• Accueil
  • > Archives pour janvier 2013

Lutte des classes : l’Huma en parle

Posté par jacques LAUPIES le 9 janvier 2013

Edito: la lutte des classes de retour dans le débat

Mots clés : l’humanité,           Sondage,           laurence parisot,           inégalités,           jean-luc mélenchon,           jérôme cahuzac,           classes sociales,           lutte des classes,           ifop,           warren buffett,      

« Le regain de conscience de classes s’ancre dans ce sentiment d’injustice. « Eux », les riches, sont toujours épargnés, alors que les peuples, les salariés, qui ne sont en rien responsables de la crise économique, doivent payer les pots cassés et se voient décrocher », estime Paule Masson dans l’édito de l’Humanité de ce mercredi.

Le sondage que nous publions jette un sacré pavé dans la mare. 64 % des Français estiment que la lutte des classes est une réalité aujourd’hui, soit près de 25 % de plus qu’en… 1964 ! On a tellement glosé sur la disparition de la classe ouvrière ; tellement caché combien la précarisation du travail a aggravé la dépendance des salariés vis-à-vis des employeurs ; tellement traité de ringards celles et ceux qui n’ont cessé de dénoncer l’énorme captation de richesses opérée par les propriétaires de capitaux sur les travailleurs… que le résultat de ce sondage peut surprendre jusqu’aux militants les plus aguerris.

Ils seront pourtant heureux de constater que l’opinion publique se range du côté des résistants qui continuent de dire et de lire la politique à partir et à travers la lutte des classes. Karl Marx disait que « l’histoire de toute société jusqu’à nos jours n’a été que l’histoire de luttes de classes ». Le siècle a changé, l’économie s’est mondialisée, complexifiée, mais aujourd’hui, plus encore depuis l’éclosion de la crise de 2008, il existe bien des classes sociales dont les intérêts sont antagonistes. N’en déplaise à Jérôme Cahuzac, ministre délégué au Budget, qui a avoué tout de go face à Jean-Luc Mélenchon lundi soir, n’y avoir « jamais cru ». Retrouver cette grille de lecture permettrait pourtant de battre en brèche bien des idées reçues, à commencer par celle qui consiste à croire que la France a un problème de coût du travail alors que le plus gros manque à gagner financier provient du coût exorbitant du capital.

Les premiers à prouver que la lutte des classes est pleinement d’actualité, ce sont les riches eux-mêmes. Une fois n’est pas coutume, rendons-leur hommage ! À force de défendre leurs privilèges en toutes circonstances, et ce en dépit de l’explosion des inégalités sociales qui creusent le lit de la pauvreté, les capitalistes prennent le risque de scier la branche sur laquelle ils sont assis. Parmi eux, en digne représentant des milliardaires décomplexés, l’Américain Warren Buffett a avoué, il y a quelque temps déjà : « Il y a une guerre des classes, c’est un fait, mais c’est ma classe, la classe des riches, qui mène cette guerre, et nous sommes en train de la gagner. » Laurence Parisot y croit dur comme fer. Dans l’affrontement social, elle cogne dur. Plutôt que d’en rabattre avec la crise, le patronat en rajoute et veut écrire sa « fin de l’histoire ». Alors que la financiarisation de l’économie a provoqué une des pires crises de l’histoire, les responsables de ce chaos économique sont en train de devenir les hyperriches du monde contemporain. Selon le dernier indice des milliardaires compilé par Bloomberg, 2012 a été une année très faste. Les 100 plus grosses fortunes mondiales ont augmenté leur patrimoine de 241 milliards de dollars.

Le regain de conscience de classes s’ancre dans ce sentiment d’injustice. « Eux », les riches, sont toujours épargnés, alors que les peuples, les salariés, qui ne sont en rien responsables de la crise économique, doivent payer les pots cassés et se voient décrocher. Ce sentiment fut aussi un des marqueurs de l’élection présidentielle. La gauche a été élue sur la promesse du redressement dans la justice. Mais que vaut cette idée si elle est pensée en dehors de l’affrontement de classes ?

