Mélenchon est fou ?

Posté par jacques LAUPIES le 31 mars 2012

Voila que ce retraité que je connais de longue date me déclare tout de go lorsque je le rencontre sans une rue des Halles quasi déserte à 19 h 00.

 -          Et pourquoi est-il fou ? J’ai évidemment quelque idée de la réponse mais bon, faut bien la faire sortir !

-          Tu as vu tout ce qu’il demande ?

-          Bien sur que j’ai entendu, disséqué autant que faire se peut ses propositions et je ne trouve pas qu’il soit fou comme tu le dis

-          Tu te rends compte le SMIC à 1700 € et tous ceux qu’il va faire venir travailler en France…

 Evidemment il fallait s’y attendre ! Ce  « sympathique  personnage »  qui m’agresse ainsi je l’ai bien connu en un temps ou nous luttions ensembles pour la retraite à 60 ans et de meilleurs salaires ou, précisément  au lendemain des grèves de mai 68 nous avions imposé la Mutuelle avec la prise en charge à 100 % des frais de maladie, a du regarder quelques  déclarations à la télé qui mobilise ses commentateurs affolés de voir Mélenchon aussi haut dans les sondages.  Je lui réponds :

 -          Pourquoi le SMIC à 1700 € cela ne t’intéresse pas ?

-          Pour que des employés municipaux qui travaillent un quart d’heure par jour ca ne m’intéresse  pas de payer sans  compter « les autres »

-          Parce que tu penses que le Front de Gauche va te faire payer toi ? Tu n’as pas du bien écouter son fou de candidat ? Pour ceux qui est des fonctionnaires territoriaux, tu iras leur dire ce que tu penses de leurs durée de travail ! Si j’ai bien compris les fonctionnaires sont des fainéants et les « autres » que tu ne nommes pas des parasites. Tu dois donc voter pour Le Pen ?

-          Jamais de la vie !

-          Pour Hollande alors ?

 Silence.  Ca va j’ai compris. Cela confirme cet autre qui m’appelle au téléphone pour me dire :

-          Arrêtez de  taper sur Hollande  il faut battre Sarkosy 

-          D’accord pour battre Sarkosy, lui dis-je,  mais pas pour faire revenir un de ses semblables parce que nous n’aurons  pas répondu à l’attente des français !

 Un journaliste avait dit y a deux jours : « Qu’attend le PS pour faire monter au créneau Montebourg » Mission accomplie, ce dernier vient nous dire que programme du FDG et programme du PS sont semblables. Discutons en alors, même si nous pensons que l’affirmation est un peu exagérée.

  Hier matin un rédacteur du Figaro s’est insurgé  et a jugé inapplicables les propositions de Mélenchon.

Les grandes chaines n’ont d’yeux que pour les terroristes et les faits divers désastreux

Certes la campagne officielle met tous les candidats sur des temps d’antenne égaux mais comme il  il y a encore à faire pour tenter de freiner la poussée mélenchoniste,  les commentateurs zélés de Hollande et Sarkosy n’ont semble-t-il pas les mêmes contraintes.

Par chance tous les électeurs de gauche n’ont pas un épiderme aussi sensible que mes deux interlocuteurs  et puis je sais que le premier peut encore être convaincu de son égarement. Ne m’a-t-il pas dit pour conclure notre discussion : « Oui je sais bien  qu’il faut faire payer les riches, tu crois que moi aussi je ne les ai pas repérés ? ». Quant au second qui depuis des lustres me dit ne plus voter socialistes il a rejoint le camp du soutien au front de Gauche. 

Faudra que je lui propose de prendre le bus pour le prochain meeting de Mélenchon à Marseille le 14 avril, histoire de voir que le candidat du Front de Gauche n’est pas si fou que ça.

