accueille, dans des garages où ils s’entassent à dix ou vingt ou, quand la chance leur a souri, dans des écoles de l’ONU. Ahmed El Najar, petit homme trapu, polo rose et barbe d’une semaine, se souvient encore avec frayeur de ce matin où il a entendu un char s’arrêter devant la porte de sa maison. Ils étaient 75 à l’intérieur, un petit immeuble comme les Palestiniens savent les construire, qui permet aux familles de rester toujours ensemble. «Ils ont d’abord tiré un obus qui s’est écrasé dans la cour, raconte-t-il. Puis des soldats ont cassé la porte et défoncé les murs.» Les troufions, forts de leur force, une vingtaine lourdement armés, sont alors entrés. L’un d’eux s’est adressé à Ahmed et aux hommes valides (ils étaient 55) en arabe pour leur ordonner de sortir. « Ils nous ont menottés, bandés les yeux et mis une cagoule sur la tête, se souvient Ahmed El Najar. Ils n’arrêtaient pas de nous insulter, de nous traiter de chiens, de fils de putes.» Les coups commencent à pleuvoir. Coups de poing, coups de pied. Tout est bon quand un homme est sans défense. On les embarque alors dans un véhicule de transport de troupes, sans doute pour retourner côté israélien, puis dans un bus. Le calvaire va commencer. «On avait vraiment peur, dit le prisonnier palestinien. Chaque fois qu’on essayait de parler ou de poser une question, on nous faisait taire en nous frappant. J’ai reçu un coup de crosse dans la nuque.» Une fois arrivés à destination – Ahmed est incapable de dire où –, les interrogatoires individuels commencent. «On me faisait asseoir, puis on m’ordonnait de me lever. Sans arrêt. Ils voulaient savoir où se trouvait la mosquée, ce qu’il y avait dedans. Ils ont parlé de la citerne d’eau et de son contenu.» Trois jours se sont ainsi écoulés sans rien à manger, «juste un peu d’eau», dit Ahmed. Trois jours menottés et cagoulés en permanence. Trois nuits à dormir par terre, sans la moindre couverture, dehors. Et au matin du quatrième jour, comme on jette de vieux sacs usagés, Ahmed et ses compagnons d’infortune ont été reconduits au passage d’Erez, au nord de la bande de Gaza, loin de Khan Younès et ont été remis à la Croix-Rouge. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’on leur a délié les mains et retirer leur cagoule.

Une nuit d’enfer avant d’être embarqués manu militari

Mohammed El Najar a lui aussi été embarqué manu militari, un mercredi en fin d’après-midi. Cloîtré dans sa maison avec des amis, ils ont d’abord vécu une nuit d’enfer, entendant les obus s’abattre tout autour. Vers 6 heures du matin, ils se mettent à crier en hébreu qu’ils veulent sortir. Pour toute réponse, une rafale a éclaté la porte. « Nous sommes sortis avec une serviette blanche. Il a fallu qu’on se mette complètement nus», affirme-t-il. Une fois allongés à même le sol, ils sont menottés. Les soldats leur mettent un bandeau autour des yeux et les font entrer dans une maison mitoyenne. «Pendant ce temps, chaque fois qu’un soldat passait, il nous frappait.» Bonté d’âme de ses militaires israéliens, ils ont consenti à leur donner du thon en boîtes et du chocolat pendant ces deux jours reclus. Mohammed et ses amis sont alors emmenés dans un camp militaire, en Israël. Là encore, un interrogatoire serré commence, avec la séance debout-assis. Avec une variante, cette fois : Mohammed recevait régulièrement un coup de crosse dans le dos. «Où sont les tunnels, où sont les résistants ?» veulent savoir les Israéliens qui cherchent également à déterminer les maisons dans lesquelles des armes seraient cachées. «J’avais peur mais je n’ai rien dit, même quand ils me frappaient», affirme Mohammed, sous l’œil scrutateur d’un policier en civil dépendant du Hamas, qui s’est glissé dans la foule dense qui nous entoure. «La nuit, dès qu’on s’endormait, un soldat nous réveillait. Et ils ont pris l’argent que j’avais sur moi, 100 shekels et ne m’ont pas rendu ma carte d’identité.» Lui aussi a été emmené jusqu’à Erez et recueilli par la Croix-Rouge. Il est difficile de connaître le nombre de prisonniers encore retenus par Israël. Le Shin Bet, les services de sécurité intérieure, retiendraient encore une vingtaine de personnes qui n’ont pas accès à un avocat, selon une loi israélienne que l’organisation des droits de l’homme B’Tselem estime contraire au droit international. À Chudjaiya, quartier martyr de Gaza, Mohammed el Edjla se tient sur le pas de sa porte. Ou plutôt de ce qui reste de sa maison. «Il n’y a pas d’eau, pas d’électricité, alors on dort dans la rue.» Au milieu des ruines, des hommes s’affairent, récupérant ce qu’ils peuvent. Parmi eux, Nabil, un quinquagénaire. «On ne veut pas que la résistance rende les armes, dit-il. Mais résister prend différentes formes. Le fait même que nous revenions ici, malgré les destructions, c’est une forme de résistance. Rapporter de l’eau, c’est résister. Rapporter à manger, c’est résister. On est tous sur le même terrain parce qu’on est tous visés. Les Israéliens tuent aussi bien les combattants que les civils.»