  • A lire aussi:

Exclusif l’Humanité: la lutte des classes, une réalité bien vivante

Cahuzac-Mélenchon et la réforme fiscale introuvable

« C’est ma classe, la classe des riches, qui mène cette guerre et qui est en train de la gagner »

Paule Masson

Publié dans POLITIQUE | Commentaires fermés

Débat Mélenchon – Cahuzac

Posté par jacques LAUPIES le 8 janvier 2013


[Intégrale] Mots croisés du 07-01 à 22h55 par francetvinfo">http://www.dailymotion.com/video/
[Intégrale] Mots croisés du 07-01 à 22h55 par francetvinfo

Publié dans POLITIQUE | Commentaires fermés

Cet impôt qui tue le pauvre et fait prospérer le riche…

Posté par jacques LAUPIES le 8 janvier 2013

J’ai besoin d’un appareil auditif (coût 1500 € par appareil et par oreille, de l’avis de mon pharmacien), il me faut soigner et appareiller ma dentition (devis du dentiste pour une prothèse à minima : 1300 € et vaut mieux ne pas évoquer le coût de la mise en place d’implants), enfin je dois surveiller ma vue sachant que la moindre modification des verre et l’achat d’une monture me couteront entre 350 et 400 €, sans faire dans le luxe. Pour que les soins soient conformes à mon état je peux espérer un remboursement de la Sécurité sociale de  500 € sur 3000 €. Vive la France. Hélas si je m’expatrie je ne trouverai pas mieux. La fuite ce n’est pas pour moi…

Ma situation personnelle et mes revenus font que j’ai de la difficulté à faire face à de telles dépenses cependant je ne sois pas des plus démunis ! Mais je ne suis pas là pour exposer ma situation budgétaire en particulier. Un tel exibitionnisme dans le détail ne présente aucun intérêt. Restons dans la généralité.

Je prendrai donc des exemples types de retraités.

En premier exemple celui des retraités ayant le minima  soit 700 € par mois et à charge un loyer : chacun comprendra qu’il est absolument impossible de vivre décemment ainsi même en bénéficiant d’exonérations fiscales.

Autre cas de retraité assez courant sans doute qui  perçoit un revenu de 1250 € par mois : si celui-ci n’a pas de loyer à payer il va peut-être s’en sortir. Avec un loyer c’est la pauvreté assurée.

Ces deux cas sont hélas très fréquents.

Enfin prenons le cas d’un retraité, assez fréquent aussi,  qui dispose de 2500 € de revenu. Aucune exonération particulière ne lui étant accordée il va devoir payer la taxe d’habitation (variable mais qui avoisine les 1000 € par an), l’impôt sur le revenu (environ 2000€ pour une part et 1350 pour 1,5 part), la CSG (environ 1200 € par an) S’il est propriétaire de son logement et qu’il en a fini avec les crédits il faut ajouter une taxe foncière d’environ 1000 € également soit, au total entre 4200 et 5200 € par an donc de 17.5 à 21 % de ses

A peu de choses près les couples disposant de deux parts sont confrontés aux mêmes contraintes avec des pafonds de minima et de maxima de revenus qui les plombent.

Comme toute personne, en ce bas monde, ils doivent se chauffer, s’éclairer, se nourrir, regarder la télé, surfer sur internet, acheter de temps à autre un livre, disposer d’un téléphone portable, d’une voiture à entretenir – souvent achetée d’occasion - qui a atteint la décade, assurer leurs biens, faire face à quelque crédit d’achat de biens mobiliers et immobiliers, aider si peu que cela fut quelques proches.

Donc pas de folies, pas question de se péter la gueule comme Depardieu (cela est un avantage) ni de faire de don à une fondation pour protéger les animaux, comme BB (ce qui n’est pas la priorité si on en a les moyens) !