 

Inscriptions 35 rue Monge – Téléphone 04 90 96 43 14

 

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D’une chose à l’autre…

Posté par jacques LAUPIES le 28 mars 2012

« Si j’étais le père d’un tel monstre je me tairais dans la honte. » Ce sont les paroles d’Alain Juppé qui s’en prend ainsi au père de Merah. Cet éminent Monsieur qui trempe avec sa classe et son Président dans des guerres en sa qualité de Ministre des Affaires étrangères ou il est probable, comme cela a été le cas, du temps des guerres coloniales, il s’est trouvé complice indirect de multiples exactions qui n’ont probablement pas épargné des enfants.

Mais il est assez curieux en ce monde de voir à quel point on exonère de leur responsabilité meurtrière les chefs d’état et autres instigateurs de guerre que l’on peut qualifier d’injustes, si tant est qu’il y en ait de justes. La guerre a toujours à voir avec des intérêts de certaines castes, rarement de celui des peuples, sauf lorsqu’ils sont agressés et doivent se défendre.

Quand je vois toutes ces personnalités qui viennent nous expliquer leur vision du comportement d’un criminel, qui en arrivent à se disputer sur les compétences des uns et des autres, envahir encore et encore la télé, indignés ou raisonneurs patentés, je me dis que nous sommes mal barrés.

Car enfin avons nous, simples spectateurs tous les vrais éléments de jugement sur le sujet que l’on nous impose, à part qu’il s’agit d’un jeune, produit d’une société dans un contexte donné qui, à lui seul peut, sinon justifier ni excuser son acte abominable mais interroger sur le processus a conduit à l’insoutenable criminalité. Il reste tout de même assez de zones d’ombres à tel point que l’on peut tout de même comprendre qu’un père, son père, exige des explications et déclenche une démarche judiciaire.

Car comme je l’ai dit maintes et maintes fois ici, comme le pensent probablement de nombreux français : a-t-on créé les meilleures conditions pour éviter cette mort qui va autoriser toutes sortes d’interprétations en l’absence de faits que nous ne connaissons pas : y a t il des complicités, y a t il des aveux, quel est le contenu des conversations entre le Raid et le « terroriste présumé » et même s’il y a culpabilité assurée de ce dernier dans l’ensemble de la tuerie, son exécution tait-elle nécessaire !

La remarquable comportement du père de l’une des victimes qui pourtant, douloureusement frappé par ce drame, semble responsable et vouloir appaiser les attitudes extrêmes de vengeance que certains tentent de développer.

Encore une fois tous, bon gré mal gré, sombrent dans des débats provoqués, imposés, manipulés qui ont pour vocation de détourner la campagne électorale des vraies questions que se posent ou ne peuvent, par manque d’éléments, se poser les français.

Le climat instauré dans cette campagne électorale traduit l’effolement des milieux réactionnaires de l’UMP au FN.
Cela se ressent dans les médias.

Bien sur qu’il se dit des choses intéressantes. Je ne prendrais pour exemple la « revue de presse » de Dominique Taddéi de ce soir qui nous a offert un bon débat sur l’affaire de Toulouse, puis sur l’origine de l’abstention et sur le comportement des chefs d’état vis-à-vis de la culture ou encore sur la manière d’appréhender l’art.

Il y a d’évidence deux pratiques possibles pour organiser les débats : s’inscrire de manière répétitive, avec des invités permanents venant présenter de manière hachée, spécialistes souvent engagés qui suintent la transpiration du pouvoir en place ou s’inscrivent dans une forme de pensée unique sur tous les sujets traités ou bien faire appel à des philosophes, écrivains économistes de sensibilités opposées et d’une compétence reconnue, établie.

En résumé une formule de propagande camouflée derrière de douteux savoirs qui proviennent d’un cercle étroit et une formule de manifestation culturelle dont on ressort satisfait, voire avec une curiosité aiguisée.

