Censure par omission

Posté par jacques LAUPIES le 28 août 2010

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Les thèmes du débat politique sont depuis fort longtemps imposés par des médias qui, globalement, parlent en fonction d’évènements créés pour éviter d’aller à l’essentiel. Le fait divers comble les vides d’antenne et seuls, la droite et le PS, semblent être à même d’apporter un réponse sur les évènements appelant une réponse politique. Qui plus est quand ces partis organisent une manifestation, un congrès ou quelque université d’été, on développe amplement leurs propositions allant jusqu’à donner la parole à des personnalités qu’évidemment la bourgeoisie porte dans son coeur.

Cela devient exaspérant.

En ce qui concerne les socialistes qui ne sont pas encore très clairs quand aux réformes à entreprendre par un gouvernement de gauche unie, les médias (ou leurs patrons) se chargent de faire un peu de pub pour les dirigeants qu’elle ne juge pas trop dangereux pour ses privilèges. ainsi réapparait le pire : Strauss Kahnn distributeurs de miettes aux pays pauvres et généreux organisateur de la mondialisation capitaliste et Ségolène Royal dont les pleurnicheries soudain gauchisante n’arrivent pas à me convaincre en passant par un Walls expédié par je ne sais quelle tendance social-libérale et prétendant à la relève.

On pourrait en dire autant à droite avec les prétendants à la succession de Sarkosy, genre Villepin ou Coppée et bien d’autres.

Les verts ne sont pas exempts de ce festival d’hommes ou de femmes providentiels.

Journalistes, commentateurs, politologues, économistes, philosophes en cour défilent à la télé avec bien sur de temps à autres des syndicalistes pertinents et quelques rares écrivains, artistes qui ne sont pas du sérail.

Je ne dirai pas que la télé, surtout publique, est nulle sur le plan culturel. Heureusement, car sans cela on se demande comment la jeunesse, et nous mêmes, pourrions échapper à l’endormissement total. Je la regarde beaucoup et elle m’apprend beaucoup. Encore, me semble-t-il, faut-il choisir ses émissions et il est bien évident que les heures de programmation ne permettent pas à tout le monde de regarder la télé au moment ou elles sont diffusées.

Bref si sur le plan culturel les choses sont à peu près acceptables, sur l’autre élément essentiel d’un média : l’information sociale et politique, la manipulation est évidente et le communiste que je suis n’y trouve pas son compte, au point de se demander si le règlement de la taxe est justifié. La façon dont a été traitée Marie George Buffet sur un plateau de télévision au soir des régionales reste présente à mon esprit. Elle eut droit à la parole coupée et refusée de manière grossière.

Et cela continue à l’égard du PCF. Comparez le temps accordé aux universités de la droite, du PS et des verts à celui dont est dérisoirement gratifiée l’université de PCF. Y a pas photo !

La meilleure des censures c’est l’omission. A France Télévision on sait faire !

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C’est clair, c’est net

Posté par jacques LAUPIES le 26 août 2010

C'est clair, c'est net HD

Devant l’injustice parfois des voix célèbres s’élèvent. Et lorsque c’est celle de l’un de nos plus populaires sportif et artiste à la fois, ce ne doit pas être du goût de  tout le monde.

« L’affaire » des Roms dénote le pouvoir de manipulation que tentent de mettre en oeuvre des politiciens sans scrupules. Si les Roms sont chez nous c’est qu’ailleurs on les méprise. Mais ne nous y trompons pas c’est avant tout parce que l’Europe libérale a pour objectif, comme tout les mécanismes mondiaux ou nationaux du capitalisme mis en place : avoir du travail pas cher, sans se préoccuper des conséquences écomiques et sociales qui en résultent.

Le vent de xénophobie que génére les politiques des Ministres, les formes de racismes qui risquent d’en découler représentent cependant un danger non seulement moral qui éveille certes certaines consciences mais il peut à plus ou moins long terme générer de nouvelles violences.