Bien me direz vous la comparaison ne tient pas avec des personnes aussi talentueuses : sans doute mais faut-il leur accorder le droit de recevoir 20 fois à 100 fois la valeur du SMIC.

Donc pour faire simple j’ai pris en comparaison et en dernier exemple d’une personne qui n’aurait d’autre revenu que son salaire, même PDG de sa société par action et qui aurait la bonté de ne pas fricoter avec la Bourse ou même les valeurs sures.

Une personne qui reçoit 10000 € net par mois (10 fois le smic net) logée dans les mêmes conditions et soumise aux même charges, va payer 30 900 € d’impôts avec une taxe d’habitation de 1000 € une taxe foncière de 1000 € avec évidemment la CSG,  soit environ 25 % de ses revenus. Au demeurant cette personne aura pour vivre 7500 € par mois.

Inutile de rappeler ce qui peut rester à ceux qui perçoivent 20000 € par mois et de plus sont dans  des catégories qui peuvent cumuler avec des revenus du capîtal dont on ne parle pas vraiment.

Alors quand j’entends raconter par de bons petits pépères de mon âge, et hélas de plus jeunes, que des d’allocations et aides sociales de l’ordre de quelques dizaines d’Euros seraient distribuées inconsidéremment à des individus jugés sans scrupule, je me demande dans quel pays d’ânes je vis.

Je n’en trouve aucun qui d’entrée de jeu mette en cause les hauts revenus et encore moins l’usage que ces derniers  font de fortunes acquises sur le dos de leurs salariés ou de trafics financiers de toutes sortes.

Le coupable, celui qui profite, était autrefois (pour leurs ancêtres)  l’ouvrier agricole venu du Piémont, le maçon venu d’Andalousie ou le mineur venu de Pologne. Aujourd’hui on le dit plus coloré, avec le teint mat et des cheveux bougrement noirs. Il est également dans l’agriculture, le bâtiment mais plus dans les mines puisqu’on les a fermées. Tous dit-on contribuent fortement au développement démographique, au point de rendre jaloux nos procréateurs traditionnels que sacralise notre civilisation judéo chrétienne en panne de reproduction.

Suite imprévue.

Au moment ou j’écris cela un homme d’affaire libanais – Takieddine dans l’émission « on n’est pas couché -vient raconter à la télé que « Sarkosy et sa bande » aurait fait tuer Kadhafi pour éviter d’être compromis dans ses magouilles électorales ou autres, j’en viens à penser que ces citoyens, comme l’a souligné Bernadette Laffont, sont plus victime de l’ignorance que de mauvaises intentions. Sans omettre de graves accusations à l’encontre de la droite sur de nombreux autres sujets.

Le plus drôle dans tout ça est que depuis des années nous essayons modestement de les éclairer, sur ces réalités qui se révèlent aujourd’hui crûment à leurs yeux. Nous n’avons pas attendu les règlements de compte de Monsieur Takieddine, par exemple, pour expliquer que nos gouvernants faisaient la guerre qui tue des populations, discrédite notre pays et dont nous ne connaitrons jamais le coût financier.

On peut le dire, au sens propre et figuré, l’impôt tue le pauvre et fait prospérer le riche !

Cet impôt qui tue le pauvre et fait prospérer le riche... dans POLITIQUE 2013-01-08une-hq

L’Humanité de ce mardi 8 janvier 2013

Dans l’Humanité, ce mardi, la réforme fiscale ne peut plus attendre

Mots clés : l’humanité,      

Si une nouvelle taxe sur les très hauts revenus doit voir le jour, la réforme fiscale promise est, elle, remise aux calendes grecques, au nom de la « stabilité ». Pourtant, dix ans de creusement des inégalités pressent le gouvernement à agir.