Des ronces et des fleurs

Le printemps est dans la cité
Il est marqué comme toujours
Du cri des enfants dans les cours
Au soleil qui promet l’été

De la tendresse des couleurs
De la caresse du vent frais
Ils rient sans savoir que d’un trait
La joie peut devenir malheur

Quand le jeu devient trop futile
Grandit l’espérance de soi
Ou chaque vie trace sa voie
Fuyant les terreaux infertiles

Mais il est des terres ou l’ombre
Ne laisse de place qu’aux ronces
Dont se protège quelque nonce
Aux cruelles paroles sombres

Que peut devenir une fleur
Sans ce jardinier attentif
Qui cultive tous les massifs
Pour rendre la sève meilleure

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Voter Front de gauche pour « placer loin derrière » le FN

Posté par jacques LAUPIES le 27 mars 2012

 

 En difficulté dans les sondages, la candidate du Front national a poursuivi ce lundi ses attaques à l’encontre du Front de gauche. Marine Le Pen aux abois valide ainsi involontairement la stratégie de Jean-Luc Mélenchon qui proclamait dimanche, en meeting à la Réunion, « puisque par notre travail nous l’avons repoussé derrière, débarrassez la vie politique de ces malfaisants qui depuis 30 ans pourrissent le débat politique. Placez là loin derrière moi », au premier tour de la présidentielle.

Ce lundi, la candidate FN a ainsi estimé: « Il ne fera pas la moitié des voix que je ferai » le 22 avril. Au cours d’une distribution de tracts devant la Française de Mécanique à Douvrin (Pas-de-Calais), Marine Le Pen a assuré: « Contrairement à lui, je n’ai pas attendu 25 ans dans un siège de sénateur avant de m’intéresser à la classe ouvrière. De toutes façons, l’électorat de M. Mélenchon, ce n’est pas la classe ouvrière, mais un électorat de bobos ».

Mélenchon: « Nous sommes la nouvelle France »

Elle tentait ainsi de répondre à Jean-Luc Mélenchon, qui, en meeting dimanche à La Réunion devant 3.000 personnes, se félicitait de se voir devant Marine Le Pen dans les derniers sondages. « Les circonstances semblent dire que le Front de Gauche aurait atteint cet objectif merveilleux d’avoir ridiculisé le Front national. »

« Puisque par notre travail nous l’avons repoussé derrière, puisque les dangers qui permettaient hier de se faire peur à bon compte avec le vote utile, puisque nous l’avons dégagé du devant de la scène, je vous le demande, débarrassez la vie politique de ces malfaisants qui depuis 30 ans pourrissent le débat politique. Placez là derrière moi, placez là derrière moi, loin derrière, loin derrière. Nous sommes mélangés et heureux de l’être, nous sommes la nouvelle France. »

COMMENTAIRE A CHAUD

Pas trop le temps aujourd’hui car il faut rencontrer des gens.

Il est effectivement nécessaire d’être devant Marine Le Pen. A Tarascon la tâche est encore moins aisée qu’ailleurs étant donné le score fait par le FN aux élections régionales. Il y a des explications à cela et je n’entrerai pas dans le détail mais il est bien évident que cela à un lien avec une population issue de l’immigration importante dans notre ville. Ainsi l’électorat se radicalise à droite alors qu’il n’a de réponse à ses problèmes que dans les propositions d’une radicalisation à Gauche sur la candidature de Jean Luc Mélenchon.

Car en effet, qui répond aux préoccupations de ma boulangère, de mon boucher ou encore de mon dentiste, de cette famille d’origine immigrée en quête de logement et qui se considère lésée, de cet autre qui parce qu’il oppose cette dernière à sa communauté de gitans avec une violence verbale qui en dit long sur l’exacerbation que peut provoquer le discours du Fn ?

Je pourrais citer des dizaines d’exemples de ce type qui expliquent en partie la progression de Jean Luc Mélenchon. LE SEUL A PROPOSER UN PROGRAMME AUDACIEUX ET COHERENT, UN PROGRAMME QUI SATISFAIT ET DONNE UNE REPONSE A CES PREOCCUPATIONS.