La planification progressive de la protection sociale s’impose pour éviter les drames qui frappent les populations déshéritées.

La facture payée par les états qui font la guerre en Irak, en Afghanistan suffiraient à regler la plupart des victimes des catastrophes naturelles et des conséquences de l’incurie (le mot est faible) des gouvernants des pays riches face aux inégalités sur la planète. Et il y a encore mieux a faire en taxant les transferts de capitaux.

 

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Jean de Maillard : « La justice est devenue une auxiliaire de la police »

Posté par jacques LAUPIES le 24 août 2010

 

Paru dans l’Humanité cette interwiew pose de nombreuses questions sur le fonctionnement de la justice dont évidemment celle de l’indépendance des juges ! Bien que le système judicaire actuel ne fut pas parfait, loin s’en faut, il offre quelques garanties contre les pressions politiques à l’égard de son fonctionnement. Le contrôle qu’entend exercer le pouvoir va bien au delà de la recherche d’économies. et comme toujours ce sont « les petits » qui risquent d’en souffrir encore plus qu’actuellement. 

 Le texte copié :

Le magistrat a été démis de sa fonction de président du tribunal correctionnel d’Orléans pour avoir, selon lui, critiqué la politique pénale. Il estime que les « véritables maîtres de l’action publique ne sont plus les parquets mais les préfectures ».

Vice-président du tribunal de grande instance d’Orléans, Jean de Maillard vient d’être relevé de ses fonctions à la tête du tribunal correctionnel de la ville. La sanction frappe un magistrat connu comme étant l’un des meilleurs analystes européens dans le domaine de la criminalité internationale et du blanchiment de l’argent sale. Elle illustre combien l’indépendance des juges reste un « leurre ».

Quelle raison vous a-t-on donnée pour justifier cette sanction ?

Jean de Maillard. Aucune. Mais je subis depuis des mois un harcèlement consistant en brimades, vexations, demandes de justification permanente de mon activité juridictionnelle. On me reproche en fait mon indépendance vis-à-vis de la politique pénale du parquet, que je critique. J’ai pris des engagements dans mes travaux et mes publications. J’ai voulu mettre en conformité ma pratique professionnelle avec les critiques que j’ai pu formuler sur le fonctionnement de la justice par rapport à la nature et à l’évolution de la délinquance.

Vous êtes donc judiciairement incorrect ?

Jean de Maillard. On considère que je suis un fauteur de troubles, que je donne une image négative de la justice. En tant que juge correctionnel, je perturbais le bon fonctionnement de cette justice que moi je considère comme une justice d’abattage qui ne respecte plus le droit des justiciables et qui n’apporte plus de sécurité.

Que voulez-vous dire ?

Jean de Maillard. La garde à vue est devenue, en quelques années, le mode d’enquête quasiment exclusif. La police ne veut plus faire d’enquêtes. Les parquets ne veulent plus non plus avoir de dossiers complexes, qui demandent à la fois des moyens d’investigation importants et qui sont susceptibles en fait de révéler la véritable nature de la délinquance aujourd’hui, qui est souvent une délinquance organisée, avec des réseaux, des trafics, etc. Or plus personne ne veut s’en occuper.

Vous êtes sanctionné parce que 
vous contestez la politique du chiffre du ministère de la Justice ?

Jean de Maillard. La politique du ministère de la Justice se retrouve dépendante de la politique de tolérance zéro et de réponse à la délinquance. La justice s’est placée dans le sillage de la police. Les véritables maîtres de l’action publique aujourd’hui ne sont plus les parquets mais les commissaires de police et les préfets. Et les magistrats ne sont plus considérés comme tels mais comme des employés aux écritures de la sous-direction des affaires judiciaires de la préfecture de police.

Cela veut dire qu’un juge comme vous n’est pas libre de juger ?