A lire dans notre édition de ce mardi:

  • Le gouvernement fait profil bas sur la réforme fiscale promise
  • Le Conseil constitutionnel au-dessus du Parlement?
  • « Les plus riches contournent l’impôt », le point de vue d’Alexandre Derigny (CGT Finances)
  • Les chouchous de l’impôt, l’édito de Patrick Apel-Muller

A lire aussi:

Tardi: « Je ne nourris aucune passion pour la guerre »

« La macdonaldisation est un impérialisme économico-culturel », entretien avec Périco Légasse, écrivain et rédacteur en chef de Marianne

Reportage: Sahara occidental, Mohammed VI, le monarque qui viole les droits humains

Toute l’actualité sur l’Humanité.fr

Publié dans POLITIQUE | Commentaires fermés

L’hémisphère Gauche : Les nouveaux lieux
 de la « pensée critique » (publié dans l’Huma)

Posté par jacques LAUPIES le 6 janvier 2013

 L’article qui suit m’a paru intéressant car il évoque finalement un des éléments qui contribue à une nouvelle pratique politique : une réflexion partagée dans des lieux  de rencontre en quelque sortes parrallèles à celui d’un parti.

Une seule remarque pourquoi  cela se situe – il seulement dans la capitale ou peut-être quelque grandes villes bien loin parfois de ceux qui auraient grand besoin d’accéder à des confrontations, même si elles n’atteignent pas les sommets de la compréhension du monde dans lequel nous vivons ?

A l’heure d’internet beaucoup restye encore à faire !

Enquête. Quel rôle jouent les laboratoires d’idées ? (4/4)

Mots clés : l’humanité,           ump,           travail,           ps,           social,           pcf,           front de gauche,           attac,           délocalisation ,           fondation jean jaurès,           Fondation G. Péri,           copernic,           robert hue,           retraités,           terra nova,           alain obadia,           fondation copernic,           pierre khalfa,           philippe corcuff,           think tanks,           yves salesse,      

Des fondations aux Économistes atterrés, de multiples structurent existent aussi à gauche pour déconstruire le discours dominant et renouveler la pensée critique. Inaugurent-elles un nouveau mode d’engagement politique ?

« Il ne faut surtout pas déserter ces espaces », confie Alain Obadia. Dans le cadre du troisième Forum des think tanks, le président de la Fondation Gabriel-Péri participait, le 15 décembre, à un débat sur les « Dépenses publiques ». Au milieu d’une armée d’« experts » interchangeables issus des « laboratoires d’idées » les plus médiatiques, comme Terra Nova ou l’Institut Montaigne, une autre musique se fait entendre. Celle qui rappelle que le progrès humain devrait être la finalité, « à un moment où l’on n’offre d’autre perspective que la régression sociale au nom d’une vision “réaliste” de la mondialisation». « C’est un peu David contre Goliath », ironise un étudiant, lassé qu’on lui entonne toujours « la même chanson sur la dette et l’État dépensier ».

Aux antipodes des « boîtes à idées » en grande partie financées par les patrons du CAC 40 (voir l’Humanité du 31 décembre), la Fondation Gabriel-Péri assume sa vocation scientifique. Créée en 2004, à l’initiative du PCF, elle est l’une des cinq fondations reconnues d’utilité publique et financées par l’État. Ce projet, porté par Robert Hue, reposait sur deux objectifs : « travailler à comprendre l’histoire récente, et en particulier celle du mouvement ouvrier et communiste en France », mais aussi créer « un espace de rencontres et de confrontations intellectuelles utiles au progrès social ». « Au moment où s’accentue le fossé entre les lieux de décision politique et les réalités populaires, où seules les idées libérales exercent leur lobbying sur les politiques et sont surreprésentées dans les médias, la fondation avance des objectifs en lien étroit avec les dynamiques en œuvre dans les mouvements sociaux et dans les mobilisations populaires », rappelle Alain Obadia, à sa tête depuis mai dernier. Basée à Pantin, totalement indépendante financièrement, la Fondation Gabriel-Péri assume de ne pas livrer des « kits de prêt à penser » en vue d’échéances électorales, comme le font Terra Nova, pour le PS, ou la Fondation pour l’innovation politique, pour l’UMP. « Les fondations ne doivent pas être en concurrence intellectuelle avec les partis politiques. Nos activités se veulent à la fois utiles à la société tout entière, mais aussi un outil de réflexion privilégié pour les militants de gauche, et en particulier communistes. La bataille des idées, nous la menons sans être soumis au rythme infernal de l’actualité, ni aux impératifs électoraux », précise celui qui est également dirigeant du PCF.