Dans les milieux les plus modestes, de toutes origines, lorsque ces propositions arrivent, elles sont bien accueillies. Un sondage révèle que la préoccupation essentielle des français et le pouvoir d’achat. Le SMIC à 1700 € est la première réponse. Ensuite vient l’emploi pour lequel le Front de Gauche avance des propositions solides en liant une politique de réinvestissement dans les entreprises en mettant un terme à la politique de financiarisation qu’elles pratiquent en combattant les délocalisation par une autre orientation de la politique européenne, etc.

Mais il y a l’illusion que veut développer la droite selon laquelle la crise qu’elle provoque elle-même serait insurmontable, qu’il n’y aurait pas les moyens de financer nos propositions sociales. Tromperie ! Mais la richesse n’est pas dans la rue des Halles ou dans la rue Proudhon, encore moins dans les Ferrages où dans Souspiron, même pas dans les résidences d’apparence un peu mieux pourvues, elle est la haut dans les tours de la Défense dans les marinas de la côte d’azur, dans les places financieres de Francfort, de Londres, de New York, de Paris ou tout se decide sur notre dos. Les stratégies cde l’Europe et même la guerre.

Ils spéculent avec notre travail, ils se paient des hommes ou des femmes politiques de paille, des Sarkozy, des Le Pen. Ils pénètrent ainsi les milieux populaires à coups de Juppé, de Bayrou, de Borloo et y compris à gauche ils sèment le trouble, s’emparent dee thèses du social libéralisme et  de la social démocratie, porte de sortie en cas d’échec ! Comment ? tout simplement en maitrisant l’information, avec parfois directement votre argent comme le prouvent de nombreuses affaires !

Et nous pauvres imbéciles nous devrions digérer cela ! Vous le Boulanger, vous le Boucher, vous le médecin, vous la ménagère, vous la retraitée, vous le chômeur, vous les jeunes, vous le libre penseur, vous le franc-maçon, vous le chrétien qui se dévoue pour aider les autres, vous le syndicaliste, vous, même l’élu de droite qui tente de justifier l’injustifiable, vous même qui vous faites envelopper par la fumée du discours d’extrème droite déguisé en discours social, vous tous héritiers de la République, faudrait un peu réagir, comme le font déja presque un français sur 7. C’est pas si mal mais y a du chemin à faire !

LES ROIS, LES PRINCES SONT TOUJOURS VIVANTS. AU FIL DES SIECLES ILS CHANGENT DE COSTUME ET DE LANGAGE. NE SOYONS PAS COMME CERTAINS, LEURS VALETS, CAR ILS NOUS EXPLOITENT TOUJOURS ! LA REPUBLIQUE NOUS APPELLE…REPONDONS LUI AVEC MELENCHON.

 

 

 

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Réponse à un ami qui est au FN (sur un poème de Brasillach)

Posté par jacques LAUPIES le 26 mars 2012

Debout sur le lourd tombereau,
A travers Paris surchauffé,
Au front la pâleur des cachots,
Au coeur le dernier chant d’Orphée,
Tu t’en allais vers l’échafaud,
O mon frère au col dégrafé!

Dans la prison où les eaux suintent
Près de toi, les héros légers
Qui furent Tircis ou Aminte,
Riaient de ceux qui les jugeaient,
Refusaient le cri et la plainte,
Et souriaient aux noirs dangers.

La chandelle jetait aux murs
Leurs ombres comme à la dérive.
Les cartes et les jeux impurs
Animaient les jours qui se suivent,
Toi, tu rêvais d’un sort moins dur
Et chantais les jeunes captives.

Le soleil des îles de Grèce
Rayonnait au ciel pluvieux.
Perçait les fenêtres épaisses,
Et les filles aux beaux cheveux
Nageaient autour de toi sans cesse
Sur les vagues, avec les dieux.