Jean de Maillard. Bien sûr que non. La politique pénale entraîne une sélection automatique des contentieux. Les investigations sur les infractions complexes ou sur les infractions économiques et financières, ou encore sur la criminalité organisée sont abandonnées. Il existe encore quelques services spécialisés qui sont là pour servir de vitrine. Mais dans la réalité, il suffit de voir ce qui se passe dans les banlieues. Non seulement il n’y a plus de police présente, mais ces zones sont en voie de désertification institutionnelle. Il n’y a plus non plus d’enquêtes. C’est la raison pour laquelle les réseaux et le trafic fleurissent. Face à cela, la police et la justice ne font rien et ne cherchent même plus à faire quelque chose.

Vous êtes connu pour avoir dénoncé le laxisme des justices européennes par rapport aux délinquances financières. Pensez-vous que c’est la raison pour laquelle vous dérangez ?

Jean de Maillard. Je dérange parce que, dans ma pratique quotidienne, je constate que ce déséquilibre de la justice aujourd’hui entraîne une surcriminalisation de la vie sociale : les petits comportements incivils, tels que les bagarres entre voisins, entre ivrognes ou encore les petits larcins. La police et la justice sont mobilisées quasi exclusivement pour traiter ces microdysfonctionnements que l’on rencontre dans toutes communautés humaines. En revanche, les nuisances graves, comme les trafics et les atteintes aux biens et aux personnes, sont sous-pénalisées. Tout est ramené sur le même plan. Des « mules » qui transportent de petites quantités de drogue sont qualifiées de trafiquants et renvoyées en comparution immédiate. Aucune enquête. Et ils veulent nous faire juger ça, en nous demandant des peines de prison extrêmement sévères.

Mais la situation alarmante que vous décrivez est-elle nouvelle ?

Jean de Maillard. Elle existe depuis des années mais ne cesse de se dégrader, au point d’en arriver aujourd’hui à une tension extrême, notamment dans les banlieues, où des armes de guerre sont utilisées. La situation sur le plan social se tend de plus en plus et, dans le même temps, on instrumentalise la justice pour en faire une auxiliaire de la police. Je reçois des procédures dans lesquelles se trouvent des procès-verbaux tronqués, douteux, des enquêtes menées exclusivement à charge, simplement sur une garde à vue de quarante-huit heures. Ou des dossiers bâclés, même quand ils sont montés sur des enquêtes plus longues. Tout cela dans le seul but de faire des chiffres et des exemples. Ce n’est plus de la justice. On ne respecte plus les droits du justiciable.

Vous êtes pourtant connu comme 
un juge qui n’hésite pas à prononcer des peines sévères…

Jean de Maillard. Je l’assume, je n’ai aucun état d’âme. Mais si on veut appliquer une justice, même sévère, on devrait garantir au justiciable une justice de qualité. Or celle-ci est devenue une justice soldée, on fait du discount judiciaire.

Pourquoi avez-vous rendu publique votre affaire ?

Jean de Maillard. Ce que je dénonce n’est pas circonscrit au tribunal d’Orléans. Il s’agit d’une question de principe grave. J’estime que nous sommes dans un État de droit, dans une démocratie. On a le droit de parler, on a le droit de ne pas être d’accord, y compris quand on est magistrat, je dirais même surtout quand on est magistrat. On devrait nous garantir notre indépendance, sinon il n’y a pas de justice, il n’y a même pas de démocratie. Voilà pourquoi j’ai décidé de prendre l’opinion publique à témoin.

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Collaborateur ?

Posté par jacques LAUPIES le 23 août 2010

La collaboration qui marqua l’une des plus sombres périodes de notre histoire mériterait parfois que l’on essaya d’en comprendre les fondements.

Si globalement elle fut comme en attestent des faits indéniables, une trahison,  au plus haut niveau, de la  classe  dominante qui trouvait ainsi une ouverture nouvelle pour la défense de ses privilèges, elle eut aussi ses adeptes dans toutes les autres couches de la population.