Fondation Copernic

Depuis 1998, la Fondation 
Copernic, entièrement financée par les cotisations de ses adhérents, travaille elle aussi à « remettre à l’endroit ce que le libéralisme fait fonctionner à l’envers », dans une démarche qui se veut beaucoup plus militante. « Face à la domination des idées libérales, notre objectif était de déconstruire le discours dominant et de proposer des alternatives en mélangeant les cultures et les origines de nos contributeurs, en faisant débattre des gens qui n’avaient pas l’habitude de travailler ensemble », explique Pierre Khalfa, son coprésident. La Fondation 
Copernic assume vouloir « construire des cadres unitaires larges, comme sur les retraites ou le référendum européen, créer des ponts entre syndicats et partis », comme l’affirme le syndicaliste. Mélange des genres ou recomposition des modes d’engagement politique ? La candidature de l’économiste Yves Salesse (alors coprésident de la Fondation) à l’élection présidentielle de 2007 n’a pas manqué de soulever la question. Preuve qu’une certaine confusion règne encore sur l’articulation entre la production intellectuelle de ces structures, leurs liens aux partis politiques, et la nécessité pour la gauche de construire des batailles unitaires.

Attac et les atterrés

D’Attac aux Économistes atterrés, de multiples lieux de « pensée critique » ont vu le jour ces quinze dernières années. Inaugurent-ils une nouvelle forme d’organisation politique et entérinent-ils la délocalisation du « cerveau politique » ? « Ces nouveaux cadres de réflexion ont indéniablement comblé le vide laissé par la désertion des intellectuels, le désarroi idéologique provoqué par la chute du mur de Berlin. La gauche et le Parti communiste en particulier ont mis du temps à se relever pour assumer le débat d’idées qui se posait tout à fait différemment », analyse un dirigeant du PCF. « Le Front de gauche, avec la dynamique militante et intellectuelle qu’il a su faire naître pendant la campagne présidentielle, peut représenter ce lieu de convergences entre la culture militante des partis et une production intellectuelle autonome », poursuit-il.

« L’époque “des intellectuels organiques” est bel et bien terminée », ironise un historien, qui se félicite que l’intervention des intellectuels se fasse désormais hors des partis, dans ces structures « qui garantissent leur indépendance, tout en assumant leur démarche militante ». Pour d’autres, cette désertion illustre « la mort cérébrale » de l’ensemble de la gauche, piégée par la « professionnalisation politique » et la technocratisation du débat publique. C’est ce qu’avance Philippe Corcuff, pour qui elle confond « discours critique et pensée critique ». « La résistance aux stéréotypes néolibéraux » en a fait naître de nouveaux, relève-t-il, « refermant trop vite le travail de l’interrogation ». Et le philosophe de soulever ce paradoxe : la gauche vient de gagner électoralement alors qu’elle était en état de « décomposition intellectuelle ». Autrement dit, le chantier reste ouvert.

Maud Vergnol

Publié dans POLITIQUE | Commentaires fermés

Hé Bardot, pas de quoi fouetter un chat ?

Posté par jacques LAUPIES le 5 janvier 2013

Décidément  la France deviendrait-elle ridicule aux yeux du monde à cause d’un acteur millionnaire et d’une actrice dont l’amour pour les animaux  suscite des réactions de révolte bobo ! Décidément s’il fallait  décerner un diplôme de bien vieillir ces vedettes n’auraient certainement pas les meilleurs prix et le maintien de l’adulation que leur a valu une brillante carrière.