Tu souhaitais dans les nuits noires
Une aube encore pour t’éclairer,
Pour pouvoir attendrir l’histoire
Sur tant de justes massacrés,
Pour embarquer sur ta mémoire
Tant de trésors prêts à sombrer.

Avec les flots de l’aventure,
A travers les jours variés,
Les heures vives ou obscures,
Un siècle et demi a passé.
La saison est encore moins sûre,
Voici le temps d’André Chénier.

Sur la prison fermée et pleine
Un monde encore a disparu.
O soleil noir de notre peine,
Une autre foule est dans la rue,
Comme dans la vieille semaine
Demandant toujours que l’on tue.

Dans la cellule où l’eau suinte
Un autre que toi reste assis,
Dédaigneux des cris et des plaintes,
Evoquant les bonheurs enfuis,
Et ranimant dans son enceinte,
Comme toi, les mers de jadis.

Au revers de quelque rempart,
Au fond des faubourgs de nos villes,
Près des murs dressés quelque part,
Les fusils des gardes mobiles
Abattent au jeu du hasard
Nos frères des guerres civiles.

J’entends dans les noirs corridors
Résonner des pas biens pareils
A ceux que tu entends encor
Jusque dans ton pâle sommeil,
Et comme toi le soir je dors
Avec en moi mon vrai soleil.

Près de nous tous, ressuscité,
Le coeur plein de justes colères,
Dans la nuit on t’entend monter,
Du fond de l’ombre froide et claire,
O frère des sanglants étés,
O sang trop pur des vieilles guerres

Et ceux que l’on mène au poteau,
Dans le petit matin glacé,
Au front la pâleur des cachots,
Au coeur le dernier chant d’Orphée,
Tu leur tends la main sans un mot,
O mon frère au col dégrafé

COMMENTAIRE

Je me demandais si c’était du Celine, du Brasillach voire un autre mais peu importe. Je te connais et je savais bien qu’il y avait un petit piège. Le propre de la poésie est qu’elle a souvent un caractère universel. Mais le poète ne se situe pas nécessairement ainsi. Il a un univers précisément qui est le sien et n’est pas universel. On peut être parfois un salaud et dire appréhender le réel un instant de manière juste et sublime. C’était me semble-t-il le cas de Brasillach et de la plupart des écrivains qui ont collaboré Cela ne rend pas pour autant blanc tous les autres. Mais ceux qui ont résisté avaient cependant, me semble-t-il, un peu (pour ne pas dire beaucoup plus) d’universalité ou d’Humanité, comme tu voudras !

On ne peut justifier sa pensée politique par son talent de poète. Par contre la poésie aide à l’exprimer. Selon moi, en bon matérialiste, il faut partir du réel, même imperceptible, même celui que nous enfermons dans notre inconscient, pour comprendre ce que nous exprimons par la poésie. Cela peut expliquer que des salauds sont poètes !

 Entendons par « salauds » ceux qui ne respectent pas l’humain et attachent à sa hiérarchisation physique ou psychique, à la diversité de ses pensées et de ses comportement qu’il peut avoir, plus d’importance qu’à son unicité d’espèce. Tous les excès sont possibles ainsi. On l’a vu et on le voit hélas encore !

 Les racistes, les xénophobes n’échappent pas à ces excès de part leurs concepts de base. Certains adeptes de la lutte des classes s’y sont fourvoyés aussi au nom d’une fin qui justifierait les moyens. Il y a d’autres chemins pour l’émancipation dans la démarche humaniste…La démocratie la plus large en tout et partout en est surement un ! Encore faut-il pouvoir l’instaurer face à ceux qui s’en réclament et font le contraire !

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A suivre

Posté par jacques LAUPIES le 25 mars 2012

http://www.mediapart.fr/journal/international/150312/kadhafi-sarkozy-nos-nouvelles-revelations

 

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