La  première,  prenant appui  idéologique sur les antidreyfusards et autres courants d’extrême droite, bien que cette classe fut divisée  sur l’idée de collaboration ou pénétrée de courants républicains ou  même nationalistes et patriotes franchement hostiles, en fut   le fer de lance. Elle refusa toute résistance à l’ennemi,  en l’aidant même dans son action de répression contre les patriotes et la communauté juive et tous ceux qui rejetaient le nazisme ou simplement les concepts républicains.

L’évolution du conflit de la deuxième guerre mondiale bien entendu radicalisa les différents courants de cette grande bourgeoisie  et la répartit d’une part en tendances qui apportèrent leur soutien total à Hitler et d’autre part en démocratie chrétienne, en  social-démocratie,  en  vestiges d’extrême-droite peu présents, la plupart n’existant plus  politiquement. Ensemble à qui  De Gaulle, en définitive, offrait un recours, en attendant qu’ils puissent se refaire une virginité.

Parmi les autres catégories, essentiellement couches que l’on aurait pu qualifier de moyennes beaucoup s’accommodèrent du pétainisme ambiant et cela put atteindre certaines catégories de petits cadres, agents de maitrise, non encore acquis de par leur origine souvent petite bourgeoise  aux idées qui avaient prévalu durant de Front populaire. Certains intellectuels et non des moindres se firent abuser et contribuèrent à abuser une partie de la population.

Seule la classe ouvrière – et de grands intellectuels et artistes – trouva grâce au Parti Communiste une expression politique nette et fut impliquée dans une résistance  populaire sans concessions qui devint vite incontournable et imposa une stratégie d’indépendance nationale mêmes si cela fut stimulé et encouragé  par les victoires militaires de l’Union Soviétique, dont évidemment celle de Stalingrad. Ils contribuèrent ainsi au rassemblement national qu’incarnait le Conseil National de la Résistance et dont Jean Moulin fut l’organisateur.

Malgré des hésitations et des comportements que les historiens ne manquent pas de mettre en avant  (attitude face au pacte germano soviétique dont il faut entendre  la justification  et  peut-être la nécessité pour les soviétiques) le Parti communiste joua un rôle déterminant dans la résistance et ensuite la libération.

Quand on a été témoin de cette période on sait de quoi il retourne et j’ai parfois la nausée en entendant dans les jeunes générations, ou celle qui suivent la mienne, une utilisation abusive du mot collaboration.

Mais le pire est de se livrer à un amalgame avec l’attitude ceux qui hier comme aujourd’hui défendent « l’honneur de la république et donc de la France » par leurs actes de solidarité, de générosité, à l’égard des étrangers venus chercher ce que leur pays ne veut ou ne peut leur donner et ceux qui, précisément, contribuèrent en leur temps à chasser voire à exterminer ces catégories de population.

Oui il m’est arrivé, et c’est un signal d’alarme, d’être  comparé à un collaborateur ainsi que tous ceux, avec des approches certes différente de la mienne, de me voir rangé au niveau des « nouveaux collaborateurs » parce que je soutiens les immigrés.

C’est intolérable ! Que fait-on face à l’intolérable ?

La rupture du dialogue, la violence ne servent à rien.  Il ne reste que les mots ! Les mots pour rappeler, expliquer, mettre une fois de plus en garde sur le fait que la défense de la nation, du pays, de la famille, de l’individu passe par  un combat d’idées et un combat de classe.

En l’occurrence il faut expliquer, que le passé de ces années noires, que j’ai vécues, enfant, avait à voir avec les évènements politiques d’aujourd’hui et que ceux qui par un artifice incroyable s’octroient l’appartenance à la résistance et osent confondre notre solidarité avec les immigrés avec une collaboration antinationale sont sous l’effet  d’une énorme mystification. Seul  l’âge, les liens d’amitiés,  d’affection et un certain crédit d’ignorance que nous leur accordons permet de les excuser.

Mais surtout pas d’être silencieux !

La vie politique présente montre bien que sur ce sujet comme sur bien d’autres l’analyse de classe sur le plan économique et social fait malheureusement défaut.  S’y substituent des approches ou l’apparence prime sur le réel, le subjectif sur l’objectif, l’émotion sur la raison, le détail sur le général.