Encore qu’il faille se méfier des moutons qui se laissent tondre et des brebis galeuses qui font l’opinion et s’efforcent ,évidemment, d’exploiter médiatiquement la dégénérescence intellectuelle du débat sur le sujet concerné.

Je n’ai pas eu l’occasion encore de disserter sur la fiscalité mais comme je sais qu’elle est injuste pour les pauvres ce qui veut dire que les riches en profitent avantageusement, je suggère que le gouvernement socialiste se saisisse de la question, et s’il ne le fait pas que les groupes parlementaires élaborent chacun  un projet nationalement diffusé et distribué aux citoyens français.

Que Bardot et Depardieu y trouvent leur compte ou pas, n’est pas ma préoccupation. On s’en fout ! Qu’ils aillent payer leurs impôts en Sibérie aux côtés de Poutine ou au Tibet aux côtés du Dalai Lama (qui fort heureusement pour les tibétains n’a pas le pouvoir d’en décider) si cela leur plait, pourvu que dans le cadre d’une nouvelle loi ils acquittent un impôt foncier digne de leur rang pour les possessions dont ils disposent en France !  Et tout autre impôt que leur vaut l’activité qu’ils peuvent y exercer !

Quant aux animaux j’ai toujours pensé que ceux qui les aiment devraient aimer les humains et l’inverse également ! Il se trouve qu’il n’en est pas toujours ainsi. La preuve !

Pas de quoi fouetter un chat avec tout ça !

 

 

Hé Bardot, pas de quoi fouetter un chat ? dans POLITIQUE bb

Farce nationale : Bardot demande à son tour la nationalité russe

Mots clés : russie,           François Hollande,           gérard depardieu,           Brigitte Bardot,      

 Très concernée par le sort de deux pachydermes menacés sur le territoire français, Brigitte Bardot a écrit à François Hollande pour réclamer leur grâce. Pour appuyer sa demande, l’ex-actrice menace à son tour de demander la nationalité russe. La Russie va-t-elle devenir le cimetière des éléphants français ?

« Si ceux qui ont le pouvoir ont la lâcheté et l’impudence de tuer les deux éléphantes Baby et Népal (…) j’ai pris la décision de demander la nationalité russe afin de fuir ce pays qui n’est plus qu’un cimetière d’animaux » a écrit la présidente de la fondation Brigitte Bardot au président de la République. Il faut dire que ces deux pachydermes du cirque Pinder, établi près de Lyon, ont la tuberculose et que les autorités sanitaires envisagent de les euthanasier. Un pourvoi vient d’être déposé au Conseil d’Etat par les avocats du cirque Pinder pour demander la suspension de l’euthanasie décidée par la préfecture.

L’an passé déjà, Brigitte Bardot avait dit tout le bien qu’elle pensait de Poutine, pas encore réélu président : « Mon Premier Ministre préféré, je vous souhaite le meilleur pour les mois et les années qui viennent », lui avait-elle déclamé alors qu’il avait fermé les frontières russes à la fourrure de phoques. « Merci infiniment d’avoir toujours été attentif à mes suppliques, je regrette de ne pas bénéficier d’un pareil soutien dans mon propre pays qui est scandaleusement rétrograde lorsqu’il s’agit de défendre les animaux », avait-elle ajouté.

Brigitte Bardot avait déjà défendu son ami Gérard Depardieu, malgré la passion de ce dernier pour la corrida. C’était donc prévisible, la lettre de Bardot a donc déclenché une nouvelle salve d’attaques et blagues plus ou moins méchantes, rassemblées sous le hashtag #JeDemandeLaNationalitéRusse. Certains ont hâte qu’Alain Delon la demande à son tour, ou encore : « Si à 60 ans t’as pas la nationalité russe c’est que t’as raté ta vie. » Jacques Séguélov.

Publié dans POLITIQUE | Commentaires fermés

1...45678
 

Gabon, Environnement, Touri... |
Site des Jeunes Tassilunois |
Histoire d'Europe |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | RETROVISEUR SANSALVATORIEN
| larurale
| Droit Administratif des Bie...