Sept enfants tués dans un camp 
de réfugiés près du centre-ville

Contraire aussi aux lois internationales, le bombardement des zones civiles comme l’armée israélienne a continué à le faire hier, tuant sept enfants dans un camp de réfugiés non loin du centre-ville de Gaza. Un centre-ville qui avait retrouvé une certaine animation dans la journée mais qui masquait mal la tristesse de la population. Dans le grand cimetière de la ville, Mohammed El Armeh est assis, en pleurs, devant une petite pierre tombale. Habitant de Chudjaiya, il a perdu cinq membres de sa famille dans un bombardement. Ils sont là, sous terre, devant lui. «Je n’ai personne, je vais passer l’Aïd ici», sanglote-t-il. Abattu et pourtant plein d’une colère qui lui fait dire : «Il faut qu’on sorte de cette guerre en obtenant quelque chose. On veut vivre avec fierté. C’est pourquoi il faut la levée du blocus.» Ibtissam Assaidy, qui vient d’un camp de réfugiés, se recueille aussi sur la tombe de proches. «À chaque Intifada, à chaque guerre, nous perdons quelqu’un. Cette fois, le Ramadan a été très dur. Après le cimetière, nous rentrerons à la maison, nous ne pouvons pas faire la fête, ce sera un jour comme les autres, soutient-elle. Heureusement, la résistance est avec nous. Il ne faut pas de cessez-le-feu sans condition. Si on l’accepte sans la levée du blocus, ce sera le même problème et peut-être qu’on mourra de faim. On veut que la résistance continue. Même si on doit tous mourir, l’essentiel est d’obtenir la liberté.» Sa fille, Nourhan, 13 ans, et d’une incroyable maturité, dit simplement : «D’habitude, pour l’Aïd, on met des vêtements neufs, on s’amuse. Mais comment être heureuse alors que j’ai perdu trois amies de mon âge dans cette guerre ? Les Israéliens ont volé notre enfance.» En trois semaines, l’offensive israélienne a fait 1 037 morts – pour plus des trois quarts, des civils, selon l’ONU – et quelque 6 200 blessés dans la bande de Gaza, où les destructions sont considérables. Côté israélien, 43 soldats et sept civils ont été tués.

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Pierre Laurent a BFMTV

Posté par jacques LAUPIES le 29 juillet 2014


Bourdin Direct: Pierre Laurent – 29/07 par BFMTV[/dailymotion]

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Leïla Shahid : « Un crime de guerre avec la complicité de la communauté internationale »

Posté par jacques LAUPIES le 29 juillet 2014

 

 

 

entretien réalisé par NADJIB TOUAIBIA, l’humanité dimanche
Vendredi, 25 Juillet, 2014

 

Photo: Stephan Agostini / AFP
Dans L’Humanité Dimanche. Pour Leïla Shahid, ambassadrice de l’Autorité palestinienne auprès de l’Union européenne, le gouvernement de Netanyahou cherche avec cette guerre à briser l’unité retrouvée des Palestiniens pour les empêcher d’aborder de nouvelles négociations à partir d’une position renforcée. Elle appelle la communauté internationale à assumer ses responsabilités face aux crimes du gouvernement le plus extrémiste de l’histoire d’Israël.

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