Mais ne soyons pas naïfs, les conservateurs de tous poils, qui utilisent ce stratagème de l’amalgame en se servant des mots, savent parfaitement qu’ainsi ils obtiennent un triple résultat  :  discréditer les héritiers de la résistance , faire oublier le camp choisi par l’essentiel de leur famille politique sous l’occupation nazie et se donner des allures d’uniques défenseurs de la patrie.

Ils  osent cela 70 ans après ! Combattons sans concession idéologique leur démarche car ils font des ravages dans un électorat populaire et même une jeunesse qui parfois ne sait pas…

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Evacution forcée du camp de Roms de Choisy-le-Roy : les élus communistes protestent (94)

Posté par jacques LAUPIES le 14 août 2010

 

 

Le groupe communiste du Conseil général du Val de Marne proteste, dans un communiqué, contre l’évacuation du camp de Roms de Choisy-le-Roy (94).  « Le Préfet du Val-de-Marne… Lui, qui n’avait pas levé le petit doigt pour régler une situation encore plus insoutenable depuis février 2010″ écrivent les élus, « le voilà qui agit, avec zèle, à l’injonction présidentielle, pour éliminer les campements illégaux du département parce qu’ils regorgeraient de délinquants potentiels ».

Les élus communistes rappellent que la préfecture n’avait pas eu le même zèle de régler la situation lorsque  deux enfants étaient morts dans un camp Rom à Orly. « Bilan : des enfants et leurs parents sont refoulés sur le trottoir comme de vulgaires objets, sans plus aucune ressource pour vivre, manger, ni s’abriter ! Où est l’humanité d’un tel procédé ? » s’indignent-ils.  « Nous apportons notre soutien au Maire de Choisy-le-Roi, Daniel Davisse, qui, refusant de laisser 50 personnes dont 20 enfants dans la détresse, les accueille provisoirement dans un gymnase de la ville. La recherche d’une solution humaine et pérenne étant du ressort de l’Etat, nous réitérons notre demande auprès du Préfet du Val-de-Marne, pour qu’il mette en place un plan d’urgence en faveur des 300 Roms réfugiés en Val-de-Marne, pour qu’ils soient aidés, accompagnés et accueillis dans le plus grand respect des droits de l’homme et de nos fondements républicains », conclut le communiqué.

 Ce matin même j’ai vu passer dans ma rue deux enfants d’environ 6 à 8 ans. Leur peau brune et leur chevelure blonde pouvait laisser supposer que ces deux gamins qui déambulaient seuls, sans être accompagnés, appartenaient à une communauté d’immigrés dont une personne responsable d’association m’indiquait qu’elle s’aggrandit de jour en jour. Des cars arriveraient vers Beaucaire et déposeraient des familles dont les adultes seraient destinés aux travaux agricoles (à 5 € de l’heure m’a-t-on précisé).

Bien sûr cela m’a immédiatement fait penser à de jeunes roms dans la mesure ou il s’en trouve devant les magasins de la ville avec la maman en position de mendicité.

Mais pour en revenir à ces deux enfants dont d’ailleurs les passants ne semblaient pas se préoccuper, leur maigreur autant que la négligence vestimentaire qui les caractérisait m’a révolté. Est ce possible ? Aussitôt je n’ai pu manquer de m’interroger sur l’indécence de ceux qui pro-europeen libéraux ont favorisé cette immigration et contribuent ainsi à son caractère « sauvage » Peu importe qu’ils soient « choisis ou pas » ces immigrés sont là par la volonté de ceux qui prétendeent ne pas en vouloir.

Leur misère est présente. Elle nous interpelle fortement. D’autant que de modestes gens, parfois même issus de l’immigration, osent les traiter de voleurs se faisant l’écho de tous les préjugés à leur égard. Attention cela n’est qu’un début dans un processus dangereux de xenophobie collective.

On sait ou cela conduit. Ne laissons pas faire !

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